elle

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PDV ROY

J'étais sur le balcon entrain de penser à Léna quand je vis une silhouette se rapprocher peux à peux de la piscine. Oui c'était Léna, c'était elle. Je suis resté là à l'observer, elle était belle, les cheveux en chignon décoiffer avec une nuisette rouge qui faisait ressortir la clarté de son teint et ces belles petites fesses rondes avec sa chaleureuse poitrine. Une vraie petite bombe qui peut détruire tout un continent. J'avais bien envie d'aller la rejoindre pour qu'une fois dans cette vie nous avons le temps d'être seule ensemble. Mais je ne sais pas pourquoi je me retenait autant. Je suis juste aller me coucher ne parvenant pas à fermer l'oeil car elle était omniprésente dans mon esprit, pensant qu'elle est là dehors toute seule.

Je finis par descendre du lit mit un t-shirt avec un short et m'en alla. J'arrive et la vois là perdu, le regard sur un bout de papier. Le reflet de l'eau sur sa peau était juste époustouflant, ces yeux dont je suis tombé amoureux au premier regard était juste ensorcelant. Après une petite conversation avec elle je me suis dit pourquoi ne pas rester mais elle me paraissait trop bizarre; comme si elle parlait à elle même. Je m'assis à côté d'elle et la pour la toute première fois dans sa vie elle me regarda droit dans les yeux, j'avais envie de figé le temps, ces yeux extraordinaire couverts de ces lentilles méta-ordinaire me regardait enfin, dans ces yeux mon cœur s'apaisa, comme si le mot problème n'existait plus. comme si mes soucis disparaissaient. Ces yeux  m'apportais consolation face à ma désolation ne laissant que place pour la paix du cœur. Elle détourna le regard et se recula un peu de moi rompant ce charme que j'aimerais avoir comme drogue.

- que faite vous ici?
- je...je..
- vous pouvez un peu me parler de façon naturelle comme vous le faites avec tous le monde ? Je ne suis pas un monstre.
- um... Je ne sais pas quoi vous dire.
- c'est déjà mieux que vous avez pu formulé une phrase sans balbutiements. J'ai deux questions à vous posez, la première est; pourquoi êtes vous allez dans cette chambre, que cherchez vous ? et là deuxième; pourquoi avez vous peur de moi depuis le premier jour ?

Elle souffle pour ce détendre puis ce mit à m'expliquer comment à telle fais pour ce retrouver devant la porte de la chambre mais au moment où elle allait répondre à ma deuxième question le papier qu'elle tenait tout à l'heure s'envola. Dans ma direction, et je l'attrapa.
- qu'est ce que c'est ?
- je ne sais pas... Um c'est en anglais et... Umm. Moi et l'anglais... Um...
- c'est bon j'ai compris ! Je le lis et le traduit pour vous ?
Elle hocha la tête et me regarda encore dans les yeux. Mes yeux eux se dirigea sur sa bouche et putain, j'avais juste envie de la prendre en levrette. C'est quand elle tourna la tête que je suis revenue à moi. Comment une fille si.. si simple comme elle peut me faire autant d'effet ?! Es ce moi qui perds déjà la tête ? 

Bon je pris la lettre et la lis. Je regarda Léna mais elle était concentré à regarder l'eau de la piscine, cette lettre était une lettre de menaces de mort. Peut-être elle a un ennemi qui veut maintenant se venger d'elle. Ces mots écrits en rouge...
- mademoiselle Léna, avez vous un ennemi en particulier qui voudrait vous tué ?!

Elle porta maintenant son attention sur moi. Puis soufflant elle murmurant
- encore une lettre de menace!

- un problème ?
- non monsieur, la personne à mit le jour de ma mort dans cette lettre ?
- vous avez des ennemis ?
Elle me regarda droit dans les yeux et s'est yeux pétillants de tout à l'heure de transformera en celui de quelqu'un  déplorable.
- s'il y'a bien un truc que j'ai fait pour avoir un ennemi c'est d'être à la recherche de la liberté, mais si la vraie liberté est la mort alors moi aussi je veux mourir, si cette personne à indiqué le jour de ma mort dite le moi car j'ai envie d'être libre.

Ces paroles était si tranchant que je pouvais ressentir son chagrin dans mon cœur. Simple mais douloureux. Depuis qu'elle est là, je réalise que j'ai toujours un cœur qu'es ce que c'est fou?!

- monsieur j'ai déjà sommeil, je m'en vais.

Avant qu'elle ne parte je vois son bras où il y avait le blue que j'ai fait. J'ai voulu m'excuser mais non, je ne peux pas faire ça, sa ne me ressemble pas de dire pardon. Je décide juste de me taire et la laisser partir. Au fur et à mesure que son ombre tout comme elle s'éloignait, je sentais un vide dans moi. Cette nuit à été calme, mais cette lettre est venue mettre son moral et le miens à zéro. Je décide de prendre personnellement ça peine, il me faut découvrir qui est cette personne qui lui veux sa mort et la raison derrière sa.

Maintenant ces problèmes seront miens.

Ma philosophie. Ma vieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant