NC Chapitre 21 : Rationalisation

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Rowling est celui qui fait le travail de Rowling.

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Hermione Granger avait eu peur de devenir méchante.

La différence entre le Bien et le Mal était généralement facile à comprendre, elle n'avait jamais compris pourquoi les autres avaient autant de problèmes. À Poudlard, « Bon » était le professeur Flitwick, le professeur McGonagall et le professeur Sprout. "Mauvais" étaient le professeur Rogue, le professeur Quirrell et Draco Malfoy. Harry Potter... était un de ces cas inhabituels où on ne pouvait pas le savoir simplement en regardant. Elle essayait encore de savoir où était sa place.

Mais quand il s'agissait d' elle-même ...

Hermione s'amusait trop à écraser Harry Potter.

Elle avait fait mieux que lui dans chaque cours qu'ils avaient suivi. (À l'exception du fait de monter sur un balai, qui était comme un cours de gym, cela ne comptait pas.) Elle avait obtenu de vrais points House presque tous les jours de leur première semaine, pas pour des choses héroïques étranges, mais pour des choses intelligentes comme apprendre rapidement des sorts et aider d'autres étudiants. . Elle savait que ce genre de points de Maison était meilleur, et le meilleur, c'était qu'Harry Potter le savait aussi. Elle pouvait le voir dans ses yeux à chaque fois qu'elle gagnait un autre vrai point de Maison.

Si vous étiez bon, vous n'étiez pas censé prendre autant de plaisir à gagner.

Cela avait commencé le jour du voyage en train, même s'il avait fallu un certain temps pour que le tourbillon s'installe. Ce n'est que plus tard dans la nuit qu'Hermione avait commencé à réaliser à quel point elle avait laissé ce garçon marcher partout . son.

Avant de rencontrer Harry Potter, elle n'avait eu personne qu'elle aurait voulu écraser. Si quelqu'un ne réussissait pas aussi bien qu'elle en classe, c'était son travail de l'aider, pas de s'en plaindre. C'était ce que signifiait être Bon.

Et maintenant...

...maintenant elle gagnait , Harry Potter tressaillait à chaque fois qu'elle obtenait un autre point de House, et c'était tellement amusant, ses parents l'avaient mise en garde contre la drogue et elle soupçonnait que c'était plus amusant que ça.

Elle avait toujours aimé les sourires que les professeurs lui faisaient lorsqu'elle faisait quelque chose de bien. Elle avait toujours aimé voir la longue rangée de coches sur un test parfaitement répondu. Mais maintenant, quand elle réussissait bien en classe, elle regardait autour d'elle avec désinvolture et apercevait Harry Potter serrant les dents, et cela lui donnait envie d'éclater en chanson comme dans un film de Disney.

C'était mauvais, n'est-ce pas ?

Hermione avait eu peur de devenir méchante.

Et puis une pensée lui était venue qui effaçait toutes ses peurs.

Elle et Harry commençaient une romance ! Bien sûr! Tout le monde savait ce que cela signifiait lorsqu'un garçon et une fille commençaient à se battre tout le temps. Ils se faisaient la cour ! Il n'y avait rien de mal à cela.

Il ne se pouvait pas qu'elle aimait simplement battre l'élève le plus célèbre de l'école, quelqu'un qui était dans les livres et parlait comme des livres, le garçon qui avait d'une manière ou d'une autre vaincu le Seigneur des Ténèbres et avait même écrasé le professeur Rogue comme un triste petit insecte, le garçon qui était, comme l'aurait dit le professeur Quirrell, dominant sur tous les autres étudiants de première année de Serdaigle, à l'exception d'Hermione Granger qui écrasait complètement le Garçon-Qui-A-Survécu dans tous ses cours, à part monter sur un balai.

Harry Potter et les Méthodes de la RationalitéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant