P R O D U C T I O N.

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Tantine's story présente ..

- F E R Y E L -

- en pleure Pourquoi tu me fais autant souffrir ? Je suis ta fille maman s'il te plaît, comment tu peux me faire autant de mal

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- en pleure Pourquoi tu me fais autant souffrir ? Je suis ta fille maman s'il te plaît, comment tu peux me faire autant de mal .. j'ai mal au cœur maman, tu es entrain de me briser le cœur.

Maman : JE NE SUIS PAS TA MÈRE ET TU LE SAIS TRÈS BIEN ! soupire Je ne te supporte plus.

- en pleure Tu es entrain de le laisser me violenter devant toi maman .. regarde mon corps, je suis morte physiquement qu'est ce que .. a quoi tu t'attends maman pour comprendre que je souffre ?

.. : Pars de cette maison, une fois que tu seras partie, je ne te violenterai plus. MAIS TANT QUE TU VIVRAS SOUS MON TOIT, TU M'APPARTIENS C'EST COMPRIS ?!

- en pleure Mais vous savez bien que je n'ai nulle part où aller, je n'ai personne d'autre dans la vie mise à part vous et je vous aimes de tout mon cœur .. pourquoi vous êtes comme ça avec moi ?

Qui sont ces gens ?

Ces personnes ne sont ni plus, ni moins que mes parents.
Enfin, mes parents adoptifs, ma mère adoptive et mon beau père, son mari.

Ma mère adoptive se prénomme Adia Youssoufa, elle est guinéenne. C'est la personne qui, après le décès de mes parents m'a élevé, elle m'a directement prise en charge parce qu'elle ne pouvait pas enfanter. Elle ne m'a jamais réellement porté dans son cœur, elle dit de moi que je suis une fille maudite et que c'est à cause de moi que mes parents sont décédés.

Ces derniers sont décédés une semaine après ma venue au monde lors d'un accident de voiture quand mes parents rentrés de la maternité et j'ai miraculeusement survécu, malheureusement j'ai été la seule à survivre, je vie toujours avec ça dans la conscience malgré que je ne m'en rappelle pas et que ça fait déjà 21 ans maintenant.

Ma mère adoptive ne m'a jamais vraiment porté dans son cœur, je le sais très bien mais mon père adoptif paix à son âme, Balde Jalloh lui était un amour avec moi, il m'a toujours énormément aimé, malheureusement la maladie l'a emporté avec lui. Quand il était là, ma mère n'osait rien me faire mais depuis son décès il y a 11 ans et surtout depuis que ma maman s'est remarié il y a 9 ans de cela, je suis devenue le souffre douleur de cette maison, pas un seul moment de répit, je suis plus que brisée, je suis détruite. Voir ma mère me maltraiter comme ça alors qu'elle est la seule figure maternelle que j'ai me tue de l'intérieur.
Pas une seule information sur ma véritable famille si ce n'est le fait que je suis fille unique.

Et moi ?

Je suis Feryel Mansaray, sierra-léonnaise c'est la seule information que j'ai sur mes origines. Et Mansaray la seule chose que j'ai de mes parents étant donné que depuis, j'ai gardé le nom de mes parents biologiques. Je suis née en France il y'a de cela 21 ans.

Je vie une vie modeste avec mes parents adoptifs en banlieue parisienne.

Caracteriellememnt parlant,

Je suis très timide et introvertie, ma vie n'a jamais été réellement joyeuse, encore pire depuis la mort de mon père adoptif, la seule personne pour qui j'ai réellement compté.
Je suis pourtant très rêveuse, j'ai toujours promis à ma mère qu'un jour oui je l'a sortirais de banlieue et je lui offrirai la maison de ses rêves, qui n'aimerai pas sincèrement offrir le meilleur pour sa mère ?
Je n'ai jamais réellement entamer des études sérieuses et appliqués, je me suis stoppé dès 16 ans, j'ai néanmoins une soif d'apprendre mais la concentration n'y étais pas, je ne pouvais plus continuer et aller à l'école pour affronter le regard des autres. Je souffre de dépression et de dépendance affective depuis toujours, quand est ce que je vais m'en sortir ?

Néanmoins je suis une bosseuse et j'aime cultiver le savoir, que ce soit au niveau sociétale ou au niveau confessionnel, étant de religion musulmane, je fais tout ce que je peux pour m'instruire et c'est bien grâce à ça que je m'en sors.
Je ne suis que l'ombre de moi même dans cette maison. Aucun ami, aucun proche, aucune connaissance, non personne ne se doute ni de ce qui m'arrive, ni de ce par quoi je dois passer chaque jour.

D'ailleurs quels amis ?

Je n'en ai pas un seul, pas une seule personne qui pourrait me dire que demain tout ira bien. Je meurs à petit feu à seulement 21 ans.

Faisons plus ample connaissance et vivons cette histoire, ensemble.

- Feryel.

F E R Y E L .Où les histoires vivent. Découvrez maintenant