La jalousie de la première épouse
Alors que je quittais ma chambre, j'ai été accueillie par le sourire rayonnant de mon diankanké préféré. Sans plus attendre, nous avons embarqué dans sa voiture, nos cœurs battant au rythme de l'excitation. Les rues de Lyon défilaient sous nos yeux, bercées par une mélodie envoûtante qui accompagnait notre douce évasion.
Soudain, des caméras se sont approchées de nous, mais rien ne pouvait ternir notre complicité. Nous avons alors décidé de nous rendre chez moi, où l'intimité nous attendait à l'abri des regards indiscrets.
À peine avions-nous franchi le seuil que mon cher époux, M. Diakhaby, s'est laissé tomber sur le canapé, le visage marqué par la fatigue et l'impatience. C'était un homme dont la force et la détermination sur le terrain n'avaient d'égales que la tendresse qu'il réservait à ceux qu'il aimait. Et dans ses yeux brillait l'amour sincère qu'il me portait, un amour qui défiait tous les obstacles, même les plus médiatiques.
Alors que j'attendais le tintement des cloches de la maison, le sommeil avait enveloppé belle-maman et beau-papa. Sans autre choix, je me suis dirigée vers la porte pour découvrir qui sonnait à une heure si tardive.
Avant même que je puisse ouvrir complètement la porte, une silhouette féminine m'a brutalement bousculée. Dans ma stupeur, je l'ai laissée pénétrer dans la maison, sans réagir immédiatement.
L'inconnue m'a alors attaquée de front : "Qui es-tu ?" a-t-elle lancé d'un ton accusateur.
Moi : "Je suis Chouchou, la femme de M. Diakhaby," ai-je répondu, tentant de calmer la situation malgré le tumulte qui s'installait.
Mais elle, dans un mélange de colère et d'incompréhension, a crié le nom de mon mari, réclamant sa présence. Mes tentatives pour apaiser les tensions étaient vaines alors qu'elle continuait à me harceler verbalement.
Moi : "Madame, s'il vous plaît, mon mari est au repos. Arrêtez de crier," ai-je imploré, sentant la patience fragile.
L'inconnue: "Tu es pathétique," a-t-elle répliqué avec mépris.
Mes mots semblaient être des cailloux jetés dans l'océan de sa fureur. Mais ma propre détermination ne fléchissait pas.
Moi : "Ma patience a ses limites," ai-je riposté, tentant de garder mon calme malgré l'escalade de la situation.
L'inconnue : "Si tu es une femme, arrête-toi devant moi," a-t-elle vociféré, défiant ma présence.
Moi : "Ah bon, je me suis arrêtée. Que vas-tu faire ?" ai-je répondu, essayant de rester ferme malgré la peur qui montait en moi.
Puis, dans un geste brusque, elle m'a bousculée si violemment que je me suis retrouvée au sol, dans un tourbillon de confusion et de douleur. Mes cris de douleur ont alerté mon époux bien-aimé, qui s'est précipité à mon secours, inquiet pour ma sécurité.
Bae : "Chouchou, que t'arrive-t-il ? Réveille-toi," m'a-t-il supplié, la panique teintant sa voix.
Dans cet instant de chaos et de frayeur, son amour pour moi était palpable, illuminant la nuit sombre de ses sentiments protecteurs et profonds.
Mariana Diakhaby
De retour après une longue absence, je me suis retrouvée submergée par un flot d'informations révélant les manigances de M. Diakhaby et sa famille depuis le début de son mariage avec sa seconde femme. Déçue et blessée, une idée m'est venue à l'esprit : me rendre en Afrique pour consulter les féticheurs et tenter d'annuler cette union. Mais en vain, ils étaient déjà à Lyon. Malgré tout, l'idée d'une petite visite me trottait dans la tête.Il était tard, 23h30 précisément, mais je considérais que c'était mon droit de rendre visite à ma belle-famille. Frappant à la porte, j'ai été accueillie par une jeune femme. Espérant ardemment qu'elle ne soit pas ma coépouse, je ne lui ai pas adressé le moindre salut, consumée par la colère qui grondait en moi.
D'un pas déterminé, j'ai pénétré dans la demeure, mon regard lançant des éclairs alors que je cherchais activement celle qui avait troublé mon bonheur. Dans un silence tendu, les discussions ont fusé dès que j'ai croisé son regard.
Moi : "Tu oses te présenter ici après tout ce que tu as fait ?" ai-je craché, le ton empreint de mépris et de colère.
Elle : t'es qui toi
Moi : dégage de mon chemin
Elle m'a dévisagée, cherchant peut-être à trouver une échappatoire face à ma fureur déchaînée. Mais je n'étais pas prête à lui laisser le moindre répit, déterminée à lui faire payer chacune de ses tromperies et trahisons.
Moi: ne regarde pas comme ça tu te prends pour qui si tu es femme arrête toi sur mon chemin voleuse de mari en plus de ça briseuse de foyer. Tu te prends trop la tête. Je suis Mariama Diakhaby la première épouse de Mouctar Diakhaby
Elle : tu ne bouges pas
Moi : mdr je lui bascula elle tomba sur le sol elle a tellement criéeeeeeeeeee que votre ami s'est réveillé,en plus elle s'est évanouie.
Mariana fixa son adversaire avec détermination, ses mots chargés d'une force indomptable. Elle se dressait comme un rempart, protégeant son foyer contre toute menace. Elle était la première épouse de Mouctar Diakhaby, et elle n'allait pas laisser une prétendante briser l'harmonie de sa famille.
L'autre femme, défiant Mariana du regard, osa lui tenir tête. Mais Mariama ne reculerait pas. Dans un élan de courage mêlé de frustration, elle prit une décision audacieuse. D'un geste vif et déterminé, elle renversa son adversaire qui chuta lourdement au sol, provoquant un cri strident qui déchira le silence de la nuit. Le bruit soudain fit sursauter leur Mari tandis que l'autre femme, submergée par l'émotion, s'évanouit dans un tourbillon de confusion et de désarroi.
Moko : t'es sûr de toi maintenant
Moi: je n'ai pas fait exprès
Moko : j'ai vu l'action Mariama assume-toi
Moi : mais ?
Moko : mais quoi Mariama,tu es ma première femme je t'aime beaucoup mais j'en ai vraiment marre de toi,c'est pourquoi je n'étais jamais parlé de Chouchou,je te connais,je connais ta jalousie intense ni tête ni queue,tu te permets de débarquer dans le demeure familiale à 23h-30minutes c'est quoi ton projet. Mariama pries Dieu qu'elle se se réveille je suis vraiment déçu de ton comportement.
Il me laissa pas une minute de plus pour parler,celui que j'aime c'est la première fois je le vois énervé comme ça donc j'ai mal agis. Et je commence à regretter. Bon Dieu faite que Chouchou se réveille. Je vois l'ambulance derrière le demeure Moko à Chouchou dans ces bras direction hôpital. Moko a osé me planter là c'est vraiment pathétique c'est qu'on va voir.Alors la partie vous a plus?
Le second chapitre dans quelques jours?@maino224
VOUS LISEZ
J'ai toujours rêvée de toi...../Mouctar Diakhaby/
RandomJe suis tombée e amoureuse d'un meilleur défenseur africain du moment. Mais aussi l'un des meilleurs hommes du monde,notre histoire ensemble est très longue pour arriver jusqu'à un mariage. Dkh❤️Chouchou