𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟏𝟓 | 𝐑𝐨𝐚𝐝 𝐭𝐫𝐢𝐩

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(Pas encore réécrit)
Road trip

POINT DE VUE OLIVIA
Maison 03:07

2 heures.

C'est le nombre d'heures qu'il me reste avant que mon fou de patron viennent me chercher, il n'y a pas de bus à cette heure et je connais personne qui pourrait venir me chercher, ce n'est pas une idée qui m'enchante de savoir que mon boss connaît désormais mon adresse et je vous parle pas du fait que je vais être avec lui durant trois jours à los Angeles.

Lui et moi, on va devoir cohabiter pendant trois longues journées.

Quand il m'a demandé mon adresse sur le coup j'ai hésité à donner une fausse mais après je me suis rappelé qu'il a eu mon numéro par je ne sais quel moyen donc j'ai cédé.

Tu es...

Lâche je sais.

Depuis l'incident de l'ascenseur le vocabulaire de cette petite voix insuportable c'est nettement réduit se qui est entrain de me rendre litteralement folle, je ne sais pas encore combien de temps je vais tenir.

Tu es déjà folle lâche.

C'est son nouveau mots préfère lâche, elle le mets à tout bout de phrase, m'appelle ainsi, définit mes actes aussi et bien d'autre...

Normal il te qualifie lâche.

Mon sac est fait depuis hier je l'ai caché sous mon lit, mes "parents" ne le savent pas encore que je part pour plusieurs jours, mais après leur réaction face à mon week-end chez les Smith je préfère ne rien dire.

Je leur dirai que dans la voiture que je suis en voyage « scolaire » pour trois jours surtout que hier n'a pas était une soirée très calme, la trace rouge sur mon visage peut le confirmer et j'ai pas mentionné les bleus sur mes avant-bras c'est la nouvelle passion de John à croire.

Alors je suis là à attendre sur le petit balcon de ma chambre avec mon livre et un paquet de fraise sucré je n'aurai plus qu'à prendre mon sac et descendre par l'échelle

Ce soir la nuit est calme, il y a pas un nuage on voit bien les étoiles et le clair de lune, ces nuits là sont mes préféré j'aime me perdre en elle qu'elle me prenne dans ces bras et me berce se son les seul qui écoute et comprenne mes souffrance mais aussi les seuls qui font rien pour que sa change.

~~🥀~~

Je suis toujours installé sur mon petit balcon, mon regard perdu.

Une voiture noir bien trop luxueuse pour mon cartier se gare devant mon immeuble il est déjà arrivé aussi tôt il reste trente minutes avant son arrivée...

Il m'a sûrement repéré je suis la seul dehors à cette heure ci

MONSIEUR ÉTRANGLEUR :

Tu es prête ?

MOI :

Oui.

MONSIEUR ÉTRANGLEUR :

Descends.

Je regarde la route et vois la voiture me faire des appels de phares.

C'est qu'il est pressé ! Mais ça ne me dérange pas plus vite je pars de cet apparte mieux je me porterai, je récupérerai mon sac et descendre par l'échelle.

Fait que tu ne casses pas.

Je t'en supplie !

CRAC

SAUVE-MOIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant