Tu seras mienne.

Je vais te detruire

POV LEO :

Nous étions enfin arrivé à destination et nous de repartirions sûrement pas de si tôt.
Ma Neyla était de nouveau auprès de moi. Son amant, son amour, son maître et l'homme avec qui elle allait passer sa vie.

Ce qu'elle n'avais toujours pas compris c'est qu'elle avait beau se débattre ou s'enfuir je reviendrai toujours à elle. Elle n'avais pas compris qu'elle m'appartenait et ça depuis le début et à jamais.
J'avais tout préparé pour son retour.
Je voyais dans ces yeux ce regard apeuré et rempli d'appréhension.

Il fallait que je lui fasse enfin comprendre qui étais son maître une bonne fois pour toute. Pour son bien et le bien de notre relation. Elle n'avais pas encore compris que nous étions fusionnel il fallait que je lui fasse ressentir. La détruire pour mieux la reconstruire à ma manière.

POV NEYLA:

j'étais apeuré a la vu de tout ces ustensiles et fesait tout pour lui montrer... j'avais peur de ce que Leo étais capable de me faire, être partie si loin de lui m'avais fait oublier ce coté violent et sa manière d'agir envers moi. Je savais que ces pulsions le dépassait et à travers ces regards pervers je voyais du plaisir et de la haine s'installer.
Nous étions au milieu de ce salon délabrée sans aucun bruits et j'avais la peur au ventre. Il aimait ca.

Soudainement il me retourna sur le ventre les bras derrière mon dos. J'étais coincée et n'arrivais pas a me débattre. J'avais mal, je sentais des cordes se nouer autour de mes mains. Il me retourna face a lui sans un mot et plaça un collier en métal attaché a une chaine autour de mon cou. Comme une sorte de laisse. J'étais pétrifier. Il me tira par la « laisse » et m'emena dans une chambrea l'étage. Il n'y allais pas de main morte sachant que j'étouffais. Nous arrivions dans une chambre tout aussi délabrée que le reste de la maison et il placa l'extrémité de la chaine a un espèce d'anneau fixé sur le parquet. J'étais attaché a un putain de parquet dans une maison abandonnée !
Il ferma le tout avec un cadena et écarta mes jambe. Il enfonça la clef a l'intérieur de moi, et me regarda dans les yeux tout en le réalisant.
« Je vais te détruire » me chuchote t-il.
Il m'embrassa et quitta la pièce en prenant le temps de fermer toute lumière qui alimenter la pièce.
J'étais coincé dans cette chambre accroché a un vieux parquet les mains attachées par une cordes et le cou au sol avec ces putain de clefs dans mon vagin.