chapitre 3: aucun retours en arrière

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Il y a 5 mois...

Il est sur le seuil de ma porte avec un grand sourire, que je fait aussi.

-en-entrez !

Il entre avant de lancer un regard à ma maison. Il se retourne vers moi pour me regarder avec son regard que j'aime tant.

-vous avez une belle maison.

Il n'y a pas que la maison qui est belle...

-merci.

Il me sourit.

-euh... vous voulez quelque chose ?

-non...

Sa réponse est hésitante.

-d'accord.. bah la table est ici..

Il me regarde droit dans les yeux, le sourire en coin avant de reporter son attention à la table.

-d'accord.

Il est maintenant 20h45, je n'ai pas réussit à me concentrer, il est tellement beau.

-vous avez compris ?

-euh.. oui oui biensur merci !

Il ris, en me regardant avec se foutu regard.

-d'accord... bon je vais y aller il est tard. A demain Aria.

-Aurevoir, à demain monsieur hackin.

-appellez moi gabriel, en dehors de cours.

Je lui sourit comme réponse, putain.
Il sort de la maison, restant sur le seuil de ma maison, pendant que moi, je suis contre le mur.

Il se retourne une dernière fois, me regarde avec une lueur dans les yeux.

Puis d'un coup je sent ses lèvres sur les miennes, elles sont chaudes comme je les avais imaginé.
Il lâche un grognement quand je me laisse emporter.

-putain...

Il lâche son emprise avant je me regardé, sa main sur ma joue.

-désolé..  j'en avais envie depuis que je t'ai vue traverser le seuil de la salle de classe... ça peut paraître bizarre mais...

-non... ce n'est pas bizarre.. moi aussi j'en avais envie.

Il me sourit.

-à demain Aria, surtout ne dit rien à personne.

Je sourit, les jous chauffantes, c'etais mon premier baisers.

Tous les soirs il venais chez moi, quand ma mère partais ou quand elle partait pas il escaladais ma fenêtre pour venir dans ma chambre, on s'embrassais juste rien de plus à part se soir là, ou je lui ai donner mon corps.

Il y a 5 mois...

-sal-

Il me coupa en m'embrassant, ses main emprisonnant mes jous.

-salut. Me répond t'il en souriant.

On s'embrassa encore et encore jusqu'à perdre notre souffle.





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