Chapitre 3 : Nouvelle Équipe

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Chapitre 3 : Nouvelle Équipe 

C'est alors qu'il se réveilla en sursaut. Son cœur battait la chamade, et la sueur coulait le long de son front. La réalité était revenue brusquement, le silence de la chambre contrastant violemment avec les scènes de son cauchemar. Alec se redressa dans son lit, les yeux écarquillés, essayant de reprendre son souffle. L'angoisse du rêve était encore présente, les images du crash flottant dans son esprit.

Il décida de se lever, incapable de rester allongé plus longtemps. Sa chambre était plongée dans une pénombre relative, les rideaux tirés. Il se dirigea vers la fenêtre, espérant que l'air frais apaiserait ses nerfs. Lorsqu'il ouvrit la fenêtre, une brise fraîche entra, effleurant son visage et lui offrant un soulagement temporaire.

Alec scruta les bois derrière la maison. Les ombres des arbres étaient profondes et mystérieuses, et il lui sembla voir une forme indistincte se mouvoir parmi les arbres. La silhouette était floue, presque éthérée, et il ne pouvait en discerner les détails. Il plissa les yeux, essayant de déterminer ce qu'il avait vu, mais la fatigue et la confusion du cauchemar rendaient tout incertain. Il bailla largement, ses yeux se fermant brièvement, avant de rouvrir les yeux en espérant voir plus clairement. La forme avait disparu, et il ne restait que les ombres des arbres dans la nuit calme. Alec se frotta les yeux et secoua la tête, se demandant si son esprit le jouait.

« Allez, Alec, ce n'est que le stress. » murmura-t-il pour lui-même, essayant de se rassurer. « Retourne te coucher. »

Il ferma la fenêtre, tira les rideaux et se dirigea de nouveau vers son lit. Il s'allongea en se forçant à respirer profondément, espérant que le sommeil viendrait rapidement pour chasser les images de son rêve et les visions nocturnes. Il finit par se tourner et se retourner dans son lit, essayant de repousser les souvenirs perturbants et de trouver le réconfort nécessaire pour retrouver un sommeil réparateur. Petit à petit, le calme s'installa et Alec s'endormit, espérant que le lendemain serait moins compliquer. 

Alec se réveilla en sursaut, les images de son cauchemar encore vivaces dans son esprit avec le son strident de son réveille. Il jeta un coup d'œil à l'horloge : cinq heures du matin. Il savait qu'il devait se lever pour commencer sa routine matinale. Alec se leva, enfila des vêtements de sport et se dirigea vers la salle de bain pour se rafraîchir. La maison était silencieuse, sa mère et Lydia dormant encore profondément.

Dans sa chambre, Alec commença sa série d'exercices. Les posters de voitures et de films de super-héros Marvel accrochés aux murs étaient des souvenirs d'un temps plus simple. Il avait passé des heures à bricoler ici, transformant des objets ordinaires en petites merveilles de technologie avec des outils rudimentaires, à regarder des films et a pianoter sur son vieux piano. Le bureau, couvert de pièces détachées et de vieux circuits imprimés.

Après une quinzaine de minute a s'entraîner, Alec sortit pour un footing. Le froid matinal mordait légèrement sa peau, mais il accueillit la sensation avec plaisir, appréciant la tranquillité de la ville endormie. Il courut à travers les rues familières, passant devant l'école secondaire de Lydia, le parc où il jouait étant enfant, et le vieux cinéma où il avait vu son premier film.

En revenant à la maison, vingt minutes c'était écoulé, Alec se dirigea directement vers la salle de bain pour une douche rapide. L'eau chaude le réveilla complètement, lavant les dernières traces de sommeil et de cauchemar. Il s'habilla ensuite dans des vêtements propres et confortables, prêt pour sa première journée à la caserne de pompier de Beacon Hills.

À cinq heures quarante-cinq, Alec ferma la porte derrière lui, son sac à l'épaule. Il monta dans sa vieille Chevrolet, le moteur ronronna doucement alors qu'il démarrait, et il prit la route en direction de la caserne de pompiers. La caserne était située près du poste de police. En arrivant, Alec remarqua le shérif Stilinski qui sortait de sa voiture. Le shérif, un homme d'une cinquantaine d'années, solide et amical, reconnut immédiatement Alec.

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