- Entre ! Tu veux boire un café ?J'opinai en la suivant.
- Assieds toi ! Je t'en prie.
Je pris une chaise et posa mes fesses dessus. Ma génitrice posa une tasse de café devant moi. Je l'a remercia et bus une gorgée, le café avait un arôme excellent, une très bonne saveur. La femme devant moi me souriait tout en buvant sa tasse de thé.
- Comment vas-tu ? Demanda-t-elle après quelques minutes de silence.
- Ça va répondis-je
Je regardais autour de moi et je vis au mur des photo d'elle accompagné d'un homme, d'une petite fille et d'un jeune homme.
- Tu as une belle maison.
- Je te remercie. Stiles...
- Tu as d'autre enfants ? L'a coupais-je en montrant de ma tête les photos.
- Oui, tu as une petite sœur de six ans et un frère de dix-huit ans, Max dit elle en souriant.
J'eu un rire sans joie et je l'a dévisagea méchamment.
- Je n'ai pas de frère et sœur répondis-je sèchement.
Elle perdit son sourire et je vis à son regard qu'elle était peiné par mes propos mais j'en avait rien a faire. Cette femme osait être triste par mes propos alors qu'elle m'avait abandonnée. Ça c'était la meilleur. Pourquoi devrais-je être gentil avec elle ? Je savais que ce n'était pas juste pour ses enfants car ils n'avaient absolument rien fait de mal mais je ne pouvais m'en empêcher cette femme osaient afficher son pauvre bonheur devant moi et je devrais être content pour elle, non je ne pouvais pas , c'était au dessus de mes forces. Elle posa doucement sa tasse, me regarda curieusement :
- Pourquoi es-tu venu Stiles ?
- Je voulais juste revoir le visage de la femme qui m'a abandonnée.
- Ce n'est pas quelque chose dont je suis fière tu sais. Tu étais mon bébé mais je n'avais pas la force. Je suis tellement désolé.
- Tu n'avais pas la force ? Dis moi que c'est une blague ! Et tu es désolée de quoi exactement ? De m'avoir abandonné ? D'avoir retrouvé ta trace ? Ou bien le fait que tu es eu des enfants alors que tu en avais laissé un derrière toi ! D'avoir aimée tes enfants pendant que moi je me demandais où tu étais ? Pourquoi tu étais parti ? Qu'est-ce que j'avais bien pu faire pour t'avoir fait fuir ! Cela m'a hanté toute mon adolescence tu sais ! Non bien sur que non tu ne le sais pas. Je croyais que c'était de ma faute, que tu savais que je n'étais qu'une pauvre petite merde qui ne méritais pas d'avoir une mère. Et puis un jour j'ai eu une révélation, je me suis dit Stiles tu n'a rien fait. C'est elle. Et j'ai su combien tu avais pu être égoïste et une mauvaise mère, une bien piètre personne. Car une mère saine d'esprit n'abandonnerai pas ses enfants, elle ne laissera pas sa chair de sa chair derrière elle au contraire elle se bat pour sa progéniture. Alors tu vois tes excuses, t'es raisons bidons je ne les acceptes pas. Je sais que je ne devrais pas être égoïste et te pardonner etc... mais non je ne peux pas et cela arriverais sûrement pas. As-tu seulement la moindre idée de ce que j'ai ressenti quand tu as claqué la porte derriere toi ? J'étais... Je ne comprenais pas au début et puis papa m'a expliquer que tu ne reviendrais jamais. Je me suis senti trahi et blessé et j'ai pleuré toute les larmes de mon corps. Comment un petit garçon de cinq ans peut-il vivre ça sans en être affecter ?! Dis moi ! Quand tu rencontrera encore d'autre difficulté avec tes enfants vas-tu eux aussi les abandonner ? Si je suis venu c'était parce que j'étais curieux de savoir comment tu vivais, j'espère que tu ne t'ai pas fais d'idée en te disant qu'on pouvais avoir une relation tout les deux. Et aussi parce que je voulais te dire ma façon de penser et évacuer toute ma colère envers toi ! Dis-je en lui martelant chaque mots à son visage noyé de larmes.
Après avoir vidé mon sac, je sentis un changement en moi. Je me sentais moins lourd, plus léger. Je me sentais en paix avec moi même avec cette partis de ma vie. J'avais vécu et vaincu ce problème. Essoufflé d'avoir autant parler, je regardais la femme en face de moi qui laissait couler ses larmes sur son visage tant semblable au mien. Puis je me levais de la chaise pour partir après lui avoir sorti tout cela. Je me dirigea vers la porte quand elle m'arrêta :
- Non ! Reste !
- Je n'ai plus rien a faire ici.
- Maman ? Tu vas bien ? Je t'ai entendu crier.
Je vis le jeune homme de la photo arriver près de sa mère en la regardant sous toute ses coutures pour vérifier que tout allait bien pour elle et il sursauta quand il me vis, il me dévisagea étrangement puis ses yeux passa de sa mère a moi.
- Qui est-ce maman ?
- C'est ton frère Stiles, Max lui dit elle en souriant.
Je secoua la tête de frustration puis m'en alla comme je suis arriver. Je marcha assez rapidement vers la voiture quand une voix m'appela mais je ne m'arrêtais pas cette fois-ci, je continua mon chemin mais il me l'a bloqua. Il avait dû courir pour me rattraper puisque il était essoufflé :
- Ne t'en vas pas s'il te plait !
- Écoute, tu a l'air très gentil et tout ça mais j'ai rien a faire ici et je ne peux rien pour toi. Je suis pas ce que tu crois d'accord. Alors laisse moi tranquille.
- Mais je veux juste apprendre à te connaître je t'en prie !
- Je n'ai rien a faire avec toi. Nous ne sommes rien. Je suis pas fait pour ce genre de chose et puis on a aucun lien entre nous. Je...
- Je veux juste apprendre à te connaître , ne pense pas à ma mère. S'il te plait donne moi une chance.
- Je vais y réfléchir. J..
Mon téléphone sonna , je jeta un regard à Max qui était déçu par cette interruption mais je n'avais pas le choix le devoir m'appelais.
- Je t'appellerais lui dis-je malgré tout.
Il me répondis par un sourire heureux, je décrocha mon téléphone, me dirigea vite vers ma voiture garée quelques mètres plus loin et je monta en voiture.
- Allo ?!
- C'est Lydia
- Oh ! Qu'est que tu veux ?
- Quelle amabilité ! Je t'appelle parce que nous nous sommes fait attaquer il y a une heure. On a essayer de te joindre mais tu ne répondais pas.
Je partais une journée et l'apocalypse s'abattait c'était vraiment pas ma journée aujourd'hui. J'étais inquiet, est ce qu'il y avaient des blessés ? Des morts ? Derek ? Joe ? Je n'osais pas lui demander j'avais trop peur de sa réponse. Savoir que l'un de mes amis étaient peut être blessés me soulevais le cœur. Je devais vérifier que tous le monde allaient bien et après je m'occuperai de nos ennemis. Je démarrais en trombe et repartais dans le sens inverse. Qui avait osé faire cela ? Ça me trottais dans la tête. Pourtant la meute de Derek n'était pas en guerre, j'aurais été au courant sinon. Cela annonçait rien de bon, cela voudrait dire que nous avions un autre problème que le loup a attraper et que Mike allait débarquer très prochainement. On ne s'attaquait pas à une meute sans que cela créait d'énormes conséquences. Les alliés de la meute de Derek devaient être prévenu pour qu'ils soient au courant de la menace potentiel qu'ils courront. Je revenais a moi quand Lydia m'appela au travers du téléphone.
- Qui vous a attaquer ?!
- Ce sont des Demons et des vampires. Ils voulaient récupérer le prisonnier.
- Ils l'ont eu ?
- Non, nous l'avions cachés. Ils vont revenir c'est une question de temps. Nous avons des blessés et il y a des morts.
Je fermais les yeux d'inquiétude mais je me repris très vite. Ma peur et mon inquiétude ne m'aidera pas pour les aider. Je devais rester stoïque pour le bien de tous. Ils avaient besoin de moi, je ne devais pas les laisser tomber, je me préparais mentalement à ce que je verrais une fois arriver au manoir. Je sentais qu'une guerre se préparaient et qu'on perdra bien plus que je n'ose imaginer. Je savais que j'aurais a révélé ce que je cachais depuis de nombreuses années. J'y serais obliger pour protéger ceux que j'aime parce que malgré le fait qu'ils m'avaient déçu, que je ne les avaient pas vu depuis des années, je les aimaient profondément. Je les considéreraient toujours comme des membres de ma famille alors je les protégerais au péril de ma petite vie.
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Fly away
Roman d'amourAprès avoir été déçu par ses amis qu'il considérait comme sa famille Stiles décide de partir loin d'eux pour refaire sa vie. Il part alors de beacon hill Quatre ans après , il est obliger de revenir car un loup solitaire après avoir causer cinq meu...