PDV LÉNA
Il me fait une bise sur l'oreille, ces lèvres contre ma peau, cette sensation étrange que je n'ai plus ressenti depuis des lustres, repris surface. Son parfum, ses lèvres, sa voix, j'ai peur de dire que je suis tombé... tomber..." C'est ça ma belle t'es tombé amoureuse"
Je me sentais rougir, je...
- S'il te plait peut-on partir maintenant ?
Il le redis cette fois-ci en me fixant du regard puis ces yeux descendent sur mes lèvres. J'étais off, je n'arrivais plus à me tenir sur place, je voulais me jeter dans ces bras une bonne fois pour toute. Reprenant mes esprits quand son regard croise le mien, je hocha tout simplement la tête. Nos doigts s'entrecroisent et il m'emmène je ne sais où.Nous sommes arrivés dans ce qui semblait être un petit parc pas loin de la salle de fête.
- pourquoi as-tu si peur de moi?
Me dit-il le dos tourné. Je ne savais pas trop ce que je devais lui répondre.
- parce que tu es dangereux ?
- comment le sais-tu ? Qu'est-ce qui te fait croire une chose pareille ?
- je...je...je
Venant vers moi, puis mettant ces mains sur mon épaule pour me faire prisonnier de son regard, chose qui a bien marché d'ailleurs.
- Léna, depuis notre première rencontre tu n'as pas cessé de me craindre, comme ci j'étais un monstre pourquoi ?
- parce que j'avais entendu des choses à ton sujet.
- lesquelles ?
- que tu as tué la mère d'Aïssa
Il poussa un rire après ce que je venais de lui dire me laissant perdue, pourquoi riait il ?
- c'est complètement absurde ! D'accord je vois, je t'expliquerai tout de retour à la maison.
Il restait ainsi me regardant de la tête au pied cette fois-ci, puis se mordit la lèvre inférieure, me rendant nerveuse.
- chaque détail de ton corps est parfait. Je crois que je n'aurai plus besoin d'aller au musée car j'ai devant moi une œuvre d'art.
Je me sentais rougir par tout ce qu'il disait, et ce sourire qui ne voulait pas quitter mon visage me rendait complètement idiote. Il s'approcha de moi et me prit par le menton
- ne prive pas mon cœur de jouir en essayant de masquer ton sourire. Oui ton sourire m'apporte consolation.
C'était de trop, comment digérer tout ce qu'il était en train de le dire?
Il me prit subitement dans ces bras, je ne comprenais pas sa réaction mais j'ai juste voulu mémoriser ces moments, jusqu'à ce que je me souvienne qu'il est mon patron, je m'efforce à sortir de son étreinte et il me regarda perdu.
- Désolé , vous êtes mon patron, mieux que nous restions distants. Je ne veux pas que vous jouez avec mes sentiments. Homme puissant et riche mettant tout le monde à sa merci, moi j'ai pas envie d'être l'une de vos victimes... Je suis désolée.
Je n'ai pas entendu qu'il agit et m'en alla en courant. Peut-être que je suis une idiote et qu'il est sincère mais j'ai pas envie de prendre des risques, j'ai pas envie d'être blessé une nouvelle fois, difficile de s'en remettre.
Je ne sais pas pourquoi mais quelques gouttes de larmes s'échappaient de mes yeux. De toute façon peut-être c'est moi qui me faisait des idées car il ne m'a jamais dit qu'il m'aimait en fin de compte.J'arrive dans la salle en essayant bien que mal de reprendre mes esprits et essayer de penser à autre chose. Miller m'aperçoit et vient vers moi.
- ça va ?
- oui oui. La soirée se termine à quelle heure ?
- c'est toute la nuit mais si tu veux rentrer je t'accompagne !
- non je te tiens encore un peu plus compagnie.Je dois dire que la peur de parler avec eux est partie. Je reste auprès de Miller pendant un bon bout de temps. On salue quelques personnes et d'autres me font des compléments qui me font juste penser au Lion. Après c'est piste libre. Miller me propose de danser, chose que j'accepte bien évidemment. Nous dansons, mon corps présent mais mon esprit et mes yeux à la recherche du lion. Il n'était pas là dans la salle. Dommage !!
Après d'autres minutes écoulées, nous arrêtions la danse pour aller chercher quelque boisson.
Ne supportant pas l'alcool je prends un jus de pomme, je sympathise encore avec Miller qui m'a l'air très sympa. Puis je vois le Lion entrer dans la salle, je me retourne pour ne pas qu'il me regarde et continue ma conversation avec Miller.Quelqu'un me tatopa sur l'épaule, je croyais que c'était lui mais espérait fortement que ce soit le contraire et c'était une femme, me demandant de l'amitié et où j'avais acheter mes bijoux, mon habilles etc...
Miller s'absente un moment nous laissant rien que moi et la femme.
Après cette courtoisie qui n'a que durée quelque instant car j'ai pas accepter que l'on échange de contact et refuser de prendre sa carte, elle s'en alla. Je restais désormais toute seule.Je vois le Lion venir dans ma direction et moi je pris une autre direction m'infiltrant dans la foule pour ne pas le croiser du moins pas ce soir. Quelqu'un me stoppa dans ma lancée me tenant le bras par derrière, je priais que ça ne soit pas lui. Mais me tournant malheureusement pour moi c'était lui je n'ai pas eu le temps de saisir ce qui c'est passé quand il me tira vers lui et puis déposa ces lèvres contre les miens.
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Ma philosophie. Ma vie
RomansaUn ennemi, elle en à. Mais qui est-ce ? Sa vie elle a voulue lui donner goût mais... Personne n'a jamais été là pour elle, c'est douloureux mais elle vit avec. Sa rencontre avec Royer et Miller, hommes puissants ne les laissant pas indifférents par...