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<aphrodite - rini>
if i can have this dance tonight i promise that you won't forget

Jisung et Minho prirent le chemin retour, main dans la main, les pas assurément lourds

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Jisung et Minho prirent le chemin retour, main dans la main, les pas assurément lourds. Ils riaient bêtement à l'occasion, pour une brise, pour un insecte un peu trop bruyant, en fait, pour aucune véritable raison. Jisung jurerait même que le trajet était bien trop long, quelqu'un avait dû s'amuser à ajouter des marches, il ne voyait que ça. Mais peu importait, il était sur un nuage, son ventre avait cette chaleur qui lui donnait l'impression que rien n'avait vraiment d'importance. Minho chantonnait vaguement les paroles de la musique qui se jouait encore, à bas volume, et il jurerait que dès lors, c'était sa mélodie préférée.

Puis alors soudain, il s'arrêta dans son ascension, une marche au dessus de son amant, il relâcha sa poigne et déposa ses mains sur ses épaules, sous l'air curieux de Minho, dont l'expression se fit automatiquement plus compréhensive à l'instant où ses yeux se posèrent sur les siens. Peut-être que c'était ça qui rendait leur idylle si précieuse, c'était qu'ils se comprenaient, sans rien dire. Parce qu'ils avaient ce même amour pour le beau, et que finalement, il n'y avait rien d'étrange à s'arrêter un instant pour réaliser à quel point la vie était si précieuse, à quel point ils rayonnaient sous les éclats de la lune, et à quel point ils ne voulaient jamais oublier cet instant, le gravant ainsi dans leur mémoire à tout jamais.

Jisung se mordilla la lèvre, s'octroyant encore tout le loisir de le lorgner pendant quelques longues secondes, et il brûlait. Il brûlait parce que ce n'était sans doute pas normal de se sentir si amouraché. Tant de choses qu'il ne comprenait même pas, mais qui pourtant avaient l'air évidentes, sans qu'il n'ait même besoin de les comprendre, son corps le faisait pour lui. Son toucher remonta dans une caresse jusqu'à sa mâchoire qu'il encadra. Ses doigts étaient comme engourdis, contre la chair de Minho qui émanait tant de chaleur, la chaleur de ses joues tracées pour lui plaire. Une chaleur qu'il lui partageait avec grâce, comme s'il était son Soleil à lui, alors pouvait-il rêver de le voir se lever chaque matin, rien que pour lui partager son éclat et son feu ? Il rêvait qu'il lui appartienne, est-ce que c'était trop demander ?

Le regard de Minho avait cette même passion, elle transparaissait avec tant de clarté, une passion pourtant si sombre, son regard était plein de paroles non-dévoilées, de mises en garde, d'une histoire qu'il ne connaissait pas mais qu'il voulait à tout prix découvrir. Ses yeux communiquaient tant, et à la fois, il ne pouvait rien y lire, il rêverait qu'ils ne lui parlent. Son souffle se faisait court, il avait besoin d'un baiser, il en avait besoin, viscéralement. Mais il n'était pas le seul, à l'évidence, puisque ce n'était pas lui qui avait approché sa nuque d'une impulsion pour cueillir ses lèvres. Et c'était encore plus jouissif de savoir qu'il n'était pas le seul à en avoir besoin. Alors il explosait. Enfin, il avait l'impression de le faire. Tout de cet instant était si bon, si juste, comme s'il découvrait à peine le sens de la vie, qu'on venait de lui donner la réponse.

Pourquoi embrasser Minho était comme découvrir la chanson qui allait devenir sa préférée ? Pourquoi embrasser Minho était comme mettre la dernière pièce à un puzzle ? Une pièce qu'il pensait avoir perdu quelque part, puis qu'il avait oublié de chercher, mais qu'il avait retrouvé, par un heureux hasard. Il était son heureux hasard, il était une mélodie qu'il voulait entendre pour le reste de sa vie durant. Il était toutes ces choses, et plus encore, alors il s'accrochait désespérément à ses épaules, comme pour lui dire de ne jamais partir.

Minho n'avait alors pas hésité à le rapprocher, sa main avait encerclé sa taille, comme pour répondre d'une promesse, pourtant, ça n'en n'était pas une. C'était simplement deux corps qui s'appelaient, qui se désiraient et se chérissaient présentement, sans l'égard d'un lendemain. Et c'était vrai, à ce moment, Minho était tout son monde, mais jusqu'à quand ? En fait, il ne voulait plus y penser à toutes ces choses, ça lui donnait le tournis, est-ce qu'il pouvait juste se concentrer sur l'extase de son étreinte ? Il le voulait terriblement, il ne voulait pas y penser, mais pourtant, il le faisait, sans pouvoir s'en empêcher, et ça le tourmentait, ça le rendait fou même. Alors pour faire taire ses tourments, il s'abandonna un peu plus, il enfonça ses ongles dans sa nuque et il succomba à la chaleur de sa langue qui caressa la sienne avec cette suavité qu'il ne connaissait que chez Minho. Et c'était si bon. Si bon qu'il savait qu'il ne pourrait jamais ressentir de nouveau cette avalanche de sensations qui lui donnaient l'impression d'exister pour une raison bien précise.

Leurs respirations étaient saccadées à l'unisson, ce n'était sans doute pas l'endroit pour s'adonner à ce genre de plaisir, parce que Jisung jurerait qu'il perdait l'équilibre. Mais quand Minho le tenait aussi fermement, il savait qu'il ne pouvait pas tomber, pas maintenant, en tout cas.

La flèche était acérée, elle s'enfonçait un peu plus profondément dans son cœur, est-ce que c'était le cadeau d'un ange ou bien une plaie ouverte qu'il n'allait jamais pouvoir panser ? Toutes ses pensées s'emmêlaient et pourtant, les paroles qu'il susurra dans un murmure contre son oreille ne les illustra même pas un peu ;

« - J'ai tellement envie de toi. »

Et il n'avait même pas fallu à Minho d'apercevoir son regard peint d'une toute nouvelle nuance de lubricité pour répondre avec la même ardeur ;

« - Moi aussi Jisung, t'imagines même pas à quel point. »

Son souffle se coupa à l'instant même où sa voix d'un nouvel octave lui arriva, oui, il n'y avait aucun doute, il devenait fou. Est-ce qu'il était même défoncé ? Tout ce qu'il sentait, c'était Minho, tous ses sens en étaient remplis, le reste, il n'en savait trop rien. Ils s'observèrent encore le temps d'un instant, puis leurs nez s'étaient chatouillés, comme pour se taquiner, et leurs sourires ne trompaient pas, ils acquiesçaient même à leurs paroles. Peut-être bien qu'ils s'adonnaient déjà à ces plaisirs quelques heures auparavant, garés dans un parking, mais maintenant, il voulait le sentir de nouveau, il voulait l'aimer un peu plus, il le voulait contre lui et voir toute sa vulnérabilité. Il voulait encore ses caresses et même un peu plus de tendresse, il avait besoin de ses mots doux et de ses gémissements les plus honnêtes, pour lui prouver que tout ça, ça existait. Ils avaient sûrement tellement à se partager qu'une vie n'était pas suffisante pour toute les essayer. Alors Diable, pourquoi Minho voudrait-il disparaître sans même s'y être tenté ?

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bon dieu... je suis une traîtresse, j'avoue mon crime 😞 j'avais dit que je restais pour de BON! g menti purée, mais le principal c que je sois là mtn haha :) non..?

ça se voit tlm que je suis tombée love entre temps PTDRRR c plus moi c Shakespeare qui a pris le relai je me prends pour qui même..... bref j'espère que vous aimez malgré tt jvm fort fort j'oublie grv pas d'où je viens je suis une wattpad girlie avant tt et je vais tt faire pour finir cette histoire pck elle le mérite.. vous le méritez..

je vous embrasse fort, et on se retrouve vite, si vous êtes encore intéressé.e.s par cette aventure évidemment... 🤠🥁

LE BAISER D'ÉROS; ᵐⁱⁿˢᵘⁿᵍOù les histoires vivent. Découvrez maintenant