Après la dispute avec ma sœur, nous étions parti vers Edwinstowe pour trouver Innominatam, et nous fûmes un arrêt à Londres, où Mélodia nous racontais les chemins qu'il fallait prendre tandis ce que je faisais la sourde oreille.
-Ça y'est , j'ai demandé le chemin au très grand homme là-bas, il m'a confirmé que les itinéraires étais bons.
-De mon côté j'ai trouvé une auberge pour la première nuit.
-Mais on n'a pas d'argent.
-Ne t'en fais pas j'ai ce qu'il faut. Il sortais de sa poche une bourse d'un peu plu de 1000 franc à peu près.
-Qu'est ce que c'est que tout cet argent ?
-C'est l'argent de ma bourse pour le reste de mes études.
-Tu peux le garder pour toi, on peut dormir dehors comme d'habitude.
Il caressait d'un geste affectueux la tête de ma sœur.
-Je n'ai pas envie de prendre à nouveau le risque que l'un de nous tombe malade si on a la possibilité de dormir dans un endroit chaux et douillet !
Ils continuèrent de discuter entre eux en m'excluant de leur conversation. Je regardais donc autour de moi et admirais les progrès esthétiques et technologiques des anglais, plus que flagrants à Londres, plus que les autres villes auquel nous sommes passés.
-Et si nous visitons la ville en attendant ? Proposait Fernand le sourire au lèvre.
Melodia acquiesça de la même manière, c'est ainsi que pendant le précieux temps qu'il nous restait à avancer dans notre quête ils avaient décidé de perdre notre temps à jouer les touristes.
Cependant, plusieurs endroits avaient retenu mon intention, il y avait déjà cette grande tour avec l'horloge dont les motifs et l'esthétique lui donnaient un résultat harmonieux et charmant, ensuite il y avait une sorte de grande roue blanche avec des sièges, peut être une méthode de torture pour les criminels barbare comme sont les anglais, et cette immense palais aussi semblable à celui de Lys rouge à Versailles.
Mais les gens préféraient se rassembler autour d'une petite échoppe appelée "Harry Potter", qui pourtant n'avait rien de plus impressionnant que les monuments que j'ai pu apercevoir.
En tout cas Londres a tout pour elle, même les caravanes géantes toute jaune et les cabines rouges pour aller faire ses besoins se démarque.
Au final, il faut dire que j'avais plus l'air d'un enfant impressionné par ce qu'il voyait.
-EDGARD ! ON RENTRE ! Me criait Melodia.
Je me contentais de la suivre, encore en colère envers les propos qu'elle avait pu tenir. Colère qui avait l'air de se faire ressentir puisqu'il se dégageait sur le côté en restant immobile, je fut donc le premier à entrer dans l'auberge.
-Three rooms in the name of Edgard Dominor, please.
(Trois chambres au nom d'Edgard Dominor s'il vous plaît.)-Yes, right away!
(Oui, tout de suite !)-Dominor ? Demandait ma sœur.
-Oui c'est notre vrai nom de famille, mais bon t'as sûrement dû l'oublier à cause d'un certain "Séyies".
Elle fit la mou, s'éloigna de moi, au même moment le gérant de l'auberge tendu des clés fort bien forgé d'une matière similaire à l'or.
-Here are the keys to rooms 319, 320 and 321 on the second floor !
(Voici les clés des chambres 319, 320 et 321 au deuxième étage !)
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Les esclaves de la Paix
ParanormalDans une réalité où la France renaît sous la forme de Koclys à la fin de la révolution française, le peuple vit une paix profonde et une vie de bonheur absolu, sans jamais ne manquer de rien. Mais quand Edgard et Melodia Séyies apprennent la vérité...