Tu seras mienne.

FORME

POV NEYLA :

Cela fesait maintenant deux jours que j'étais dans cette position de faiblesse, il me négligeait et n'avais pas le moindre regret.

J'étais faible et ma position me provoquait des courbatures énormes. Je me demandais ce qu'il fesait, si il s'était tout simplement barré ou il attendait simplement en bas en sachant que je souffre a l'etage ?
Avec le peu de force qu'il me restait je criais son nom quasiment toutes les heures espérant un signe.
Quand soudain il ouvrit la porte et la lumière, son regard sadique me voyant toujours en position vulnérable et de faiblesse le fesait jouir de l'intérieur. Il voulais me punir et que je souffre de ne pas être rester auprès de lui.

- Je t'en supplie Leo je ne sent plus mes jambes j'ai faim et froid aide moi !

Il regarda longuement mon corps avec un petit sourire en coin, s'accroupit à mon niveau et dit :

- Sa depend, tu as retenu la leçon ?
- Oui totalement je m'excuse totalement maintenant détache moi s'il te plaît !

Mes larmes commençaient à monter.
Il accepta de détacher le cadenas et les chaines relié a mes membres et mon cou, je me mis en position PLS, je tremblais de froid et de faim.
Lui, se leva et alla chercher je ne sait quoi dans l'armoir juste en face du lit.
Il me souleva et me posa dessus, il me couvra d'une couverture et m'embrassa longuement en me rassurant. Comme ci ce n'était pas lui qui étais a l'origine de mes séquelles, comme ci il allait prendre soin de moi. Il ressorti de la chambre et me ramena deux barre chocolaté et un verre d'eau que j'avala en 2 minutes tellement ma faim était immense.
Il me regardait manger en me caressant la tête comme un chien...
Je ne savais pas quoi faire, qu'est ce qui allait ce passer à présent ?
Je m'endormis sur ce lit, nue, ensevelie par la fatigue de ces deux derniers jour. Je sentais derrière moi qu'il se mis torse nue et se positionna en cuillère derrière moi me carressant doucement les seins et le ventre. Comme ci tout était normal.
Nous nous endormions ensemble coller jusqu'au lendemain.

Les jours fut et j'étais toujours cloîtré dans cette maison qui fesait plus que peur on baisait jouais au carte mais nous gardions toujours comme une espèce de distance sûrement due a ces tensions, cet abandon de ma part et la sentence que j'avais du subir. Leo ne montrait pas souvent ses émotions mais derrière ses envies tordues et son rictus vicieux se cachait sûrement quelqu'un de profondément blessé par mon abscence et ses désirs un peu trop charnelle.
Je n'ai jamais sut son passé, ce qu'il avait pu subir pour ressentir autant de haine de colère et cette obsession pour une fille comme moi.
Nos discussions étaient très brève mais nos actes étaient intense passionnés et en disait long sur notre relation.
J'avais comme ce sentiment d'être brisé et reconstruite par la meme personne qui l'avais fait.
J'avais comme ce besoin d'appartenir, d'obeir et d'être complètement abandonné à lui malgré moi.

J'étais toujours dans le meme corps mais mon état d'esprit etait bien différent