Pardonne moi

1) En 1491

Bonjour ou Bonsoir ! 👍( j'ai seulement corriger les fautes )

Bonne lecture !

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- Il faut se réveiller Lise !

Je sentis soudain un poids s'abattre lourdement sur moi.
J'ouvris difficilement les yeux et vis Katerina en chemise de nuit allongée sur moi, un sourire amusé étira ses fines lèvres.

- Bonjour Lise ! Bien dormis ? Me demande-t-elle en se relevant.

Elle se mit à sautiller en fredonnant jusqu'à la fenêtre, elle ouvrit les rideaux.
Je referma immédiatement les yeux dans un grognement sourd.

- Que me vaut cette humeur si... joyeuse dès le matin chère sœur ?

- Ce soir, c'est l'anniversaire de Niklaus ! Il organise une fête et ça me ferait très plaisir si tu mis accompagne... Me supplia-t-elle en faisant une mine triste, sachant que je n'ai aucune intention de l'accompagner.

- Et tu sais pertinemment que je refuserais... Soufflais-je.

Elle se rapprocha et s'essaya sur le lit en abordant une mine de chien battu.

- Je t'assure que tu ne le regretteras pas ! Niklaus est un homme charmant et je ne te parle pas de son frère aîné, Elijah !

- Katerina... tu sais bien que je ne supporte nullement ce genre de fête ? C'est tellement... inintéressant et ennuyant.

- Mais- !

- On en reparlera après le soupé, tu veux bien ? Soufflais-je.

Elle quitta ma chambre, l'air abattu.
Je n'ai vraiment pas le moral pour aller faire la fête... j'ai fini mon livre hier et mon moral est au plus bas.
Cependant, boire seule me convient amplement !

Les heures passèrent et le repas venait de se terminer.
Je me dirigea vers le jardin, mon livre à la main.
Je m'assis dans l'herbe contre un arbre, essayant tout de même de ne pas salir la belle robe mauve que je portais.

J'avais à peine lu une page de mon nouveau roman que j'entendis ma sœur m'appelait.

- Tiens, te voilà ! S'exclame-t-elle en s'accroupissant devant moi.

Je referma mon livre et la regardai avec ennui.
J'espérais qu'elle avait oublié...

- Tu as 5 minutes pour me convaincre d'aller à ta fête ridicule. Déclarais-je après quelques secondes de silence.

Alors... Quels sont tes arguments chère sœur ?

Elle s'assit à côté de moi et me sourit de toutes ses dents.

- Tu m'as l'air bien confiante... tu me fais peur là.

Je fronça des sourcils.

Que pourrait-elle bien me faire ?
Chantage ?
Non, elle n'oserait pas !

- Soit tu m'accompagnes... Commença-t-elle sur d'elle.

Elle ne va pas oser...

- Soit je révèle à père la raison pour laquelle son stock d'alcool diminue chaque soir depuis des mois !

Elle a osée...

- Quoi- !

- Et je choisis ta robe ! Me coupa-t-elle en levant le doigt.