Chapitre 8

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Mario

Je fait les cents pas dans le salon de ma maison.

Mierda !

En la revoyant par hasard dans se restaurant servir des pizzas, j'ai eu l'impression que mon coeur avait cesser de battre.
Je n'avais pas prévu cela.

C'est yeux caramel et cette bouche rose mon hantée pendant des jours.

Le jours suivant après l'avoir vue dans cette pizzeria j'ai décidé de m'y rendre.
Sachant qu'elle avait vue mes yeux, j'ai eu l'idée de mettre des lentilles noir. Plus jamais ! Ce truc est tellement désagréable.

Elle et la, dans mon bunker sous la maison.

Cette pièce était déjà construite dans le sous sol lorsque j'ai acheter ma maison, j'en et donc profiter pour l'emménager au cas-où il m'arriverait quelques choses.

J'ai pris un énorme risque putain, pensé-je.

C'est maintenant que je me rend compte de ce que j'ai fait.
Je ne peux pas la laisser partir, au risque qu'elle me dénonce.
Et, je ne peux pas la laisser dans ce sous sol pour rien.

Seulement parce que elle m'a troublé en un regard.

La sonnerie de la porte d'entrée résonne dans la maison lorsqu'elle s'ouvre je comprend directement de qui il s'agit.

- Holà, mi hermano !
Salut mon frère !

Je lève les yeux au ciel.

Je note dans mon esprit qu'il faudrait que je ferme à clé plus souvent la porte d'entrée.

Samuel entre dans le salon tout sourire et ce laisse tomber sur le canapé.

- Qué quieres ? Demande-je sèchement
Que veut-tu ?

- Je suis venu rendre visite à mon grand frère, pourquoi, je n'ai plus le droit ?

- Tu peux prévenir avant et éviter de rentrer comme-ci tu était chez toi !

- Argh, ça va, hermano n'en fait pas un drame ! Tu a quelque choses à bouffer ?

Il ce lève en poussant un long soupir puis s'approche de la cuisine où il ouvre le frigo.
Mon petit frère sort plusieurs morceaux de fromage ainsi que du salami qu'il fourre dans sa bouche.

- Tu est venu dévaliser mon frigo ?

- Je suis venu te prévenir que notre case c'est parfaitement bien dérouler.

Mes sourcils froncer le font réagir.

- Nos sources m'on annoncer que les flics s'intéresse à des ukrainiens sans papier, nous sommes hors de cause.

Cela fait plus de trois ans que mon petit frère et moi cambriolons des banques et des maisons de particuliers dans toute l'Espagne.

Nous savons comment procéder.
Habillé en noir, mains ganté et visage masqué.

Nous sommes très discret et évitons de voler grand choses à chaque fois pour ne pas être trop long.

La banque nationale de Barcelone était notre plus gros coup.
En moins de dix minutes, nous avons ramasser plus de cent-mille euro.

- Ch'ez tout che que che voulez te dire ! Marmonne t'il la bouge pleine.

Il récupère une boisson dans le frigo et sort de ma maison.
Je me dépêche de fermer la porte à clé derrière lui.

Nous avons réussi notre coup mais perra je risque de tout bousillé avec cette femme dans mon sous sol.
Sauf que, je n'ai pas envie de la laisser partir.

Esta belleza me va a causar problemas.
Cette beauté va me poser des problèmes.

Fernàndez Où les histoires vivent. Découvrez maintenant