Quoique ne l'ayant rencontré qu'une seule fois elle l'aurait reconnu au milieu d'une foule. Alessandro Rossi n'avait pas d'égal, c'est un superbe créature, une superbe créature démoniaque.
Le râlement de la jeune femme laissait comprendre qu'elle souffrait mais elle semblait aimer cela car elle poussait des cris de joie de temps en temps. Une boule se forma au creux du ventre de la jeune fille.
C'était la première fois qu'elle vivait ce genre de scène que de près que de loin.
Elle était si inexpérimentée en matière d'homme qu'elle ne savait si elle devait en rire ou pleurer. Mais elle était consciente plus que jamais de sa féminité et elle sentit son entre-jambe frémir.
Alessandro accélera le rythme tandis qu'il retenait sa proie par la nuque. Cette dernière avait le visage enfoncé dans le matelas et emmettait des cris étouffés.
Isabelle savait qu'elle devait partir, qu'elle devait profiter de la situation pour s'enfuir mais elle ne pouvait détacher son regard de cette scène hypnothique qui l'effrayait et la fascinait en même temps.
Elle ouvrit la bouche en quête d'air car l'espace autour d'elle, s'était considérablement réchauffé. Ses tétoms se pointèrent sous le tissus immaculé et elle sentit son vagin s'humecté.
" Mon Dieu" pensa-t'elle.
Elle sentit ses jambes flageolées alors elle esquiva un mouvement pour s'empêcher de tomber mais elle fit renversa un vase en porcelaine qui s'écrasa en milles morceaux dans un fracas ahurissant.
Quant elle releva les yeux, l'orgie semblait ne pas en être affecté mais entre les chevelures blondes, rousses et brunes qui volaient de partout, elle croisa un regard qui faisait penser à un ciel orageux. Elle recula d'un pas.
Une porte vola sur sa droite dévoilant Romano et ses sbires qui la trainèrent dans la prison de princesse et l'enferma.
Tout se passa si vite qu'elle n'eut pas le temps de prononcer une seule parole. Elle se sentait comme une gamine prise en faute oubliant son droit à la liberté. Elle avait chaud, tous ses sens étaient en éveil. Elle tenta en vain de calmer sa respiration sacadée, elle s'adossa à la porte de sa prison et ferma les yeux.
Des flashs de la scène qui se déroulait à côté de sa chambre lui revenait et des yeux gris la transperçait. Elle s'imagina à la place de cette femme qui criait tout à l'heure.
" Que m'arrive-il bon sang, aurais-je perdu la tête?"
Elle toucha la pointe d'un sein qui se dressait dur en quête d'attention et fut traverser par un violent frisson. Elle ne comprenait pas l'effet que cet homme lui faisait. Elle si sage, si correcte d'habitude.
Alessandro Rossi était le diable incarné, un humain ne pouvait avoir une telle emprise sur un autre. Son corps si métrisable d'habitude la trahissait. Son vagin émit des contractions sacaddées et elle retint un cri quand un liquide chaud envahit sa culotte.
"Oh non, non, non, pensa-t'elle? Je ne peux pas avoir mes rêgles maintenant je porte un short blanc."
Elle se réfugia, paniquée dans la salle de bain et baissa son pantalon, il n'y avait pas de sang en vue. Seulement un liquide épais et blanchâtre s'était installée.
Elle se sentit génée alors elle enleva complètement le vêtement pour le laver sous le robinet tout en se maudissant à voit haute.
- Pas possible, que m'arrive-t'il, renifla-t'elle. Ce type me fait des effets pas possible, je dois partir d'ici.
Quand elle se retourna pour étendre le short sur le porte-serviette elle se figea.
Il était là, debout dans l'embrassure de la porte. Alessandro Rossi la dévisageait d'un air amusé. Elle ouvrit la bouche deux fois pour parler mais aucun son ne sortit.
Alessandro avança vers elle tel un prédateur traquant sa proie, elle recula paniquée, il n'y avait aucun issu. Elle était seule avec cet homme ténébreux et imposant avec pour unique vêtement un t-shirt.
Il continuait à avancer vers elle, le regard soudé au sien tandis que toutes sortes d'émotions la traversaient. Elle se sentait prise au piège et personne n'était là pour l'aider.
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Coupable d'être belle
Fiction HistoriqueIsabelle Carlile, malgré son deuil, devait payer les dettes de jeu de son père et sauvée sa famille de la foudre de l'illustre Alessandro Rossi mais ignorait que sa chasteté serait mise en jeu.