Harry Potter et les Méthodes de la Rationalité

NC Chapitre 24 : Hypothèse machiavélique du renseignement

JK Rowling s'enroule et frappe, sans être vue ; Des cercles d'orques, durs et maigres.

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Acte 3 :

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Draco attendait dans une petite alcôve vitrée qu'il avait trouvée près de la Grande Salle, l'estomac se retournant.

Il y aurait un prix, et il ne serait pas minime. Draco l'avait su dès qu'il s'était réveillé et avait réalisé qu'il n'osait pas entrer dans la Grande Salle pour le petit-déjeuner parce qu'il pourrait y voir Harry Potter et Draco ne savait pas ce qui se passerait après cela.

Des pas se rapprochèrent.

"Et voilà," dit la voix de Vincent. "Maintenant, ton patron n'est pas de bonne humeur aujourd'hui, alors tu ferais mieux de faire attention où tu mets les pieds."

Draco allait écorcher cet idiot vivant et renvoyer le corps écorché en demandant un serviteur plus intelligent, comme une gerbille morte.

Une série de pas s'éloigna et l'autre série de pas se rapprocha.

Les bouleversements dans l'estomac de Draco s'aggravèrent.

Harry Potter apparut. Son visage était soigneusement neutre, mais ses robes à bordures bleues semblaient étrangement de travers, comme si elles n'avaient pas été bien enfilées -

" Ta main, " dit Draco sans y penser du tout.

Harry leva son bras gauche, comme pour le regarder lui-même.

La main pendait mollement, comme quelque chose de mort.

"Madame Pomfresh a dit que ce n'était pas permanent," dit doucement Harry. "Elle a dit que ça devrait être en grande partie rétabli d'ici le début des cours demain."

L'espace d'un instant, la nouvelle fut comme un soulagement.

Et puis Drago réalisa.

"Vous êtes allé voir Madame Pomfresh," murmura Draco.

"Bien sûr que je l'ai fait," dit Harry Potter, comme s'il énonçait une évidence. "Ma main ne fonctionnait pas."

Draco commençait peu à peu à se rendre compte à quel point il avait été complètement idiot, bien pire que les Serpentards plus âgés qu'il avait mâchés.

Il avait juste pris pour acquis que personne n'irait voir les autorités lorsqu'un Malfoy leur faisait quelque chose. Que personne ne voudrait jamais que Lucius Malfoy ait un œil sur eux.

Mais Harry Potter n'était pas un petit Poufsouffle effrayé essayant de rester en dehors du jeu. Il y jouait déjà, et les yeux de Père étaient déjà tournés vers lui.

« Qu'est-ce que Madame Pomfresh a dit d'autre ? » dit Draco, le cœur dans la gorge.

"Le professeur Flitwick a dit que le sort lancé sur ma main était un sortilège de torture noire et une affaire extrêmement sérieuse, et que refuser de dire qui l'avait fait était absolument inacceptable."

Il y avait une longue pause.

"Et puis?" » dit Drago d'une voix tremblante.

Harry Potter sourit légèrement. "Je me suis profondément excusé, ce qui a donné au professeur Flitwick un air très sévère, puis j'ai dit au professeur Flitwick que tout cela était, en effet, une affaire extrêmement sérieuse, secrète et délicate , et que j'avais déjà informé le directeur du projet."