𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 18

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                         𝐀𝐏𝐑𝐄̀𝐒 𝐀𝐕𝐎𝐈𝐑 𝐏𝐑𝐎𝐍𝐎𝐍𝐂𝐄́ ces mots, il s'avança vers une étagère.

Je suppose que ta mère t'a légué ses légendaires katanas ?  demanda-t-il.

Légendaires ?

Oui, mais je les ai laissés chez moi. Aurais-je dû les ramener ? répondis-je.

Non. C'est parfait comme ça, il ne faut pas que tu les abîmes en t'entraînant, tu vas utiliser cela à la place. dit-il, en m'envoyant deux katanas qu'il prit sur l'étagère.

Qu..quoi ? Maintenant ? Mais je ne sais pas utiliser ça ! m'interloquais-je.

Justement. Je veux voir comment tu t'en sors, tu as bien du sang Kimichi ? Alors voilà.

C'est quoi le rapport avec les Kimichi ? fronçais-je les sourcils.

Il me regarda quelques instants, comme si j'étais une extra terrestre.

La famille Kimichi était connue pour leurs performances avec les katanas. expliqua t'il.

Je ne le savais pas aussi. Dis-donc, il y'a pleins de chose que je ne sais pas sur ma famille !

Il prit lui aussi deux katanas, et m'attaqua sans prévenir. Surprise, j'essayai tant bien que mal de me défendre avec mes armes.

Mais vous êtes fou ? Je n'étais même pas prête ! m'énervais-je.

Crois-tu que dans un combat réel, ton adversaire attendra que tu sois.." prête" ? répondit t-il, en insistant sur le "prête".

Je ne répondis rien, consciente de mon erreur. Le combat continua, enfin, combat.. je me faisais battre à plate couture.

Après quelques temps, reprenant ma respiration, il me dit :

Et bien, c'est pas fameux fameux tout ça.

Non jure ? À ton avis pourquoi je suis là ? Il se fiche de moi celui là.

À partir d'aujourd'hui, je veux te voir ici tout les matins à 6 heure pétante. dit t-il.

C'est super tôt, sachant qu'il faut que je me prépare, et que le chemin jusqu'ici est long, je dois me lever au moins à 5 heure du matin, voir plus tôt..

D'accord.. obtempérais-je difficilement.

Tu peux rentrer chez toi, garde les katanas, tu les utilisera lors de tes entraînements.

|   𝐘𝐔𝐊𝐈 𝐊𝐈𝐌𝐈𝐂𝐇𝐈Où les histoires vivent. Découvrez maintenant