- Si tu m'ignores je t'offrirai mon dernier souffle de vie dans ma Love story -
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J'avais des millions de papillons qui se bousculaient dans mon ventre, j'étais entrain de vivre un rêve éveillé.
Quand il s'est détaché de moi, il m'a regardé de nouveau avant de me lâché et faire tomber sa tête en arrière et mettre ses mains devant son visage, je ne comprenais pas vraiment et je n'osais pas bouger non plus. Il a soufflé et est resté comme ça quelques grandes secondes avant de se relever et de me faire un bisous de nouveau et la j'ai mis mes mains derrière sa nuque et lui avait une main sur ma joue et l'autre en dessous de mon t-shirt il m'a allongé sur le canapé avant d'enlever mon haut et dégrafer mon soutien-gorge. Je ne me rendais pas vraiment compte à ce moment là, il me faisait encore des bisous sur la bouche et sur le ventre et il est monté jusqu'à mes seins, il en mettait un dans sa bouche puis l'autre puis il me re-embrasser de nouveau et quand il a commencé à déboutonner mon jean c'est là que je me suis rendue compte de la bêtise que j'était entrain de faire et que j'allais commettre. Je me suis relevée en tremble .
- Non Zayd .. arrête, s'il te plaît.
J'ai remis mon t-shirt et je me suis tournée de l'autre côté.
- Ya Allah pardonne moi .. qu'est ce que je suis entrain de faire.
Zayd : Je suis désolé, pardon .. pardon c'est ma faute.
Je me suis positionnée face à lui et j'ai mis ma main sur sa joue avant de le regarder et regarder sa poitrine se lever d'une vitesse.
- Je veux être avec toi Zayd .. mais pas comme ça, pas en déviant les règles de Dieu.
Zayd : Je suis vraiment désolé Feryel vraiment.
Puis il s'est levé et est monté en haut.
J'ai soufflé après son départ, j'ai cru mourir asphyxié, je n'avais plus de souffle.
À mon tour, je suis montée en haut et j'ai fermé la porte de ma chambre avant de m'allonger sur le lit et enfoncer ma tête dans mon coussin et crier.
Le lendemain,
8h, j'étais debout pour faire le petit déjeuner de Zayd, jusqu'à cet heur il n'était pas debout j'en ai déduis qu'il n'allait pas au travail vu sa blessure alors j'ai pris mon temps pour lui préparer le petit déjeuner avant de préparer la table de la salle à manger.
Il n'est descendu que vers 10h.
Il m'a salué avant de se poser autour de la table pour manger. On ne se parlait pas, l'ambiance était pesante. Pendant qu'il mangeait, je faisais le ménage c'était silence radio avant qu'il ne dise :
