Ça fais un mois que j'ai intégré le lycée et tout ce passe pour le mieux. Je suis rapidement monté dans l'échelle de la popularité.
Pour la première fois depuis la rentré Hardin n'est pas là. Je l'appelle mais reste sans réponse.
-Oli ça va, demande Gabriella.
-Ouais juste qu'Hardin a un empêchement.
-Bah je te ramène si tu veux, j'ai un casque en plus.
-T'es sur que ce ne te gêne pas? Ça te ferrai faire un sacré détour.
-Certaine, viens.
Je monte derrière elle après lui avoir donner l'adresse. Elle démarre en faisant un vacarme pas possible ce qui me fait sourire. Gabi oublie les limitation de vitesse et me ramène en un temps quasi record. Elle s'arrête devant le portail de la propriété et pose le pied à terre.
-Merci ma belle, ça va aller le retour?
-Oui t'inquiète pas mon chat. A mardi pour la soirée?
-Ouais si ils me laissent l'organiser.
J'entre dans la propriété puis dans la maison, Alessandro et ma mère cessent de discuter quand j'arrive à leur hauteur.
-Enfin les vacances, demande ma mère souriante.
-Oui. D'ailleurs je peux inviter quelques amis mardi pour mon anniversaire?
-Non, répond froidement Alessandro.
-Pourquoi?
-Personne ne viens faire la fête chez moi.
-Mais c'est mon anniversaire.
-Je m'en moque. Personne ne viens chez moi, surtout des adolescents en chaleur qui vont se défoncer et boire.
-Pardon? Contrairement à ton fils et toi je ne descend pas une bouteille de whisky en une soirée.
-Non. Tu ne ferras pas de soirée ici.
-Maman, je m'exclame en me retournant.
-Non Oliver, si Alessandro ne veux pas il n'y aura pas de fête.
-Papa lui me laisser organiser une fête, pourquoi c'est lui qui est mort et pas...
Je ne fini pas ma phrase sachant que ça ne changera pas la situation.
-Oliver, non c'est non point. Que ça te plaise ou non jeune homme, tu te dois de t'adapter aux règles de la maison.
-Super, je souffle. Je peux au moins sortir pour mon anniversaire?
-Non, tu es trop jeune pour sortir seul.
-Tu te moque de moi la? Tu ne t'en soucier pas quand je vivais avec papa et qu'il me laissait sortir avec mes amis.
-Ton père n'est plus là Oliver. Je suis désolé mais il faut que tu l'acceptes et que tu arrêtes de tout ramener à lui et ses règles.
-Si je le fais c'est peut-être parce que j'étais heureux avant.
-Oliver...
-Je suis dans ma chambre.
Je monte, mets la musique à fond sur l'empli et chante par dessus. Ils me font chier, je leur rend l'appareille. Ma voix s'affaibli quand je commence à dessiner jusqu'à ne plus du tout chanter, pour être parfaitement concentrer sur mon dessin.
Après quatre heure avec la musique à fond je l'abaisse. J'entends une grosse dispute entre Hardin et son père, les deux se hurlent dessus comme si ils se haïssaient. Quand les choses se calmement enfin, ma mère vient me chercher pour manger, pour la première fois depuis qu'elle s'est mariée à Alessandro nous mangeons en tête à tête.
-Je suis navrée que tu ne sois pas heureux ici, admet elle en portant la fourchette à sa bouche.
-Papa me manques, mes amis me manques, ma vie me manques. J'ai dus encaisser la mort de mon père et changer complètement de vie en même pas un mois. Je vis chez un homme qui ne m'inspire rien de bon, ma mère ne s'occupe de moi que dans elle est seule, vous parlez italien entre vous comme si je n'étais pas là...
-S'est un rythme différent.
-Non, j'ai juste l'impression d'être de trop.
-Je ne voulais pas que tu aies cette impression Oliver, je suis désolée. Et si pour me rattraper on se faisait une journée mère fils, comment quand tu étais petit.
-Ouais si tu veux.
-Super, on se fait ça demain.
On fini de manger dans le calme. Je monte dans ma chambre puis dessine avec la musique dans le casque.
Je me réveille avec une douleur dans le dos, ce n'est pas la première fois que je me réveille sur mon bureau, je frotte mes yeux et m'étire jusqu'à entendre craquer mon dos. Il n'est que quatre heures du matin et pourtant j'ai faim comme si j'avais dormi pendant des jours. Je descend me prendre un truc à manger sans allumer les grandes lumière, je remarque Hardin et son père dans le salon, seulement éclairé par une lumière tamisé, je distingue également un troisième homme. Son père lui parle froidement mais Hardin semble armée contre ça. Il reste droit et fière sans baisser les yeux. Je remercie les ingénieurs qui ont créés les IA. J'en utilise une qui permet de traduire par écrit ce qu'elle entend. Je me cache dans la cuisine et commence à lire la traduction. Ils parlent principalement de se débarrasse de je ne sais qui mais Hardin semble contre.
« Tu te rappelle que de part notre lois tu n'as pas le droit de toucher un enfant. » « Tu es un homme maintenant, je vais te traiter comme tel! »
A la fin de sa phrase Alessandro envoie un coup dans la mâchoire de son fils, l'homme inconnue ne broche pas. Hardin tiens sa joue mais reste fière. Il aborde un sourire provocateur et demande à son père, selon l'IA, si c'est tout ce dont il est capable. Sans surprise il s'en reprend une puis il laisse l'inconnue le réprimander physiquement, Hardin ne se laisse pas faire et répond au coups. Pétrifier d'assister à ça je ne sais pas comment réagir. J'imagine que je devrais prévenir ma mère ou intervenir mais je n'arrive pas à bouger. Les trois hommes se calmement enfin, Alessandro et l'inconnue partent à l'étage, Hardin lui se met face à un miroir et inspecte ses blessures puis pars dans les escalier. Je soupir de soulagement et commence à grignoter le cookie sans savoir quoi faire. Je suppose que normalement on va voir la personne qui viens de se faire agresser pour savoir si elle va bien. Mais avec Hardin je ne sais jamais si il va m'envoyer balader ou avoir un sourire. Puis il m'avait prévenue, quoi qu'il se passe je doit faire l'ignorant.
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Les Russo 1
General FictionOliver doit aller vivre avec sa mère suit au dece de son père. Hardin va devoir combattre ses démons pour protéger Oliver tout en lui cachant ce qu'il s'est réellement passé. Réservé à un publique averti.