Chapitre 18

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Alba

Sous l'eau bouillante de la douche mes muscles ce détendent.
Mes cheveux s'engorge d'eau et je lâche un soupir de plaisirs.

Après ma douche j'enfile un pyjama est rejoins le salon où je m'affale sur le canapé devant la télévision.

Lorsque nous sommes rentrer je me suis directement réfugier dans la salle de bain, mon cerveau était tellement plein de questions à lui poser sur j'ai préférer fuir.

Mario a une faiblesse, et je la connais.

L'abandon.

Alors que je pense à lui, il me rejoins sur le canapé.
Il lâche un soupir en ce laissant tomber à mes côtés.

La télécommande en main il zappe les chaînes de la télé.

- On dirait que ma mère t'apprécie, interrompt-t-il le silence entre nous.

Je tourne la tête vers lui pour fixer son profil.
Son nez parfait et sa peau bronzer.

- Elle ne mériter pas qu'on lui mentent.

- Je sais, mais nous n'avions pas le choix.

- Ouais, je souffle.

Dans un soupir je me lève du canapé pour rejoindre la fenêtre du salon.

La nuit et tomber le ciel et sombre et remplie d'étoiles brillante.
Je lève la tête vers ces dernières et pense à mes parents.

Quelques secondes plus tard je ressens une présence à mes côtés.

Les yeux dans les étoiles je commence à murmurer :

- J'aime regarder les étoiles, une partie de moi vit-la haut.

- T'es parents ? Demande-t-il d'une voix douce.

- Oui. Ils.. ils sont partis en emportant avec eux une parti de mon coeur..

- Je suis désolé.

Je pivote vers lui et son regard impuissant me fait déglutir.

- Ta.. ta mère, m'a parler de ton père aujourd'hui.

- C'était évident qu'elle aller t'en parler.

- Je comprend tu sais. Un enfant arracher des bras de l'être qu'il aimer le plus au monde aura du mal à tourner la page.

- J'ai tourner la page. Mon père et mort a mes yeux.

Au fond de lui il sait très bien qu'il ne pense pas cela.
Je suis persuadé qu'il est beaucoup plus triste et déçu que en colère contre son père.

J'attend qu'il dise quelque choses mais rien ne viens.

Je soupir et m'apprête à quitter le salon et rejoindre ma chambre lorsqu'il m'arrête en disant :

- Il était mon meilleur ami.

Mon coeur s'accélère et ma respiration elle aussi devient plus rapide.

- Mon héros, mon exemple.

Je remarque qu'il commence a être nerveux et... en colère.

- Mais il est parti et.. je m'en fou de ce qu'il est devenu. Ma mère et heureuse maintenant et je suis mieux sans lui dans ma vie.

- En est-tu sur ?

Il fronce les sourcils vers moi, ses yeux vert me font frissonner.

- Si tu aurais eu ton père dans ta vie, tu n'aurais peut-être pas devenu ce que tu est.

- Un belle homme, sexy et plein au as ? Ce moque-t-il.

- Non, un homme dangereux et froid.

Il s'approche de moi et je remarque la colère dans ses yeux clair qui me fait déglutir. Il attrape violemment ma main qu'il pose sur sa poitrine au niveau de son coeur.

- Tu sens mon coeur battre ?

Oui, oui je le sens, il bat très vite - trop vite -

J'hoche simplement la tête.

- J'ai un coeur, mi amor. Des centaines de personnes son entrer dans ma vie pour me décevoir et m'abandonner a la fin. J'ai simplement préférer sortir les mauvaises graines de mon entourage pour les remplacer par des roses rouge vif.

- Qui sont t'elles ? Les roses ?

- Je n'en vois qu'une pour le moment, en face de mes yeux.

Mon coeur rate un battement.

Une rose rouge.

- Étrange compliment, sachant que tu ma kidnappé.

Un moment passe lorsque nous nous fixons de longues secondes avant d'exploser de rire.

C'est la première fois que je me sens aussi bien dans cette maison depuis que je suis ici.

Je rit.
Des larmes de rire perle au coins de mes yeux.

Mon coeur est plein de joie.

Fernàndez Où les histoires vivent. Découvrez maintenant