𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟏 | 𝐍𝐢𝐠𝐡𝐭𝐦𝐚𝐫𝐞 𝐜𝐨𝐦𝐞 𝐭𝐫𝐮𝐞

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POINT DE VU ALEXANDRE :
Réseaux 8:00

Ses talons, je jure que si j'entends encore un de ces maudits claquement, qui m'ont réveillé, je la tue. Pourquoi faut-il qu'elle porte ces foutu chaussures? Il faut toujours qu'elle en fasse trop dans le genre, femme fatal, je vais pas la critiquer elle est comme ça mais putain il huit heure du matin et j'ai travailler jusqu'à épuisement, alors j'espérais qu'elle me laisse se matin...

Katherine qui vient me rapporter son rapport de mission, je l'ai envoyé toute la soirée en repérage concernant l'un de nos "alliés", je suis pressée de voir s'il va mourir dans les prochains mois ou rester en vie et continuer de travailler avec nous. Je me redresse de mon bureau, referme ma chemise pour le plaisir des yeux de Kat, cache certains documents confidentiels. Pourquoi j'ai l'impression que ses talons frappent le sol plus fort que d'habitude, serait-elle énervée ? Elle est chiante avec tout le monde sauf moi d'ordinaire, qu'est-ce qui arrive à notre héritable Kat ? Elle me dépose mon café habituel sur la table avec les dossiers de la Smith's industrie gardant dans la main se du réseau et de sa mission.

- Salut, Katherine. Dis-je d'une voix encore endormie.

Elle s'assoit sur l'une des chaises en face de moi, elle se met a taper sa chaussure contre sol en veillant à effectuer une gradation, ses talons tape de plus en plus fort, je pourrais parier qu'elle a fait des trous dans le sol. Elle ne me répond pas, elle me regarde remplaçant son regard noir par ses yeux mielleux qu'elle garde pour moi mais ses sourcils son toujours froncé se qui ne passe pas inaperçu tous comme ses point serre, elle qui fait tout pour me séduire se retient de me hurler dessus.

- Tiens, ton rapport. Dédaigne-elle enfin.

Ah madame est belle et bien énervée, je peux profiter un peu profiter de la situation, elle qui me soul a longueur de journée, je vais jouer avec tes nerf chérie. Kat me jette son rapport alors que la partie commence. Si elle croit que je vais la laisser partir même pas en rêve il me faut une pause avant d'entendre encore une fois ses escarpins.

- Oh quel enthousiasme, je vois que tu es heureuse de travailler pour moi. Ajouté ai-je sur un ton amusé.

- La ferme. Me répond-elle sur un ton plus tôt froid.

- J'espère que tu vas profiter du soleil de LA, il va bientôt partir.

Si je n'était pas rationnel, j'aurais pensé qu'elle venait de me jeter un sort avec ses yeux, bien sûr qu'elle n'a pas profité, je lui ai dit de rester cacher dans sa voiture devant une maison, dans un trou pommé en plus, pendant deux jours.

- OUI ! Je me suis même baignée, abrutie !

- Content pour toi.

J'ouvre le dossier espérant trouver des bonne nouvelle, même si elles se font rares en ce moment. Je commence à étaler les informations récoltées par ma secrétaire, alias super tueuse à gage, des photos du futur défunt, pour voir si elle s'accorde avec les informations que j'ai reçues à son sujet, je récupère d'autre preuve venant d'ici pour les comparer avec elle qui me rejoint en faisant un bruit insupportable avec ses pied, encore une fois, nous les plaçons de sorte à ce que les heure ou était prise chaque photo concorde avec celles d'ici et étrangement tout s'assemble, maintenant il faut trouver pourquoi il était à Los Angeles alors qu'il devait partir pour Paris.

- C'est pas étonnant je l'ai jamais aimé se types.

Elle se retourne et s'adosse contre le bureau, je remarque qu'elle a pris le temps de déboutonner un bouton de son chemisier si elle pense que je vais rentrer dans son jeu, elle se met le doigt dans l'œil, de mon côté je continue de regarder perplexe en voyant mon collègue actuellement classe, il veut toujours prouver qu'il a la plus grosse fortune, ce qui est probablement faux, sur les image il est vêtu d'un jogging et un tee-shirt troué, bizarre.

SAUVE-MOIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant