𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟐𝟎 | 𝐔𝐍𝐎

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POINT DE VUE OLIVIA :
Maison 19:52

Les deux derniere semaine son passer a vitesse folle, je n'ai pas eu une seconde pour moi, à l'universiter c'etait semaine de l'enfer, c'est comme ça que j'ai appelle les fin de semestre, c'est la semaine ou chaque jour j'ai un controle important qui met en jeux ma bourse. Deux semaines que je nettoie l'appartement, je lui refait une beauté si on peut dire, John et Isabel ne sont pas revenu, je pense que leur mission s'arrête là. Alors j'ai décidé de remettre se veille apparte au bout du jour, du rangement s'imposer, maintenant que je vis ici toute seul à se que j'ai compris, je pense aussi que j'ai besoin de toujours trouver un truc a faire, j'aime pas être seule ici. Quand je suis rentré dans l'appartement après qu'Alex m'a déposé, j'ai cru que j'allais faire une crise d'angoisse, je ne voyais pas le salon ou la cuisine vide non je me voyais au sol en train d'être frapper. Donc je m'enferme dans ma chambre quand je ne nettoie pas.

Tu devrais consulter pour tes visions, c'est flippant.

C'est toi qui est flippante.

Donc voilà deux semaines que je m'isole à travailler et ranger je n'ai même pas penser à fêter mon anniversaire, j'étais tellement occupé à distraire mon esprit que je l'ai oublié.

Tu penses qu'ils auraient aimé le fêter avec toi.

Les élève de mon université sont surement en train de fêter la fin des examen du premier semestre et moi je m'ennuis pour la première fois de ma vie je m'ennuis chez moi mon bole de nouille instantanée à peine toucher devant moi, mon ordi diffuse the office mais je n'arrive pas a me concentrer sur la série, j'aimerais voir mes amis je ne l'ai vu qu'au travaille, il me manque, c'est la première fois que je ressens ça.

Mais je sais comment je vais réagir si je l'ai vois, je ne serai pas moi même pas temps que j'ai fais le tris dans mon esprit.

Tu pensais quand même pas qu'ils allaient passer par la fenêtre pour combler ton manque.

- LIV !

Il faut croire que oui.

Je sors de mes pensées par la voix d'Alex, quand je parlais d'ami je ne pensais pas premièrement à lui, il est derrière ma fenêtre, en tee-shirt dans ses températures, il est fou ! Je lui ouvre la fenêtre.

- Tu es fou de sortir comme ça dehors.

Alexandre n'a que faire de ce que je lui raconte et se retourne avant de crier :

- Ça a marché.

Il n'est pas tout seul à qui il parle ?

- On peut rentrer ou pas ?

- Pourquoi ?

C'est le seul truc que tu trouve a dire, imagine qu'il ramène des timbré.

- Tu as fini tes examens et si Anna restait encore une soirée de plus sans toi elle allait faire une crise existentiel.

Je m'apprête à répliquer, lui dire dire qu'ils auraient pu prévenir !

Pour que tu ranges, tu as fait ça toute la semaine, repose toi un peu.

Ah, maintenant tu es pour qu'ils rentrent !

Alors que je me bats avec mon esprit, le brun reprend la parole en se faufilant dans ma chambre, mais je rêve ! À peine il est rentré que son odeur a rempli ma chambre, cette odeur que j'ai senti vaguement ces deux dernières semaines, cette odeur rassurante, non ! Cette odeur qui me procure un manque, NON ! Il faut que j'arrête sa...

Ça devient grave, je confirme.

- Alors on est venu et je savais que ton instinct d'infirmier n'allait pas me laisser seul.

SAUVE-MOIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant