Le lendemain, la première chose que je fit, fut de me rendre, à 8 heure, au studio d'enregistrement mit à ma disposition. J'y avais le droit même si j'étais en congé tout simplement parce qu'ils y en avaient pas mal dans l'agence.
Je dépose mon sac sur le canapé et m'assieds sur la chaise en face du matériel de composition. Je me tourne vers le piano sur le côté et sort la feuille de parole de ma poche. Hier soir, je n'avais pas pris le temp de manger, j'étais directement aller dans ma chambre pour écrire ma chanson et faire tout les réglages sur mon nouveau téléphone.
Ce matin non plus, je n'avais rien avaler. Pas si grave.Je commence à tester des accords sur le piano. Mes doigts volent d'une touche à l'autre. je penche ma tête sur le côté. Je veut un refrain qui envoie du lourd. Je me dirige alors vers l'ordinateur et allume l'application pour créer des sons.
Une heure après, je suis dans le caisson, casque sur les oreilles, assise en face du micro. La musique se met en route. J'ai les paroles à côté de moi si jamais j'ai un trou de mémoire. Le monde autour, n'existe plus. Je chante comme si je racontais une histoire. Je sens les mots qui sortent rouler sur ma peau comme la pluie, je me sens libre.
C'est une chanson qui parle d'un univers où chaque moment de la vie est célébrer comme si c'était une fête. Où tous les mots sont symboles de bonheur. Une chanson représentant la chaleur réconfortante du soleil de printemps.
Il est 10h quand je sort avec mes affaires. La chanson sur ma clé USB. Je sais qu'il vas falloir attendre deux jours avant de voir la prof de danse et de pouvoir organiser une chorégraphie sur cette musique.
J'arrive dans la salle de danse et commence à m'étirer sur le parquet ciré. Le miroir en face de moi me reflète. Mes long cheveux blonds, mes yeux bleus-noirs. C'est vrai que demain j'ai pris rendez-vous pour une teinture. Quelle couleur pourrai-je faire?Je lance une playlist aléatoire sur l'enceinte et me voilà partie. Je virevolte, saute, tend les bras, les jambes. Chaque mouvement est censé être parfait. Il m'arrive de trébucher mais ce n'est pas grave. Une heure après je m'accorde enfin une pause.
Il est 12 heure lorsque je sors enfin et que je me rend à la cafétéria. Je regarde les plats proposer. Ça me donne la nausée. Je décide juste de prendre une brochette et un fruit.
Je mange seule, comme d'habitude. C'est un peut triste, c'est vrai. Je pause mon plateau à moitié entamé et récupère ma pomme, je vais la manger sur le chemin jusqu'à mon casier. Je passe alors devant une table où je vois StrayKids.
-Coucou tout le monde,ça va ?
Ils ont l'air surpris de me voir sauf Félix qui m'a vue arriver.
- Luna! Trop content de te voir.dit Jeong-in de sa bonne humeur habituelle. Ça va super et toi?
Je hoche la tête.
-oui ça va . Mais dit moi, t'es toujours d'aussi bonne humeur?
- toujours! S'en ai presque exaspérant. Heureusement qu'il est tout mignon. Ça compense.Répond Hyunjin et il commence a lui pincer les joues. Le pauvre. Il me ferait presque pitié.
- je vous laisse, à tout a l'heure.
Ils me disent au revoir et j'y vais. Tandis que je marche, je sens un regard sur moi, je me retourne et voit Félix m'observer. Il fait une tête indéchiffrable. Nos yeux se croisent. Quelqu'un entre par la porte à côté de moi, me faisant sursauter et mettant fin à cette eyes-contact. Je sort et me dirige vers mon casier tout en croquant des bouts de ma pomme.
***
J'arrive au point de rendez-vous 30 minutes en avance. Ma pomme est vite tomber dans l'oublie après deux/trois bouchée. Pauvre d'elle.
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là où l'infinie n'est pas [Félix Straykids]
FanfictionLuna a 15 ans lorsqu'elle débute dans la k-pop, elle n'as pas de groupe, c'est une Idole solo. Elle aime énormément son métier malgré les contraintes et la fatigue. Même s'il lui arrive de vouloir lâcher elle arrive toujours à se reprendre. Elle fai...