Fernàndez

Chapitre 25

Mario

Après toute cette euphorie mon frère et moi rangeons les piles de billets ainsi que les quelques lingo d'or dans notre coffre fort.

Samuel mes quelques secondes avant de fermer le coffre, il contemple notre du.

Mon petit frère s'approche de moi et entour mes épaule de son bras.

- Tu sais que cette femme est extraordinaire !

- Je pensais que tu la détester ?

- Je le pensais aussi avant qu'elle fasse de nous des putain de riches !

Depuis que nous somme rentrer nos sourires reste scotché à nos visages.
Fatiguer mais heureux.

Samuel nous abandonne pour rentrer chez lui, lorsque je me retrouve seule dans le salon je fronce les sourcils en la cherchant.

Je m'approche de la salle de bain et ouvre la porte, elle ce brosse les dents en ce regardant dans le miroir.

Elle ce rince la bouche puis relève la tête vers moi en souriant.

- Salut.

Je ne peux m'empêcher de sourire moi aussi.

Son regard me lorgne jusqu'à ce qu'elle remarque mon coude légèrement ensanglanté.

- Tu saigne !

- Ce n'est rien je-

- Il faut désinfecter, viens.

J'entre complètement dans la salle de bain elle récupère le désinfectant ainsi qu'une compresse.

Elle désinfecte ma petite coupure de rien du tout, je sourit en la voyant si concentré.

- Tu as était très courageuse aujourd'hui.

- J'ai trouver aussi, ce complimente t-elle.

- Sois un peu plus prétentieuse la prochaine fois.

- J'ai trouvé le code, sans moi vous n'auriez jamais réussis à l'ouvrir.

- On aurais réussis, je la contredit.

- Tu est toujours obliger de me contredire, c'est bluffant !

Elle lance la compresse dans la poubelle et je lâche un rire à sa réplique.

Sans rien ajouter, elle sort et s'apprête à entrer dans sa chambre lorsque je l'arrête.

Mes lèvres frôle les siennes.

- C'est toi qui est bluffante.

Nous restons ainsi cinq petites secondes, nos corps coller et nos lèvres à un millimètres de ce toucher.

- Qu'est-ce que tu attend pour m'embrasser, Mario ?

- Je ne veux pas t'embrasser je-

- Fait-le, fait tout ce que tu veux de moi.

Mon souffle ce mélange au siens.

J'entoure ses jambes autour de ma taille et entre dans sa chambre.

Je la laisse tomber sur le lit et nous commençons rapidement à nous déshabiller.

Au dessus d'elle, mon corps l'écrase littéralement contre le matelas. Son petit corps frêle mais tellement bandant me fait défaillir.

- Mierda, attend !

Je me relève et rejoins ma chambre ou je récupère un préservatif.

Le morceau de plastique entourant mon sexe je reprend ma place et la lorgne allonger sur ce lit complètement nue.

Elle écarte ses cuisses pour me laisser accéder à sa partie intime.
Je passe deux doigt sur sa fente pour découvrir la moiteur qui si trouve.

Ma queue palpite dans cette putain de capote.

J'attrape la base de mon sexe pour titiller son clitoris puis sans prévenir j'entre en elle.

Un sourire m'échappe en la voyant renverser la tête en arrière et entrouvrir les lèvres à mon coup de reins.

Un doux gémissement sortant d'entre ces lèvres résonne jusqu'à mes oreilles.

Elle entoure mon dos de ses petits bras pour m'approcher encore plus d'elle et la posséder entièrement.

J'accélère mes va-et-vient en elle.

Son corps gigote sous moi.

Je la domine, la possède, l'a remplis jusqu'à la garde.

Ses ongles griffe mon dos mais la seule choses à laquelle je pense c'est la faire jouir.

- Dios mio, Mario !

Je la pilonne si fort que j'en et peur qu'elle oublie qui elle est après cela.

Un crie sort d'entre ces lèvres lorsqu'elle joui autour de ma queue.
A mon tour je me lâche dans le préservatif dans un râle rauque.

Je tombe à ses côtés sur son lit et mes yeux ce ferme d'eux même.