29 : Oliver

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La famille et entièrement vêtu de noir. Ils portent le deuil en respectant les traditions, un voile noir recouvre la porte, personne ne porte de bijoux, les hommes ne porte pas de cravate pour l'enterrement.

Hardin a fait un discoure magnifique sur l'amour que sa grand mère lui portait, néanmoins il s'est pétrifié au moment de rendre un dernier hommage au cercueil avant la mise en terre. Comme le voulait la femme, elle est enterrer avec son mari dans le caveau familiale. Je l'ai accompagné, ça ne semble pas avoir plus à son père.

Hardin reste loins de ses cousins, je peux le comprendre, ils passent leur temps à boire et fumer de l'herbes. Toute sa famille est partit je ne sais où, lui n'a pas voulu les suivre, moi je n'ai même pas été convier. Je toque à la porte de notre chambre partager et entre. Hardin s'assoie sur le lit, depuis cinq jours il ne parle pratiquement plus. Je mordille ma lèvre en voyant qu'il se rallonge en fixant le plafond. Je referme la porte et m'allonge à côté de lui, je ne sais pas quoi dire ni quoi faire de plus, j'ai l'impression d'être le seul à voir que c'est lui qui souffre le plus. Il me repousse dans un premier temps mais fini par céder face à mon insistance. De tout façon je le sens se faufiler dans mon lit la nuit quand il pense que je dort, il me prend contre lui et s'endort quelque heures avant de repartir dans son lit.

-Hardin, tu veux bien te tourner vers moi?

Il bascule sur le côté et me fixe en silence.

-Comment tu vie le fait que tu aies tué ta grand mère et que tu le cache à ta famille.

-J'ai fais ce qu'elle m'a demander, répond t'il froidement.

-Oui, tu as honoré sa demande mais comment tu le vies?

Un rire nerveux lui échappe, les larmes suivent peu après.

-C'était la seule personne qui ne m'a jamais jugé, son regard n'a jamais changer, peu importe ce que j'ai pus faire elle me regardait toujours avec fierté. Je ne voulais pas qu'elle souffre et je ne regrette pas d'avoir tenue parole. C'était une femme d'affaire formidable et une leader. Elle était un exemple pour moi.

-Mais?

-Je suis triste de l'avoir perdu et que se soit toi qui me réconforte.

-Pourquoi?

-J'en ai marre que tu sois collé à moi parce que tu m'idéalise ou je ne sais quoi.

-Je ne t'idéalise pas.

-Alors pourquoi tu me colles?

-Je pense juste que tu n'es pas entièrement mauvais.

-Lâche moi Oliver, je suis pourri jusqu'à la moelle.

-Pourquoi tu dis ça?

-Oliver, quand je suis rentré bourré la dernière fois...tu t'en rappelles?

-Oui, tu m'as dit t'être bourré la gueule après t'être battu.

-C'est Gabriella que j'ai tabassé.

-Tu mens, je m'exclame.

-Non, elle se servait de toi pour avoir d'éventuelle information sur nous. Sa famille est concourante à la mienne.

Je ne peux pas le croire. Je sais qu'il veux simplement m'éloigner de lui! J'espère tout du moins...

-Je ne te crois pas.

-J'ai sentis ses côté se briser sous mes coups, sa gueule était en sang, je pense qu'elle aura besoins d'une chirurgie pour reconstituer son nez.

-Hardin ferme la.

-Mais ce n'est pas ça le pire. C'est quand elle s'est mit à crier qu'elle allait tout te balancer, les histoires, les magouilles, les trafiques. J'étais obliger de la faire taire. Si tu viens à apprendre toute l'histoire de A à Z mon père voudra te réduire au silence et je ne veux pas que tu meurs. Les raison m'échappent totalement mais j'ai envie que tu aies une vie normale. J'étais contre le fais que tu rentres dans nos vies, j'ai essayer toute les stratégie possible pour que tu reste à Miami mais ta mère avec sa conscience était contre. Sous prétexte que tu venais de vivre la mort de ton père.

-Hardin je t'en supplie ferme la.

-Non il faut que tu entendes la vérité Oliver. A chaque fois que j'arrive à t'éloigner de moi tu reviens et tu embrouille mon esprit. A chaque fois je me fait avoir avec toi. Je ne sais plus quoi faire pour que tu reste loin de moi.

-Hardin je ne te ferrais pas le plaisir de te détester.

-Pourtant c'est tout ce que je mérite Oliver.

-Tu es surtout déstabilisé émotionnellement parlant parce que tu viens de perdre le seul repère stable que tu avais.

-Tu crois ça? J'ai vue ma famille se faire massacrer, j'ai vue ma mère, ma tante et ma cousine se faire violer, je me suis fait violer quand je n'avais que cinq ans. Ils n'ont même pas eus la descente de me tuer ce jour la. Ils ont foutus le feu à la maison les pompier m'ont sortis juste à temps. J'ai grandi et appris à faire avec et toi tu prêtant que c'est d'avoir perdu ma nonna qui me rend instable? Tu crois vraiment que de l'avoir perdu fait que je cherche à me faire détester? Non, je ne veux pas que tu me déteste Oliver je veux juste que tu me vois tel que je suis vraiment.

Un tilt résonne dans ma tête, j'avale ma salive en comprenant que l'histoire de la baraque abandonner est la sienne...

-Hardin, les fous assoiffés de vengeance qui ont violé les enfant et les femmes avant de les tuer.

Il se lève et prend un couteau pour le faire tourner entre ses doigts tout en marchant.

-Tu comprends vite quand on t'explique longtemps, rit-il en reprenant sa face de psychopathe.

-Ça explique ta peur de...

-Arrête de chercher une explication rationnelle à mon comportement et à essayer de me psychanalyser tout le temps ça deviens lassant.

-Tu as pus en parler avec un psy?

-Oui juste avant de monter sur ma licorne et de galoper sur un arc-en-ciel magique. Conglione.

-Tu te renfermes Hardin arrête, si tu m'en parle c'est que ça te travaille toujours.

-Et comment tu interprètes le faits que j'ai envie de garder en vie alors que j'ai assister au dernière mot de ton père, rit-il macabre. Culpabilité ou sadisme?

Les Russo 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant