1ere concurrente

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tammyha1200 Bonne chance!

C'est pas difficile à choisir ! Attaquer et dégager. La technique la plus efficace, après ça finit avec une explosion derrière, façon James Bond. Mais évidemment, ça ne se passe jamais comme ça. J'explique : Je tenta une approche furtive.
- Tu sais que t'as des beaux yeux ?
Elle écarquilla les yeux. Ça marche ! J'approche ma main vers ma ceinture d'outillages, équipement, armes etc. Je pris le revolver, et le déposa rapidement sur sa tempe.
- Alors, ma chère Elizabeth, fis-je avec une voix mielleuse, Que vas-tu faire, maintenant ? Me laisser fouiller le bureau et partir tranquillement sans embrouille, ou tenter de m'arrêter, ce qui s'avère impossible, malheureusement.
Bon OK, j'avoue que ça ne serait pas impossible de m'arrêter, mais j'avais trop la classe, en plus je parlais trop bien !
- Hum... difficile à choisir, fit-elle, la main au menton, comme le Penseur. Je commença à m'impatienter, j'allais lui dire de se grouiller quand elle me prit par le poignet, me fit passer par dessus son dos et m'écrasa parterre.
-Je tente de t'arrêter, ce qui, finalement, s'avère possible. Ces mots furent les derniers que j'entendirent. Je m'évanouis, sur la moquette.
- Il... Jack Corrh... un dangereux rebelle...armé... on l'a fouillé... oui, chef... bien, chef.
Je tenta de me relever, mais je sentis d'atroces douleurs aux chevilles, à la poitrine et aux avant-bras, ainsi que le front. J'ouvrais lentement les yeux, j'étais sur un lit de métal, avec des chaînes brûlantes qui m'emprisonnaient. J'étais dans une salle carré, glaciale et sombre. Un homme grand et mince, habillé en docteur l'observait de près, je voulu crier mais j'étais bâillonner, alors je ne pouvais appeler personne. L'homme-médecin tenait un instrument pas très jolie, taché de sang, il avait l'air tranchant. Il l'approchait de plus en plus à ma poitrine. J'étais terrifié. Il allait me décapiter ? M'ouvrir ? Me découper ? Appelez ça comme vous voulez, mais en bref, il va me tuer. Soudain, un BOUM retentit et une explosion détruit les murs de fers dans lesquels j'étais prisonnier. Un groupe de "rebelles" (le gentil surnom que le FBI nous donnait), armé jusqu'aux dents, se tenait là, dans une position trop stylé. L'homme voulut appeler des renforts, mais Rebecca, une rebelle plutôt mignonne, j'avoue (je suis sûre qu'en fait elle a le béguin pour moi mais elle veut pas l'avouer), lui la ça une balle dans la tête. Il s'écrasa parterre. Alex, le roi du piratage et de l'informatique se jeta sur une drôle de machine a centaines de boutons qui était à côté de moi pour tenter de pirater le bâtiment, fermer toute les entrées et sorties. Quentin se jeta sur moi pour défaire les chaînes et mon bâillon.
Rebecca et Sabrina partirent dans d'autres salles pour s'occuper des gardes etc. Quand je fus libre, Quentin me lança une mitraillette et je cours avec lui pour dégommer des gardes. À la fin, évidemment, nous sortirent du bâtiment qui explosait et prenait feu derrière nous. Je remonta des lunettes de soleil apparues par magie sur mon nez. Et c'est la fin ultra stylé, façon James Bond.Et bien évidemment, on pensait avoir réussi la mission, façon James Bond, avec style, le patron nous monterait de rang, élite peut-être, mais, ça c'est pas passé comme ça...
Rentrés au camp, les rebelles nous accueillirent en héro, ils nous portèrent jusqu'au boss. Nous entrèrent dans son bureau, j'étais tout souriant mais, bizarrement, les autres avaient l'air d'assister à un d'enterrement. Le patron s'approcha de nous furieusement. - ET ELLE EST OÙ, L'ARME ?!! VOUS L'AVEZ, J'ESPÈRE ?!! Nous secouèrent lentement la tête. - JE LE SAVAIS, PAS FICHUS DE FAIRE CORRECTEMENT LE TRAVAIL !!!

Nous baissions la tête.
- VOUS ALLEZ Y RETOURNER, MAIS CETTE FOIS, SANS M.JACK, J'ai à lui à parler, finit-il en me regardant sévèrement. J'étais dans la merdouille.

Et ton histoire ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant