Tu seras mienne.

Piège ou lumière

La lumière
je ne pensait pas qu'un jour je retrouverai la sensation du soleil sur ma peau.
Ré apprécier le goût des lasagnes bolognaise du restaurant « La belle époque »...

Il fallait que je sorte ses putain de led rouge devenais épuisant, et mon mental était au plus bas.
Je pris mon courage à deux main et demanda :

« Dit Leo, quand est-ce qu'on sort ? »
Il me fixa avec un regard noir...
« Pourquoi ? T'es pas bien ici ? Tu veut faire quoi dehors Neyla ? »

J'avais peur de ses réactions...
« Prendre l'air...? »
Il se leva avec toujours son regard noir
« BAH VASY SORT PRENDRE L'AIR ? TU VEUX MON MAL ? TU VEUT PARTIR D'ICI ? SALE CHIENNE DÉGAGE ! »

Il frappa contre la table, ouvrit sa porte d'entrée et partie.

POV LEO:
Comment a t-elle pu me faire ca ?!
On est pas bien ici ? Elle est si hypocrite avec moi...
Je lui donne tout je la traite comme une princesse et lui montre sans cesse mon amour mais pourtant elle continue à ruminer et cogiter à ce qui se passe a travers les vitres de notre studio.

J'avais compris que mon amour pour elle était démesuré par rapport au sien.
Je m'étais trompé.
Est ce qu'elle simulais depuis tout ce temps ?
C'était ma Neyla et je m'étais depuis le jour ou j'ai poser le regard sur elle qu'un jour elle m'appartiendrais et ce jour la je ne la laisserai plus jamais partir.
Je suis entrain de la tester. Je suis en bas de notre immeuble, va t-elle essayer de me fuir ? Ou va t-elle rester sagement dans notre nie d'amour ?

J'attendais...

POV NEYLA:

J'étais tétanisée par la violence de son intonation et physique. Je ne l'avais jamais vu comme ca auparavant... mais la porte d'entrée était ouverte, serait-ce un piège ? Un test ? Suis je libre ?

Je me levais doucement et me dirigea vers cette porte d'entrée. Elle menais vers un couloir décorer d'un papier pain rouge bordeaux et d'un carrelage blanc. Les lieux étaient plutôt propre il y avait une rangée de porte... des escaliers et un ascenseur. Je vérifiais minutieusement chaque recoins, pris mon courage en main et appela l'ascenseur.
Lui aussi était pain en rouge avec exactement la même moquette... il y avait 5 étages. Nous étions au 3 ieme etages.

Je pris une grande inspiration et appuya sur le bouton rez de chaussée. J'étais en chaussettes et mes pieds étaient gelés sur ce carrelage, tout comme mon corps. Les frissons parcouraient mon corps et je me posais 3000 questions.
Où était t-il ? Suis je libre ?