Les esclaves de la Paix

Chapitre 12 : Le Cristal

Cela faisait deux jours qu'on était parti de Londres, et la police était encore à notre poursuite.
Mais peu importe, j'avais mes deux amis à mes côtés et j'étais heureux de voir qu'ils s'étaient réconcilié.

-Nous sommes arrivés ! Cria Melodia soulagée par l'apogée de notre marche interminable.

En effet le panneau indiqué Edwinstowe ainsi que "Robin hood's village".
"Robin hood"? Qui cela pouvait bien être ?
Je ne m'attardais pas dessus plus longtemps mais plutôt au environs qui semblait bien moins avancés qu'à Londres mais ressemblait un peu plus à quelque chose de rural.

Nous entendîmes soudain des cries venu d'un peu plus loin, où l'ont pouvait distinguer une foule de personnes qui nous intrigua tout les trois.

-WHAT HAPPENS ? Demandait Edgard très fort pour qu'on puisse l'entendre.
(QU'EST CE QUI SE PASSE ?)

Une personne de grande taille qu'on aurais dit ivre s'avança pour lui répondre.

-Don't you know? Young people today, swear...
Today is England's national day , and that means we can drink all day long! Would you young people like a drink? C'mon! Don't be shy, you're the size of a Smurf, but it'll be all right, we won't crush you!
(vous ne savez pas ? Les jeunes de nos jours, je vous jure...
Aujourd'hui c'est la fête nationale de l'Angleterre, ça veux dire qu'on peut boire toute la journée ! Vous voulez un verre les jeunes ? V'nez ! Soyez pas timide, vous avez la taille d'un schtroumpf mais nous n'allons pas vous écraser. )

Je ne comprenais pas l'anglais mais j'étais presque sûr, que l'homme demandé si on voulait se défoncer en buvant.

Je pris Edgard et Melodia avec moi pour les éloigner aussi tôt cette impression reçu.

-T'abuse Fernand. Se plaignait Ed. L'homme nous avait proposé de boire !

-En quel honneur ? Demandais-je sidéré par sa naïveté.

-Et bien, aujourd'hui apparemment si j'ai bien compris, c'est la fête nationale de l'Angleterre.

-D'accord ça sera la fête nationale des ennuis si je vous vois boire avec un inconnu, vous ne buvez pas avec un inconnus ! Vous savez le nombre de personnes qui se sont fait.... Abuser de cette manière ? Ignorant que tu es !

-Pardon papa ! Me répondait-il sur le ton de la plaisanterie.

-Je vais vraiment te.....Je me rendais alors que compte que Melodia n'était plus là. Il y en avait toujours un des deux pour s'éloigner du groupe et cette manie avait le don de me faire halluciner.

Et bien sûr je la retrouvais en train de tenter de séduire un homme, sauf que cela s'avérait plus catastrophique encore que d'habitude à cause de son accent qui lui enlever beaucoup de crédibilité pour ne pas dire qu'elle était en fait plus que ridicule, et si cela tué elle serai morte depuis belle lurette.

Je la chopais par le col ainsi que son frère pour cette fois être sûr qu'aucun des deux ne parte je ne sais où.

"Franchement pourquoi elle vas chercher des hommes à draguer alors que moi je suis là tout le temps pour qu'elle puisse le faire".
Voilà ce que je pensais dans ma tête, mais ce n'était pas le moment de faire une crise de jalousie de toute manière.

-Bon... Maintenant on vas à Sherwood... ET VOUS VOUS ÉLOIGNEZ PLUS BORDEL ! Allez on s'bouge le popotin, on lève ses fesses, et on y va, Maria Francesca va pas s'enculer toute seule.

-Fernand cette façon de parler ne te va pas du tout, laisse ça au cas sociaux comme Edgard.

-Ah tu oses ? C'est moi qui drague Candide et Jean Pierre peut être ? Tu pourrais essayer de séduire un chat, mais c'est moi le cas social ?