Tu seras mienne.

Libre ?

POV NEYLA:

J'étais a deux pas de la porte d'entrée de notre immeuble et j'avais 1000 questions en tête.

Devrais je me libérer et revenir à ma vie d'avant ? Me retrouver de nouveau face a cette routine quotidienne a côtoyer les mêmes personnes et devoir confronter le monde qui m'entourais ?
Ou me laisser sous l'emprise de lui. Leo. Être totalement à sa merci et lâcher totalement prise sur les décisions de ma vie.

Je détestais cet homme autant que j'aimais ce qu'il me faisait ressentir. En quelques jours j'avais rencontrer une partie de moi qui m'était totalement inconnue. J'étais confronté à un dilemme, une décision.
Sans réfléchir je franchis le pas de la porte de cet immeuble. Les pieds nue et geler.
Mais où était-il passé ?! Pourquoi il ne me retenait plus ? J'avais le pouvoir de décider.
Mes pieds se sont mis a courir dans la rues déserte.
J'avais complètement perdu le sens de l'orientation.
Il étais 18 heures et le soleil était entrain de se coucher. Les rue étaient déserte et je ne savais ou aller.

Je me mis a respirer fort , je plus en plus fort. Sa y est je faisait une crise de panique. Pas maintenant !
J'avais froid je suffoquais.

Soudain, je reconnu ma rue, il habitait a meme pas 100 mètres de chez moi ?!
Je me précipita vers mon immeuble et appuya sur tout les boutons des interphone. Ma voisine de palier madame Rodrigues finit par me laisser entrer dans mon immeuble. Mon chez moi.
Elle avait toujours une clés de rechange. J'ouvrir rapidement la porte de mon appartement. L'odeur de mon chez moi m'avais terriblement manqué !
Tout était rester intact. Exactement comme je l'avais laissé.
Je ferma la porte a clefs sans même dire un mot à Madame Rodrigues et me dirigea directement dans ma salle de bain. Je me deshabilla en vitesse et régla l'eau chaude au maximum. Je frottais ma peau mon visage jusqu'à ne plus en pouvoir.
J'enfila mon peignoir et me dirigea vers mon lit pour me reposer. J'avais retrouvé mon chez moi ! J'avais pris la bonne décision. J'étais soulagée.

Quand soudainement...la sonnette de ma porte retentit.