Ma philosophie. Ma vie

ma sœur ?

PDV LÉNA

Je me réveille dans une pièce qui peut faire environ 9m2. Je ne reconnaissais pas la pièce. Ma tête me faisait terriblement mal et c'est là que tout me revient. J'étais dans mon appartement qui était dans un sale état. Le temps pour moi de me demander qu'est-ce qui c'était passé j'entendis les bruits que faisait la porte de mon appartement, quelqu'un était en train de déverrouiller la porte. J'avais peur, je savais que c'était moi la seule qui détenait les clés de mon appart. Un homme entra, il m'était inconnu. J'ai pas eu le temps de demander qu'il était que je sentis un bout de tissu sur mon nez puis je me suis retrouvé ici. J'essaie de me lever mais à mon plus grand désarroi, je me rends compte que je suis ligoté sur une chaise. Un ruban adhésif  sur ma bouche étouffant mes cris et gémissements.

J'entendis des bruits au dehors de la pièce. Je me débattais pour que l'on puisse m'aider mais je me retrouve face contre terre toujours attaché sur la chaise. Je n'arrivais pas à avancer, mes bras et mes mains me faisaient mal, quitte à savoir depuis combien de temps je suis là. Dans ma chute, ma tête frappant le sol, me procura une douleur horrible. Les larmes ne tardent pas à se déverser sur mes joues. Tout mon corps me faisait super mal. Je n'arrivais pas à crier et à me libérer. Mais pourquoi ? Pourquoi cela m'arrive ? Pourquoi suis-je dans cet état ? Toutes ces questions me rongeaient. J'entendis les bruits que faisait la porte et vit les pas de quelqu'un s'approcher de moi, on aurait dit une fille car cette dernière portait des talons. Je n'arrivais pas à la dévisager car je n'avais pas assez de force pour soulever ma tête.

- Enfin tu es à ma Merci. Et dire que ton père voulait que toi... Fais chier. Soulevé là

C'est ces paroles qui sorti de la bouche de cette femme. Puis je me sens soulevé et placé à la verticale sur ma chaise. Je peux maintenant voir de qu'il s'agissait. Elle était grande de taille. Des cheveux lisses couleur châtain foncé. Ces yeux étaient d'un marron clair. Elle était habillé tout en noir, juste très belle mais je ne la connaissais point.

- tu t'es enfin réveiller. Faut dire que la drogue était trop puissante pour ton organisme. Ma chère consœur.

- qui...qui es-tu ? Et qu'est-ce que je fais ici?

- tu es ici pour payer tout ce que tu m'as arraché. Par ta faute, tous mes plans ont été réduits. Tu ne devais jamais vivre, tu ne devais jamais exister.

- je...je ne comprends pas ce que tu...tu dis. J'ai...j'ai soif.

- la princesse à soif, venez avec de l'eau.

Elle envoya un de ces hommes m'apporter de l'eau et il revint avec un saut d'eau. Je ne savais pas comment il voulait que je bois là dedans mais j'ai vite su quand je ressentis un liquide glacé contre ma peau. Elle versa cet eau sur moi. J'ai presque failli me noyer face à la précipitation lente de l'eau sur moi.

- écoute moi très bien. Je suis ta sœur malheureusement. Nos parents se sont séparés depuis ta naissance, as ce qui paraît tu n'étais pas la fille de mon paternel, mais après quelques années écoulées. Papa est revenu au pays, il est venu te chercher, car il avait eu des preuves que tu étais bien sa fille je ne sais comment. Il avait l'intention de s'excuser auprès de notre mère juste pour qu'ensemble, nous formions une famille joyeuse mais malheureusement, maman était morte. Il se demandait comment tu avais pu traverser cette étape.

Son histoire ne faisait aucun sens à mes oreilles mais je ne pouvais pas m
L'empêcher de parler

-Quand il su que Véronique notre chère tante te réfugiait chez elle, il prit contact avec elle et lui envoyait de l'argent chaque année, chaque fête... pour que tu ne manques de rien et se disait qu'après tes études tu viendrais vivre chez nous mais malheureusement ou heureusement, il à eue un cancer du foie. Cette maladie l'a rongée pendant 1 an et puis je l'ai aidée à mourir. Oui je l'ai aidé car de toute façon c'était sa dernière destination. Mais à mon plus grand désarroi, il avait mis presque ces biens et sa fortune à ton nom Léna Johnson. Cette nouvelle à été la goutte de trop dans mon vase d'antipathie à ton égard.

- ça ne dit pas ce que je fou ici, qu'est-ce que tu me veux, va droit au but.

Ma tête me faisait tellement mal que je n'avais pas besoin qu'elle me rappelle du passé, ce qui est sûr elle n'est pas mon sang.

- je vois que tu as la langue bien tendue petite sœur. Mais je peux comprendre. Tu me demandes ce que je veux ? Que tu me donnes ce que tu m'as arraché. J'ai pû te localiser facilement et t'envoyer toutes mes lettres de menaces.

- donc c'était toi toutes ces lettres. Sans blague. Une salope comme toi ne peut être ma grande sœur.

Je n'ai pas eu le temps de comprendre ce qui c'est produit par la suite quand je ressentis la pression de sa main sur ma joue. Elle a eu la chance que je suis attaché sinon elle allait le regretter.

- un peu de respect mal élevé. Tu vois ces documents ?

Elle prit les documents entre les mains d'un de ces hommes et me les montra

- tu vas les signer, sinon je te ferai aussi lapider. Tu vas me remettre tout ce qui devait être à moi. Tu m'as arraché ma mère ; cette femme qui ne s'est même pas battue pour moi, qui n'a jamais été là pour moi, ni prendre le temps de me chercher. Ensuite tu m'as arraché mon père ; il était avec moi mais ces esprits, son amour, sa pensée n'était que tourné vers toi. Maintenant qu'ils sont partis, ils n'ont que pensé à toi. Mais c'est fini je vais prendre le contrôle.

Elle vient vers moi puis d'un regard tranchant me dit.

- tu n'as jamais été ma sœur mais une ennemie. Je peux te tuer quand je veux sans remords, même notre père qui est allé continuer son amour avec notre mère dans le ciel peut témoigner.

C'est vrai qu'elle me faisait très peur, mais ce qui est sûr, je préférerais mourir que de signer ces papiers. Si je dois mourir...qu'il en soit ainsi.