chapitres 5: Contrat

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Tesse

Après que le grincheux nous ait donné l'ordre d'aller dans son bureau il s'est évaporé, j'espère qu'il ne reviendra jamais.

Après ça le blond est parti je ne sais où. Lui aussi il m'avait exaspéré, c'est allusion au sexe mon fatiguée.

Et le pire c'est que ça avait fait marrer le mafieux, en quelque sorte.

J'ai tout de même été surpris quand j'ai vu le blond dans la cuisine, et tout m'a semblé plus logique, c'était se bâtard qui m'avait kidnappé pour m'emmener dans une prison, drôlement bien décoré, mais tout de même une prison.

Et je crois qu'il va s'en rappeler de la gifle que je lui ai mise, il avait la trace de ma main sur la joue.

Je déteste qu'on me prenne pour une conne, surtout quand c'est un homme qui le fait. J'ai assez été prise pour une conne par les hommes.

Ils adorent se sentir supérieurs aux femmes, ou a toute autres espèces humaines les entourant.

Et quand j'ai compris ça, j'ai décidé de ne plus me laisser faire face à un homme, et que c'était à mon tour de leur prouver que j'étais supérieur a eux.

J'ai donc commencé à pratiquer différents sports de combat, ça m'a été très utile, surtout pendant l'adolescence, les garçons se permettent beaucoup de choses quand tu commences à avoir des formes. Trop de choses à mon goût.

L'année de mes quinze ans un homme qui avait le double de mon âge a essayé de me ploter le cul dans la rue, si je me rappelle bien je lui ai cassé le nez, et il a peut-être perdu une ou deux dents.

Bon j'avoue après deux trois coups bien portés au visage pour un peux le sonné je me suis enfuie, je savais peut être me défendre mais je n'étais pas hulk, il était beaucoup plus grand et fessait sûrement le double de mon pois a cette période.

Après ça je n'avais pas hésiter a me battre avec qui que se sois qui osait me faire chier, c'est aussi une des raisons du pourquoi a l'université je n'est pas d'amis, ou en tout cas pas d'amis proches.

Je ne veux pas m'attirer d'ennuis, et amie rime avec ennuis alors a quoi bon.

Et aujourd'hui je me retrouve au sein d'une mafia. Moi qui essayait d'éviter les ennuis je viens de me plonger dedans.

Et en plus ma mère m'a légué la sienne, pourquoi j'en ai jamais été au courant ?

Papa devait sûrement le savoir, et il a dû éviter de m'inplique la dedans, oui c'est sûr.

Il a préféré garder l'information pour lui oui. Il n'en a rien a foutre de ta gueule.

C'est faux, je suis sa fille. Il ne peut pas me poignarder dans le dos.

Il fait pire, réveille toi un peu. Idiote.

Mon subconscient ne veut jamais me laisser avoir raison. J'en suis fatiguée.

Je ne sais pas depuis combien de temps je me trouve dans cette cuisine mais il faut que je vais dans le bureau du mafieux, je tiens à ma tête un minimum.

Après avoir monté le grand escalier j'arpentais c'est long couloir sombre, j'essaie de me rappeler où se trouve le bureau.

Après être passé devant une ribambelle de porte je trouvais enfin le bureau du mafieux.

J'entrais sans même toquer, c'est pas comme si il allait me tué pour si peu.

J'ai peut-être parler un peu trop vite, vu le Glock qui est entre mes deux yeux, j'aurais peut être dû toquer finalement.

Fichu ContratOù les histoires vivent. Découvrez maintenant