Chapitre 22

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Alba

Allonger dans mon lit toute nue après qu'il et quitter la pièce, je lâche un râle en me relevant pour me rhabiller.

Pourquoi il se tire à chaque fois ?!

Une fois habiller je sort en furie de ma chambre pour le retrouver dans le salon assis sur le canapé.

- C'est quoi ton problème ?

Il ne relève pas la tête bien trop occuper à fixer la télévision qui diffuse le journal, le son sur muet.

- Répond-moi putain !

Enfin il me regarde mais il ne dit toujours rien.

- C'est quoi ton but ? Tu me kidnappe pourquoi ? pour avoir une esclave sexuelle à la maison ou un truc du genre ?

La colère monte en flèche à chacun de mes mots sans réponse de sa part.

- Mario, putain rep-

Je me fait couper par la porte d'entrée qui claque dans mon dos.
Samuel nous rejoint dans le salon en s'affalant sur le sofa à coter de son grand frère.

- J'interromps une dispute de couple ? Demande-t-il.

- Ferme-la Samuel, s'exclame Mario.

Le demi-frère de mon kidnappeur se lève en frappant dans ses mains.

- Je dois te parler hermano, en privé, il dit le dernier mot en me lorgnant.

Je lâche un râle d'énervement avant de quitter le salon et claque la porte de ma chambre.

Ce mec commence a me sortir par tout les troues !

Pourquoi me faire exploser jusqu'à un orgasme merveilleux puis ce tirer à chaque fois après !

Ma colère et encore plus grande lorsque je les entend rire à travers la porte de ma chambre.
Leurs pas me donne la confirmation qu'ils entre dans le bureau de Mario.

J'ouvre silencieusement la porte de ma chambre puis m'approche sur la pointe des pieds de la porte du bureau.

J'approche mon oreille du bois tout en me retenant contre celle-ci pour ne pas faire de bruit.

- Qu'est-ce que tu veux ? Demande Mario.

- J'ai un nouveau casse à te proposer.

- Explique.

Le bruit d'une feuille que l'on déplie arrive à mes oreilles.

- Une famille richissime, le père et avocat et la mère hôtesse de l'air, ils ont un enfant de onze ans.

Ma respiration ce coupe pour ne pas être repérer.

- Ils ont un coffre fort, remplis de leur économie. Cinq-cent milles euro.

- Comment-sais tu cela ?

- Un pote à travailler chez eux, ils l'on virer après que ce con et fouiller dans les sous-vêtements de la femme. Il m'a dit qu'il avait vu ce coffre ouvert un jour, il déborder de billets.

Fernàndez Où les histoires vivent. Découvrez maintenant