La ferme du Gramsal était en réalité un grand domaine vierge ou quelques champs de Sergueï côtoyaient une forêt primaire et un lac.
De ce qu'il lui avait été dit par Yseult, une employé de la ferme qui s'était occupé de l'accueillir, le travail des ouvriers consistait à s'ocupper des plantations de Sergueï et d'un petit élevage d'alpagus qui assurait la majeur partie des revenus de la ferme.
Yseult lui expliquait cela tandis qu'elle lui repassait des draps propres. Étant maintenant dans des vêtements plus confortables, Et loin de l'athmosphère sombre du bureau de la milice, Lucas eu tout le loisirs de mieux observer les gens et les objet qui l'entourait.
La maison du Gramsal était à son image, austère et sans artifice.
Une forte odeur de vinaigre et de tabac y regnait. Neamoins Lucas fut heureux de pouvoir s'allonger dans un vrai lit.
Les jours passé sur le par-terre de la forêt lui avait donné des courbatures atroces et la seule chose qu'il voulait était de d'enfin se reposer. Demain il faudrait qu'il se trouve un nouveau prénom, l'appelation Onas ne l'emouvait pas plus...
Cette nuit là, Lucas dormi sans rêves, dans un grenier qui lui faisait office de chambre.
Le lendemain à l'aube il fut réveillé au aurores par Le Gramsal qui, il l'avait appris d'Yseult se prénommait Auke.
L'érode entra sans frapper, le ciel était encore sombre dehors et aucune lumière ne passait par la lucarne.
La précense du non-cornu suffit à sortir le jeune rouquin de son sommeil. Apparemment les particules ne faisaient pas que s'affoler en sa présence.
Cet homme le mettait définitivement mal à l'aise. Il y avait quelques chose dans son regard qui intimait à lucas qu'il savait des choses le concernant mais dont lui même ignorait.
L'homme se contenta de rester sur le pas de la porte pour être sur que le jeune homme était bel et bien réveillé puis s'en alla, attendant que Lucas le suive. Ce qu'il fit, le regard mefiant. À vrai dire il n'avait pas échanger grand mot depuis hier soir et Lucas n'était pas sur qu'il voulait entamer une conversation avec ce personnage macabre. Il n'oubliait pas l'information capitale que lui avait livré Yva : "il était un soldat exilé." Exilé pour quel raisons ? Il ne le savais pas encore mais se ferait un plaisir de le decouvrir.
Auke, traina Lucas jusqu'à l'arrière de la chaumière, là une petite Ecurie donnait sur potagers.
- voilà ton travail, lui dit il en désignant l'ecurie.
Lucas s'aprocha alors et vit plusieurs cage en verre où des espèces de gros reptiles semblables à des crocodiles dormaient paisiblement.
- Ce sont des alpagus...Yseult a du t'en parler hier..fit il d'une voix rocailleuse en pointant les bestioles.
Lucas hocha la tête. Il avait le vertige de s'etre levé si vite et son visage gonflé témoignait de son sommeil récent. Hélas il avait fallu que ce vil individu le traîne dans cette nuit glaciale observer des espèces de salamandre à collerette géantes.
- Étant donné..ta condition je ne vois pas ce que tu pourrais faire au champs..continua t-il. Puis il se gratta la tête, maugreant dans sa barbe une plainte.
Lucas se doutait que par "condition" il parlait de son statue d'Onas qui ne lui accordait pas beaucoup de mérites.
- Yseult te donnera du travail aussi et si..tu te porte mieux on verra comment t'intégrer au reste des travailleurs...
Deuxième hochement tête de la part de Lucas et Auke s'en alla. Laissant Lucad pantois face au bestioles.
Plus tard, lorsqu'Yseult fut debout, elle expliqua au jeune rouquin pourquoi les alpagus étaient si important pour la ferme. Il produisaient une salive durcicante qui plutard si traité, donnait un tissus très malléable.
Ainsi passa sa première journée à la ferme.
faisant des allers-retours de l'ecurie à la salle de vie où il entassait les bloc durcis de salive, dans des bac rempli d'eau fumantes, sous la supervision d'Yseult.
Cela en comparaison du son boulot de livreur à la pizzeria du Longshire street était vachement plus épuisant! Sans compter qu'il fallait en aucun cas que les alpagus soit en manque d'eau! S'en suivait aller et retour incessant au lac pour founir les écuries en eau.
La matinée passa si bien qu'au zénith, Lucas était exténué et tremblait de fatigue. Allongé sur le porche, il degustait une sorte de racine cuite préparé par les soins Yseult. Elle aussi vivait à la ferme. Dans la même chaumière que Lucas et Auke, sa chambre se situait en parallèle de celle du maître des lieux. Une quatrième personne vennait s'ajouter à ce beau monde. Mais Lucas ne l'avait pas encore rencontré en effet, elle s'en était aller au champs en compagnie du non-cornu.
C'est ce moment que Lucas choisi pour feuilleter un des ouvrages offert par Yva et qui détaillait l'anatomie des Tulans ( nom que êtres habitant cette planète se donnait) planète d'ailleurs qui portait également l'apellation de "terre-mère". D'après l'ouvrage, le code genetique des Tulan était telle que on ne pouvait savoir à quoi ressemblerait un nouveau né à l'avance, ni la forme de ses bois, ni son aspect physique. Seuls les Urupias qui se reproduisait en se clonant, pouvait se targuer d'avoir un progéniture avec leurs même code génétique et une resemblance plus ou moins équivalente.
Il allait continuer sa lecture en entamant le chapitre consacré au Onas lorsque des voix le tirèrent de sa lecture. Il s'agissait De Ziflyod et Guria. Ce dernier par ailleur semblait toute éxité à l'idée de le revoir puisqu'il se jetta sur lui dans une acolade pleine d'affection.
- Oh ! Ce que tu es beau maintenant !et dire que hier encore on aurait dit un petit sauvage ! Et cette tenu ~ elle te sied comme un gant ! Fit-il en lui prenant les mains.
Les deux gens d'Himbrugh étaient accompagné par Auke et un autre homme qui rentra dans la chaumière sans plus de cérémonie.
Lucas rougit au compliments et se sentit gêné. Il n'y avait rien de bien joli à sa tenu une simple chemise ample sur des chausson noués.
Il remercia Guria, un peu surpris par toute cette amabilité. Et jetta un coup d'oeil à ziflyod un peu à part, qui l'observait mefiant.
Maintenant qu'il savait que ces deux là était en couple, il ne savait comment prendre les compliements du Tulan sans en être gêné...
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suav
FantasyLucas dépressif depuis 3 ans, meurt un soir dans un accident de voiture au Longshire street alors qu'il rentre de son travail. Malheur ou seconde chance ? Tant est il qu'il se reveille dans un monde complètement inconnu, dans un corps androgyne...