12. Les ennuis commencent.

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Aujourd'hui, c'était le weekend.
Le moment assez calme de la semaine.
Après cette semaine fatiguante avec le travail et les entraînements, le weekend était enfin arrivé.

Paolo m'a invité chez lui pour que nous puissions travailler sur notre exposé. J'étais assez nerveuse, je l'avoue.
Il est vrai que quand Paolo est près de moi, je ressens quelque chose de fort.
Mais je préfère garder ça pour moi, j'ai assez peur de montrer ce que je ressens, surtout quand c'est un garçon qui me plaît bien...

En même temps qui n'aimerait pas Paolo Bianchi ?
Il est très gentil, mignon et souhaite toujours du bonheur envers les autres, et même envers les gens qui sont méchants. Puis j'aime sa façon adorable de se soucier de moi.
Nakata a raison, je crois que j'ai vraiment craqué sur lui...
Mais je ne pense pas que je devrais lui dire...

Je suis arrivée chez lui, en début d'après midi.
Et bien, sacré belle maison...
Une femme m'a accueillie et m'a fait visiter la maison, probablement une employée...
Puis Paolo est venu me recevoir.

- (T/P) ! Je suis vraiment content que tu sois là !

- Je suis aussi heureuse de te voir Paolo.

Nous sommes allés tout les deux dans sa chambre pour travailler.
Sa chambre évidemment, ressemblait à une chambre d'un véritable fan de foot ! Des posters, maillots et un ballon avec un autographe.
J'ai même vu une photo de mon père plus jeune, accompagné du père de Paolo.

- Nos pères étaient vraiment de supers amis, à mon avis.

- C'est un signe que toi et moi, on est fait pour s'entendre...

J'ai rougis en entendant ses paroles. Il a fait de même puis a repris ses esprits. Nous avons commencé à étudier et à nous organiser. Je lui ai parlé de la France, de la culture, de l'histoire et de beaucoup de choses.
Il était vraiment fasciné et me posait beaucoup de questions. C'est comme si je l'intéressais...
Enfin, je pense que c'est plus la France qui l'intéresse, pas moi.

- La France est vraiment un pays incroyable, j'aimerais bien y aller un jour.

- Si tu y viens, je serais là pour te souhaiter la bienvenue.

- Je n'en doute pas, vu ta grande gentillesse, (T/P).

Il me fit un doux sourire qui me donnait envie de fondre tel un flocon face à une flamme.
Un blanc s'installa puis Paolo avait l'air de vouloir me dire quelque chose.

- Au fait, (T/P), il fallait que je te demande quelque chose.

- Oui, bien sûr, dis moi.

- Demain, il y a la parade de la ville. C'est une parade où il y a des stands, des spectacles et défilés. Ça n'arrive qu'une fois par an, et j'y assiste tout les ans. Tu veux venir ?

- Oh oui, je veux bien ! On va prévenir les autres ?

Il me regarda un peu surpris, puis me dit :

- Hum, oui. Puis c'est sûr qu'ils seront présents je pense.

On aurait dit que j'avais dit quelque chose de travers. J'espère que je ne l'ai pas contrarié pour quelque chose ?

- Je..J'ai dis quelque chose qui ne fallait pas, Paolo ?

- Oh non, non ! Ne t'inquiètes pas ! dit-il en souriant gêné. Je pensais y aller seulement avec toi, mais c'est comme tu veux, on peut aussi inviter nos autres amis.

- Hum, non fait comme tu veux, on peut y aller tout les deux, ça peut être aussi sympa.

- Oh non, c'est comme tu veux.

Amour Italien (Paolo Bianchi x Reader)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant