Fly away

Chapitre 22

Très longue absence. Je me suis concentré sur mes études et mon emploi donc j'avais complètement oublié de publier et d'écrire.  J'espère que ça vous plaira.
PS : Je ne sais pas quand je publierai le chapitre 23.

Je regardai avec bonheur Derek dans les yeux et lui souris.

Je voulais a tout prix que ma relation avec Derek m'apaise, me donne enfin le bonheur et le réconfort dont j'avais besoin dans ma vie.
J'avais été heureux avec eux, avec lui et lorsque j'étais parti, j'étais détruit. Mais je me suis reconstruit grâce à mes nouveaux amis, ma nouvelle position. Mais je comprenais maintenant combien la petite bande m'avait manqué.

- Stiles ?

Je tournai la tête vers Scott. Il avait les yeux rouge et gonflés. J'eus un pincement au cœur, de voir mon ami dans cet état.
Je lui lança un regard interrogateur.

- On pourrait passer une soirée tout ensemble notre meute et la tienne, pour tisser des liens et apprendre à connaître ceux qui sont devenu tes amis et ta famille. Qu'en penses-tu ?

J'étais stupéfait que Scott veuille en apprendre plus sur mes amis, ma famille. Je voulais plus que tout que tout le monde s'entendent. Que l'on ne fasse plus de différence entre ma meute et celle de Scott. Je restai sans voix. Il continua :

- Je souhaite que notre réconciliation passe par le fait de passer du temps avec les personnes que tu aimes. Je veux faire partie de ta vie. Et je sais, non, je veux que l'on forme une grande et belle famille.

- J'en serais ravie dis-je émue, la voix tremblante.

Je regardai autour de moi, et je vis mes amis tout aussi émues que moi. Scott les avaient touchés. Ils me souriaient, les yeux brillants et m'indiqua de la tête Scott.
Il me regardait. Je m'avança vers lui et le pris dans mes bras, longuement. Je le sentis tremblé, je resserrai mes bras autour de lui.

Je leva la tête et vis Derek dans le coin nous regarder. Et pris une grande inspiration, lui demanda :

- Cela te convient ?

- Parfaitement, j'aimerais aussi apprendre à connaître tes amis. Je sais que pour que notre relation puisse fonctionner, il faut que nous apprenions à nouveau à nous connaître dit-il en souriant.

Je relâchais la pression en m'apercevant que sa réponse était vraiment très importante pour moi.

J'espérai du fond du cœur que tout cela puisse marcher.

La soirée se passa sans encombre. La joie et l'amusement planait dans le salon.
Tout le monde plaisantait, buvais et mangeait.

Je m'adossai au canapé et me détendis en observant tout mes amis réunis.
Je sentis quelqu'un s'asseoir à côté de moi et tournai la tête sur un Derek souriant.

- Tu vas bien ? me chuchota-t-il, en penchant sa tête vers la mienne. Je sentis son souffle chaud sur ma joue. Je frissonnais de plaisirs.

- Je ne peux qu'aller bien dis-je en montrant la pièce de ma main. Je m'approchais de son oreille et lui dis :

- Je suis heureux

Il tourna sa tête et nos lèvres n'étaient plus qu'à un millimètre et je sentis son souffle chaud contre mes lèvres. Mes yeux fit des aller retour de ses lèvres à ses yeux.

Il se leva et le pris la main et m'emmena dans la cuisine. Il me plaqua sur le comptoir et me caressa la joue de sa main. Je ferma les yeux de bonheur. Je penchai la tête vers sa main. Je sentis son autre main sur ma nuque et j'ouvris les yeux. Je sentis ses lèvres contre les miennes. Feu d'artifice. C'était doux. Chaud. Nous nous emballâmes. Nos bouches se cherchaient, nos langues se trouvèrent. Je fondais entre ses bras.

La meilleure soirée de ma vie.

———————
Je me concentrais sur mon objectif. J'étais sur le qui-vive. Je savais que je devais attendre avant d'attaquer. J'évaluais ma proie. Elle était rapide et évoluait autour de moi, elle attendait le moment où je relâcherai mon attention. Peine perdu, je me jetai sur elle et lui envoya un coup de pied retourné sur son visage. Déséquilibrée, elle vacilla et essaya de me jeter un coup dans le ventre mais j'esquive et me mis en vitesse derrière elle, mon avant bras sur sa gorge. Je serrai et lui demanda moqueusement si elle déclarait forfait .
Ma proie me repondit entre ses dents :

- Jamais !

Elle me donna un coup de coude au ventre. Une douleur se fit ressentir, je relâchais un peu la pression sur sa gorge et elle en profita pour s'échapper de mon étreinte. Et m'envoya un coup de poing au visage et un coup de pieds dans le bas ventre. Je fis abstraction de la douleur et esquiva l'autre coup qu'elle voulut m'assener.
J'haletais, de la sueur collait mon tee shirt sur ma poitrine.
Je l'observais attendant le moment idéal pour frapper. Je vis une ouverture et lui mis un coup de la tranche de la main à la gorge. Ses yeux exorbité me fixa, ses mains autour de sa gorge. Elle tomba à terre s'étranglant et ayant du mal à respirer:

Je riais tellement que je m'en tenais le ventre.

- Non mais c'est pas vrai ! Stiles arrête de te marrer comme un gamin ! C'est un entraînement ! Non mais c'est pas vrai ! Regarde le, il est tout amoché ! Dit Mike faussement énervé.

Je regardait Scott allongé sur le sol. Il me fusilla du regard et je lui retourna mon plus beau sourire. Il était tellement ridicule allongé sur le sol. Derek vint se placer à côté de Mike et me réprimanda tout en tendant sa main à Scott pour l'aider à se relever.

Scott tout en se frottant la gorge me dit :

- T'es vraiment un idiot ! T'aurai pu me tuer !

J'éclatais de rire tout en lui disant d'arrêter de faire sa chochotte. Il me donna un coup sur l'épaule tout en me traitant d'imbécile. Je mis mon bras sur ses épaules et le serra contre moi.

J'entendis Mike réunir tout le monde. Je tournais la tête et vit Eli au sol à califourchon sur Joe lui tenant les mains au dessus de sa tête un sourire au lèvre.
Je souriais face à cette image. Ils étaient tellement mignons tout les deux. J'espérai vraiment qu'ils se dévoileront enfin l'un envers l'autre.

- Et bien Joe tu t'es pris une belle raclée ! Cria Bradley.

Joe fixant toujours Eli en souriant lui répondit :

- Une merveilleuse raclée ! J'en prends une autre quand tu veux !

Face à ces mots Eli devint aussi rouge qu'une tomate tout en bafouillant dans sa barbe. Il se releva et aida Joe à faire de même. Ils se dirigeaient vers nous se mirent à côté de moi.