Chapitre 11

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Point de vue de Bakugo

Mina était en train de me soigner me faisant grimacer de douleur, Kyoka elle s'occupait de T/p qui était encore sous le choc de ce qu'il c'est passé. En même temps ce faire tirer dessus, on ne peut pas dire que ce soit une expérience agréable. Kirishima lui marchait dans tout les sens en essayant de contacter le patron contre mon accord.

- Mec, tu veux bien arrêter de tourner ? Tu me donne envie de vomir là ! Lui dis en retenant une nouvelle grimace de douleur.

- Comment ça a pu arriver ? Bakugo si tu n'aurais pas été là, elle serait morte !

- Ouais je sais... J'avais un goût amer dans la bouche car j'avais vraiment hésité à la rejoindre mais j'ai bien fait de suivre mon instinct. Alors que je réfléchissais à ce qui lui aurait pu lui arrivée, Kyoka arriva vers nous l'aire dépitée. Comment elle va ?

- Disons que ça pourrait être pire... Je me contentais de souffler, et de me défaire des mains de Mina.

- Hey, Bakugo je n'ai pas fini de te soigner ! Me cria-t-elle prêt de mon oreille.

- Je m'en fous !

J'ignorai les protestations de Mina et monta les marches quatre par quatre ignorant également la douleur pour me rendre devant la porte de la chambre de T/p. Je toqua contre le bois mais aucune réponse. J'ouvris tout de même la porte pour la voir allonger sur le lit, elle avait du mal à respirer, et elle continuait à pleurer. Cette vue me déchira le cœur. Je rentra dans la chambre et ferma la porte derrière moi pour aller m'asseoir à côté d'elle sur le lit.

- Hey, viens là ! Elle ce tourna légèrement vers moi, ses yeux étaient rouges et sa respiration était irrégulière. Elle ce leva et je me pencha pour la prendre dans mes bras. Je passa ma main dans son dos pour essayé de la calmer du mieux que je le pouvais. Comment j'en suis arrivé là ? A être dans sa chambre et lui faire un câlin, qu'est-ce qui cloche chez moi ?

Quelques heures plus tard, T/p était encore dans sa chambre, nous avons pu contacté le boss qui était revenu plus tôt à la maison. Il m'avait posé pas mal de questions sur ce qu'il c'était passé, j'avais répondu du mieux que je le pouvais mais je n'avais pas vue grand-chose à cause des coups de feu. Je me vida un nouveau verre de whisky, avant de me servir un nouveau verre. Mes pensées dérivèrent vers T/p, malgré toute ma mauvaise fois j'étais inquiet pour T/p, elle n'était même pas venu manger. Je soupira de frustration avant de me lever.

Point de vue de T/p

Les images du cimetière et de la nuit où mes parents on été tué tournait en boucle dans ma tête comme un obsession. Tout ce que je voulais c'était faire taire ce brouhaha dans mon esprit. Je serra les poings jusqu'à me faire mal. Je veux que tout ça s'arrête. J'entendis quelqu'un frapper à ma porte mais ne répondis pas, je voulais juste être seule malheureusement mon souhait ne fut pas exaucé car Bakugo rentra dans ma chambre avec une assiette où été posé un sandwich. Il s'approcha de mon lit pour s'y asseoir et me tendit l'assiette.

- Mange, ça te fera du bien. Comme-ci mon estomac ce réveilla d'un coup en sentant l'odeur de la nourriture, celui-ci grogna réclamant les nutriments nécessaire à ma survie.

- Merci... Je pris l'assiette et croqua un morceau du sandwich. Puis d'un coup, il me pris la main et regarda ma paume en fronçant les sourcils. Il y avait les marques de mes ongles sur ma peau où ça avait saigné. Prise de panique, je retira ma main précipitamment.

- T/p, il faut pas que tu face des crise de panique. Paniqué, c'est encore pire... 

- Ah ouais ? J'aimerai bien t'y voir toi ! Depuis que je t'ai rencontré ma vie par en couille, je me suis fait tiré dessus Bakugo ! Mes parents sont morts ! Je les reverrais plus jamais... C'était comme-ci je prenais vraiment conscience de ce qui était en train de m'arriver et un torrent de larmes coulèrent le long de mes joues. Je les reverrais plus jamais Bakugo !

Je vue de la tristesse passa dans ses yeux, il ce pencha vers moi et me pris dans ses bras laissant toute ma tristesse quitter mon corps. Puis d'un coup, le blond ce sépara de moi.

- Bon aller, les pleures c'est terminé ! Tu as besoin d'exorcisé tes démons ! Vas t'habiller ! M'ordonna-t-il ! N'aillant aucune envie de me battre contre lui et peut-être que sortir me fera du bien, alors j'allais me changer dans la salle de bain.

Quelques minutes plus tard, je rejoignis le blond qui c'était aussi changé. Il prit ses clés de voitures, puis on quitta la propriété pour une direction inconnue. Après un court trajet d'une dizaine de minutes, on s'arrêta près d'un bâtiment. On sortit de la voiture, puis Bakugo ouvrit la porte.

- On n'a le droit d'être ici ?

- Oui, t'inquiète, le patron de cet endroit fait partie du gang, il nous laisse utiliser le lieu pour nous entraîner. C'était une petit boutique, comment peuvent-ils s'entraîner ici ? Tout était plongé dans le noir. Il me prit par la main pour me conduire dans une partie fermée par une porte. Il alluma les lumières, me faisant grimacer. Je me trouvais devant un stands de tire, qu'est-ce qu'on fait ici ? Voyant mon incompréhension, Bakugo décida d'éclairer les choses. Il faut que tu te familiarise avec les armes à feu.

- Non, je peux pas.

- Crois moi, ça va t'aider. Il alla chercher deux casques anti-bruit, me conduit devant un cible et me tendis son arme.

Je secoua la tête négativement, il soupira, puis fit pivoter mon corps pour que je me retrouve devant la cible. Il glissa son arme dans ma main, le métal était froid et c'était plus lourd que je pouvais l'imaginer. Il posa sa main sur ma hanche et sa voix ce nicha dans le creux de mon oreille me faisant frissonner.

- C'est très simple, tu pointes l'arme vers la cible. Il glissa sa main vers mon ventre et mon cœur loupa un battement. Tu prends une grande inspiration et tu tires. Tu vois rien de bien compliqué.

- Je ne peux pas faire ça Bakugo ! Je vais me planter !

- Bien sûr que si. Aller vas-y. Fait le vide dans ta tête.

Comme il me l'avait dit, je pris une grand inspiration, alors que je m'attendais à ce qu'il s'écarte de moi, il ne bougea pas. Honnêtement cela me rassurait un peu. Je visa du mien possible la cible avant d'appuyer sur la détente, faisant bourdonner mes oreilles au bruit de la détonation. La balle perfora le milieu de la cible, je n'en croyais pas mes yeux.

- J'ai réussi ! J'ai réussi ! Une joie immense envahit mon corps me faisant sautiller sur place.

- Tu vois quand tu veux ! Tu n'es pas si nulle que ça princesse ! Son petit sourire en coin trahissait plus l'amusement qu'autre chose.

- Hey ! Je lui tapa le torse mais monsieur à plus la consistance d'un mur que d'un être humain.

- Aller, fini pour ce soir ! J'ai la dalle, on va bouffer ? Je me contentais de hocher la tête d'approbation, je savais qu'il n'avait pas vraiment faim et qu'il faisait ça uniquement pour me remonter le morale. Et pour être totalement honnête avec moi même, je suis contente de passer un peu de temps avec lui même si je sais que sa bonne humeur ne dura pas longtemps. 

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Chatlout à tous, comment allez-vous ? J'espère que vous passez une bonne journée. 😸😸😸

Désolée du retard de ce chapitre mais j'espère qu'il vous aura quand même plus ? 

A bientôt pour le prochain chapitre, milles bisous. 💜💜💜

Love Mafia (Katsuki x Reader) [Mini fanfiction]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant