Twilight : Mary Black

Chapitre 6

J'espère que vous n'avez pas trop attendu.

Voici la suite :

BONNE LECTURE !
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Cette fois, se fut Aro qui rentra dans la chambre.

-Évitons de faire ta transformation ici, tu veux ? Suis moi.

Je m'éxecuta la boule au ventre, je ne voulais pas mourir mais avais je le choix ?

Nous arrivons dans une pièce sans aucun meuble, très certainement insonorisé, bien que ça ne surprendrais personnes d'entendre des cris ici.

-C'est drôle je n'est jamais transformé quelqu'un aussi gentillement.

-Aro faudrait que tu revois la définition du mot gentil.

-Je m'y attelerais, mademoiselle Volturie.

Je déteste quand il m'appelle comme ça.

-Dans tes rêves ! Répondit je.

À ce moment là je mis mes cheveux sur le côtés et massie par terre.

-Ou veut tu que je te mordre ? Demanda t-il.

-Là où se serra le plus rapide.

Avec une vitesse surhumaine, que mes yeux n'aurai su distinguer, il m'attire contre lui et me mord le cou.

La douleur se est instantané. Mes cries aussi.

J'aurais penser qu'il y aurai eu une période d'attente mais pas le moins du monde.

De plus je ne vois rien. Suis je devnu aveugle ? Est je fermer les yeux ? Je ne savais absolument pas.

Je cherchais Aro à taton pour une raison qui m'achappe, mais il été déjà partie.

Enfin, il vient de partir, le cliquetis de la porte me l'indique.

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J'ai l'impression que ça fait des jours et des jours que je suis ici mais je sais que les limites s'écoule lentement.

Trop lentement.

Mon impression de brûlure se renforce de millième de seconde en millième de seconde.

Qu'est se que je peut faire pour que ça s'arrête ?!

Qu'est se que j'ai fait pour mériter ça ? des souvenirs éparpillé me revienne en mémoire et d'autre s'en vont.

Qui a dit qu'il avais le droit d'entrer et de sortir de ma tête sans permissions ?

Je ne sais pas où je suis. qui je suis ? pourquoi je suis là ?

La douleur est la seul chose dont je m'eu souvienne un tantinet.

Ce lauïs c'est répété un bon millier de fois, mes souvenir se mélange le lauïs aussi.

Je sais qui est responsable de cette douleur perpétuel : le cliquetis de la porte !

C'est avec lui que ça a commencer.