Chapitre 20

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A si Mikasa veut vraiment me tuer, la personne que j'ai touché c'était elle. Elle est vraiment pas contente, OUPS 

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En général ma réintégrations au bataillon c'est bien passer, une semaine plus tard, tout était comme avant, même avec hanji ce qui était vraiment étonnant, elle ne m'en veux plus du tout, le seul point qui a changer c'est que je souriais rarement, tout le monde essayer de me faire sourire, hanji passer son temps coller a moi, elle a peur que je reparte, mais c'est pas près d'arriver.

Durant le mois d'après j'avais reçu un message comme quoi l'orphelina était terminer, il manquer plus qu'a rassembler les gens, le bataillon a accepter de m'aider on c'était séparer pour chercher plus vite, hanji m'a beaucoup aider, a la fin de la journée on avait rassemble une vingtaine de gosse. 

Ce qui est franchement pas mal, une fois la bas tout le monde était heureux, les femmes ont pue commencer a travailler, ils était tous heureux, ça fait du bien de les voir comme ça.

Je reconnu un des garçons, c'était le gosse qui m'avais vu sortir de la maison de mon ex-employeur, celui que j'ai tuer. 

Je lui sourit, il me sourit en retour, je le remercie, et lui fit signe de ne rien dire.

Il me sourit, et parti jouer avec les autres enfants, il y avait aussi des hommes et des femmes qui était aussi dans le besoin, ils y a encore beaucoup de personne dehors, on as placarder des affiches dans toute les rues, pour inviter les gens s'ils sont besoins, et étonnement le gouv à accepter de nous aidez et de financer la nourriture de l'internat. Ceux qui est franchement pas mal.

Une fois de retour au QG, Hanji me regarder bizarrement.

Hanji : je... Je croyais que tu tuer pour le plaisir....

T/p : ah, comme la plupart des gens

Hanji : je te doit des excuses

T/p : non pas du tout au contraire ça serait plus tôt moi qui devrait m'excuser de ne pas t'en avoir parler.

Hanji : non en vrai tu as eu raison j'aurais mal réagit, et on se serais peut être pas autant rapprocher.

Je souris

T/p : dans se cas on peut dire que c'est un mal pour un bien

Elle sourit, je m'approcha et la serras dans mes bras. 

Elle avait l'air heureuse, et je le suis avec elle. 

Fin.

hanji X readerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant