𝟏𝟒. É𝐂𝐀𝐑𝐋𝐀𝐓𝐄

58 11 1
                                    

-MOON-

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

-MOON-

J'étais à nouveau dans 'ma' chambre en train de m'ennuyer comme jamais. Je n'avais pas de téléphone pas de télévision même pas quelqu'un a qui parler et je n'osais même pas ouvrir les rideau pour voir ce qu'il y avait dehors.

J'attendais donc que le temps passe allongé en étoile de mer sur le lit en fixant le lustre au plafond .

Je m'ennuie. Je m'ennuie pas. Je m'ennuie. Je m'ennuie pas. Je m'ennu-

Pitié Moon ferme ta gueule.

Tête d'aigri à brusquement ouvert la porte de ma chambre m'invitant à me relever.

Je le fussilais du regard et lui également si nos yeux aurait pus lancer des lasers aucun d'entre nous deux ne s'en serait sortis sans conséquence.

— J'ai même pas parler !

— On peut tous lire dans tes pensés ici. Comme je l'avais prédit t'es pas très futé.

Espèce de-

— Termine ta phrase et je te jure que je plante mes canines dans ton cou et que je ne m'arrêterai que lorsque je serai repu.

Je me suis tout de suite reculé au maximum. Je pouvais le voir sourire. Quel connard ce... je ne connaissais toujours pas son prénom. Tant mieux loin de moi l'idée de vouloir en savoir plus sur lui.

Il était toujours planté la avec son air de diva insolente peint sur le visage. Je lui aurait bien lancer quelque choses aux visage.

Rubis est soudainement rentré dans ma chambre et comme s'il avait deviné mon envie de vouloir sauter sur tête d'aigri il s'est mis à lui grogner dessus en lui montrant ses crocs.

En signe de reddition il a levé les mains en l'air avant de finalement sortir de la chambre sans oublier de me lancer un mauvais regard.

Rubis est venu me rejoindre tout de suite après... en se jetant sur mon lit.

— T'aime un peu trop le luxe à mon goût.

Il ne m'a pas répondu, bien evidement. Et s'est contenter de se rouler dans mon lit. Au fait on aurait dit un gros chat. Evidement je ne jouerais pas comme avec par ce que je ne l'en sortirais pas indemne s'il me mettrai un coup de griffe. Ses pattes fessaient tout bonnement la taille à ma tête.

Je lui fessais des petites caresses sur le ventre alors que j'étais pratiquement couché sur lui.

— Tu dois t'ennuyer avec ton Tae. Hein ? Il a pas l'air très commode.

— Pourtant quand on a danser enssemble tu avais l'air de bien t'amuser.

Mon regard s'est posé sur Taehyung qui était assis en tailleur sur le petit canapé à côté de mon lit.

Quand est-ce que qu'il était rentré celui-là ? Je ne l'avais même pas entendu. Comme à son habitude il me fixait de la ou il était sans bouger. Il y avait quelques choses d'intriguant dans son regard, quelque chose qui me forçait à maintenir son regard.

Sans que je ne m'y attende ses yeux sont soudainement devenu rouges avant qu'il ne s'approche de moi. En appréhendant je me suis tout de suite blotti contre la tête de lit en me servant de ma couverture comme barrière.

— Q-Qu'est-ce ce que tu fais ? Recule. Ma voix devenait un peu plus faible à chacun de mes mots.

Bien évidemment il ne m'as pas écouté et ai venu me rejoindre sur mon lit. Rubis ne m'a même pas daigné un regard et ai descendu de mon lit en partant se coucher sur le tapis un peu plus loin.

Super...

Tarhyung se rapprochait toujours plus de moi. Lentement. Très lentement. Sans que je ne m'y attende il a saisi mon poignet avant de me tirer vers lui pour me faire tomber à califourchon sur lui. J'ai tout de suite essayé de le repousser mais il a fermement posé ses mains sur mes hanches pour m'empêcher tout m'empêcher tout mouvement.

— A- attend qu'est ce que tu fais ?

J'ai posé mes mains sur ses poignets mais ma force paraissaient insignifiante. Je couinais doucement en réalisant que je ne pouvais rien faire face à lui. Je pouvais alors l'entendre ricannais face à mon impuissance.

Soudainement il est venu plaquer ses lèvres sur les miennes. J'ai ouvert en grand mes yeux alors qu'il mouvait sa bouche contre la mienne. Il s'est séparé de moi peu de temps après avant de faire basculer nos corps sur le côté afin qu'il se retrouve à califourchon sur moi.

Il est venu déposer une traîner de baiser sur mon cou avant de faire remonter ses lèvres vers mon oreille.

— Ne bouge pas tu rendra la chose encore plus douloureuse. Il a chuchoté aux creux de mon oreille.

Sans que je ne m'y attende il a planté ses canines dans ma carotide. La sensation étant plus que désagréable j'ai essayé de le repousser de toute mes forces mais il ne bougeait pas.

Mon corp commençait à me brûler. J'avais l'impression de brûler de l'intérieur. Je sentais les larmes me monter aux yeux, celle-ci se sont mises à dévalaient sur mes joues. Sans que je ne puisse rien faire.

— A- arrête ça brûle... Ma voix n'était qu'un sanglot étouffé.

Je frappais son torse pour l'inciter à s'arrêter mais rien n'y fessais. Je me sentais plus faible seconde après seconde. J'avais cette impression que mon corp flottait mais ce n'était en rien rassurant. J'avais l'impression que je pouvais couler à tout moment.

𝐁𝐋𝐎𝐎𝐃 𝐒𝐖𝐄𝐀𝐓 𝐀𝐍𝐃 𝐓𝐄𝐀𝐑𝐒Où les histoires vivent. Découvrez maintenant