Ma philosophie. Ma vie

J'ai peur

PDV Léna.

Je me suis réveiller avec un Legé mal de tête. Toujours allongé sur le lit, en regardant le plafond. Quelques choses me semblait bizarre. Ce plafond, ce lit, je me leva brusquement du lit après cette analyse ce qui ma fallu un mal à de tête violent. La chambre, ou suis-je ? Je devais passer un entretien avec monsieur Liam, mais j'ai refusé le travail et ensuite je ne me rappelle plus, m'a t-on kidnappée ??

Je commençait à paniquer là, la chambre était immense, bien entretenu, le mûr était de couleur blanc, gris. Du coin de la pièce se trouvait 3 sofa avec une table au milieu, le lit était à 8 mètre environ du mur vers le haut, ce lit pouvais y coucher 4 personne confortablement. Et derrière le lit se trouvait un chef-œuvre sur le mûr c'était une femme qui avait de la force vu l'expression du visage et les couleur utiliser. Tout au fond de la pièce se trouvait une porte. Je dirais la salle de bain cette pièce fessait ma pièce de vie et m salle a manger et ma cuisine en même temps. Ça tout ce qu'une pauvre fille comme moi pouvais rêvé.

"Léna reprends toi peut-être que tu as été enlever et tu es la à admirer cette chambre" me redit cette petite voix dans ma tête. Je sortie vite de mon état rêveuse et repris mes esprits. La je commençait vraiment à paniquer. Je suis dans la maison de Royer étant un homme puissant et moi une simple pauvre fille, à qui vais-je manquer ? Qui va me chercher ? Qui va me pleurer si je devais mourir ? Ce qui fais encore le plus mal c'est la réponse que je n'ose pas accepter.

Dans mes pensées le concerné arriva dans la chambre. Non je ne veux pas mourir comme ça, je ne peut rien faire pour me défendre donc la seule chose qui mets venue à l'esprit était de crier à l'aide même si je sais que c'est peine perdue au moins je n'aurais pas regretter de n'avoir rien fait pour me défendre. Je me suis mis à crié,

:- A L'AIDE AU SECOURS, J'AI ÉTÉ ENLEVER, JE NE VEUX PAS MOURIR ENTRE SES MAINS. ILS M'A ENCHAINÉ ICI, JE VEUX RENTRER CHEZ MOI

C'était tout ce que je pouvais faire. Crié à l'aide sans rien espéré en retour comme sauveur. Je n'osais pas le regardé sinon je crois que même le courage d'avaler ma salive je n'aurais pas. Je ressenti sa présence encore plus proche de moi. Mon cœur battait très fort je pensais à ma mère à se moment là.

Serait-elle fière de moi ? Mon père, m'aimait t-il ? Ma tante, me cherchera telle après ma mort ? Tout type de pensé me vint à l'esprit.

Il se rapprochait de moi au fur et à mesure et moi je reculait aussi, à un moment je suis tombé du lit et lui il n'arrêtait pas d'avancer, ne voyais t'il pas que j'avais peur de lui ? Ou fessait-il exprès. Que dois-je faire ? Monsieur Liam si il pouvait m'entendre, au moins lui. Je ne devait pas me laisser faire mais que puis-je faire face à se diable.

J'étais déjà contre le mur plus moyen de fuir et lui il s'avançait toujours peut à peut. Je ne savais pas vraiment se qu'il voulait car l'expression de son visage était neutre mon seul moyen de m'en sortir était d'appeler monsieur Liam.

Monsieur Liam à l'aide. MONSIEUR LIAM VENEZ S'IL VOUS PLAIT.

Là il était déjà très proche de moi je savais que c'était fini pour moi mes derniers pensez s'envolait vers ma mère. Il était tellement près de moi que son parfum envoûtant enveloppait mes narines. Je ne pouvais pas le regarder dans les yeux ça non. Je ferma les yeux faisant mes dernières prière.

Je ressenti quelques choses tomber sur mes pieds. Certainement le sachet qu'il est entré avec. Il mis ces mains sur le mur me laissant au milieu. Je ne savais pas ce qu'il voulait il ne disais rien mais je pouvais ressenti ses yeux fixé sur moi. Mon cœur n'arrêtait pas de battre, mes mains et mes pieds se mit à trembler.

Je n'ouvrait pas les yeux et lui restait dans la même position sans rien dire, je voulais pleuré, je me sentais mal, je n'arrive pas à le regarder droit dans les yeux combien plus me sentir si près de lui.

Après d'autres minutes passer, il ouvrir enfin la bouche et me demanda

:- Avez vous peur mademoiselle Léna ? Pourquoi avez vous peur de moi ?

Je sentais de la tristesse dans ces mots mais pourquoi ? Et pourquoi cette question ? Sans le savoir je leva ma tête et ouvra les yeux. Ce magnifique visage se tenais devant moi ces yeux était juste synonyme de diamant. Pourquoi ce sentiments douloureux dans mon cœur comme une tonne de marteau lourd à porté. Ce regards, je ne pouvais répondre à sa question ni me détourner de son regards

Qu'es ce qui m'arrive ?

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