Légende du monde perdu [TOME 2]

Chapitre 10: Ignatiusa

Une force puissante et sans précédent transperça son corps à l'intérieur, chaque pas devinait de plus en plus difficile et Ignatiusa ne ressentait point ses pieds ni ses mains. Il sembla le transformer en statue, il n'y avait aucune douleur, mais tout se figea. C'était comme si du feu apparaissait sur ses joues et que tout son corps essayait de retenir la chaleur la plus précieuse, mais cela devenait impossible. Chaque seconde il s'échappait du cœur de la petite fille en se transformant à la fumée qui n'était pas comme celle des cheminées qui étaient noir et menaçante mais blanche presque invisible qui paraissait de n'avoir aucun danger. C'était le froid qu'elle ressentait pour la première fois.

Le blanc, ce qui ressemblait à de la crème sure, donnait des sensations étranges au toucher, si la force invisible la glaçait à l'intérieur, alors cela pourrait simplement créer une sensation sur la peau impossible à décrire. Et ainsi c'était couvert toute la route, d'étranges maisons saupoudrées de sucre, comme les flèches d'un édifice gothique constituait de milliers petits aiguilles vert pointaient vers le bas et construites les unes après les autres et ce quartier n'avait pas de fin. Une maison après l'autre et personne n'y vivait, ils n'avaient ni fenêtres ni portes. L'absence d'habitants était effrayante, mais d'étranges créatures commencèrent lentement à apparaître qui ne ressemblaient ni à Ignatiusa ni tout à fait à son ami gris. L'imagination de la jeune fille tourmentait avec l'idée de transformation des gens en ces créatures ou un danger imaginaire. Cependant cela ne l'arrêtait pas.

La peur croyait être son roi et elle était son esclave mais il fut renversé lors d'un coup d'État et désormais seul son sang-froid était son impératrice. Ignatiusa et ce monstre suivaient leur chemin avec détermination et l'y a conduite avec confiance.

Ignatiusa croyait que rien létale ne l'attendait et ces différentes créatures lui paraissaient d'avoir une beauté exclusive avec des pouvoirs uniques, certains sautaient et les autres grimpaient les arbres sans aucun obstacle et tous pouvaient vivre dans ce tableau avec le sol blanc, les maisons verts et ciel bleu.
Ravie d'y être dans cette forêt jusqu'au moment, où, presque au coucher du soleil elle entra dans un lieu qui ne ressemblait pas à celui d'avant.