Chapitre 8

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Point de vue de T/p

Après une longue réunion avec mon père et quand je dis longue, c'est vraiment longue près de deux heures à m'expliquer les basses de son entreprise. Contrairement aux autres mafieux, il ne faisait pas de trafics d'armes ou de drogues, il faisait des prêts aux autres clans avec des taux d'intérêts, c'était aussi un prestataire de services comme le blanchiment d'argent qu'il écoule dans ses différentes entreprises écrans, il nettoie aussi derrière les autres et d'autres services d'ordres criminels.

Comme première mission, enfin si on peut appeler ça une mission, il m'a donné à apprendre les nom, prénoms, visages et pleins d'autres informations sur ses clients. Me voilà comment je me suis retrouvée à consulter deux énormes classeurs avec les visages et les informations sur chacun des clients que je devais apprendre par cœur.

Quelques heures plus tard, la nuit était déjà tombé et j'en avais vraiment marre de lire ses fichus fiches clients. Je souffla d'exaspération, je n'en pouvais plus, je trouvais même mes partiels de fin de semestre plus facile. Je balança le stylo sur la table en aillant une furieuse envie de brûler ses classeurs et tout ce putain de bureau. 

- Pourquoi tant de violence pour ces classeurs ? Me demanda le blond en rigolant. Bakugo avait dû rester avec moi au bureau sur ordre de mon père pendant que les autres s'occupaient d'une autre mission à l'extérieur. 

- C'est pas toi qui doit apprendre tout ces noms et infos !

- Tu as besoin d'une pause ! Il ce leva du canapé avant de ce diriger vers la petite cave à vin près du bureau. Il sortit deux verres avant de prendre une bouteille et d'enlever le bouchon.

- On n'a le droit de prendre une bouteille ?

- Moi non, mais la fille chérie du boss c'est autre chose. Un rictus amusé pris possession de son visage. Depuis l'incident toute à l'heure de la voiture, il n'avait pas dit un mot méchant, ni avait essayé de me provoquer. J'avais encore la sensation de ses bras autour de moi, et son odeur dans mes narines. Rien que d'y pensais, qu'on est était aussi proche je sentais mon cœur battre un peu plus vite et mes joues chauffer.

- Aller boit ça princesse ! Il me tendit un verre que je pris et une bu une gorgée.

- Oh putain ! Il est incroyable ce vin ! C'était le meilleur vin que je n'avais jamais bu.

- Tu m'étonnes avec une bouteille à plus de cinq cent dollars !

- Quoi ? Tu déconnes ? Mon père va nous tuer !

- Il ne fera rien à sa petite fille chérie ! Allez détend toi T/p ! Tu as le droit à une pause et moi aussi !

- C'est que c'est difficile de me surveiller ! Dis-je en levant les yeux au ciel.

- Tu n'imagine même pas ! C'est une véritable épreuve ! Je crois que c'est bien la première fois qu'il plaisante avec moi sans être méchant.

J'allais m'installer dans le canapé en cuire. Contre toute attente alors que je pensais que Bakugo aller boire son verre dans son coin, il me rejoins sur le canapé tout en prenant la bouteille de vin. Nos épaules ce touchaient, et de où j'étais je pouvais sentir l'odeur de son parfum. Des images de ce « Câlin » qu'on n'avait eu revient dans ma mémoire. Pourquoi je ne fais que penser à ça ? Faut pas que j'oublie que quand je l'ai rencontré c'était un sacré connard.

Ok, quelques heures plus tard, peut-être qu'on avait un peu trop bu, enfin c'était même sûr. La tête commençais à me tourner et en même temps je me sentais euphorique. Bakugo avait mit de la musique sur la chaine hi-fi de mon père, l'ambiance était bonne et je trouvais même le blond charmant. Pour penser ça je devais vraiment avoir beaucoup trop but. J'allongeai mes jambes sur le canapé, le blond les levèrent pour les posais sur les siennes.

- Un autre verre princesse ?

- Pourquoi tu m'appelle par ce surnom débile ? Lui demande-je en lui tendant mon verre pour qu'il la remplisse de nouveau.

- Parce que ça te fait chier ! Un petit sourire narquois pris possession de ses lèvres.

- Tu me déteste vraiment à ce point ?

- Je ne te déteste pas... C'est juste que... Il laissa sa phrase en suspens.

- Juste que ? J'arqua un sourcil curieuse de ce qu'il allait dire. 

- Rien du tout, oublie ! Son ton ne laisser plus la place à la discussion. Je me contenta de soupirer et de boire mon verre. Pourquoi doit-il ce refermer alors qu'il commençait à peine à s'ouvrit ?

- Tu es un putain de chieur Bakugo ! Lui avoue-je avec honnêteté.

- Un chieur sexy !

- Mouais.... Dis-je avec beaucoup trop de mauvaise fois.

- C'est pas ce que tu disais il y a peine quelques heures au campus ! Pff quel arrogant ce mec !

« Ellipse de quelques heures »

J'étais blottit contre quelques chose de chaud et de moelleux, j'étais bien là où j'étais, je ne me souvenais pas que mon lit était aussi doux et chaud. Je n'avais aucune envie de me lever, je ne sais même pas quel heure il est. Puis soudainement j'entendis quelqu'un frapper dans les mains me faisant sursauter.

- Allez, les enfants on ce réveil ! La voix de mon père retentit dans la pièce. Pourquoi est-il dans ma chambre ? Je décida d'ouvrit les yeux, la lumière m'aveuglant quand quelque chose bougea sous moi. Depuis quand mon lit bouge ?

J'ouvris bien les yeux pour tomber nez à nez avec Bakugo qui me regardait tout aussi choqué que moi. On devait sans doute penser la même chose « Merde, on c'est endormi dans le bureau du patron ». Il me poussa sans aucune délicatesse sur l'autre bout du canapé me faisant hoqueté de surprise.

- Salut, boss... Vous êtes là depuis longtemps ? Il passa une main dans sa chevelure gêné par la situation.

- Depuis assez longtemps pour te voir dormir avec ma fille sur le canapé de mon bureau, après qu'à l'évidence vous vous soyez enfilé deux de mes bouteilles de vins.

- Désolé papa... Je voulais juste me détendre après avoir appris les dossiers clients et j'ai peut-être un peu forcé Bakugo à boire avec moi. Il n'a rien fait... Mentis-je à mon père, je n'avais pas envie que Bakugo ce face engueuler d'ailleurs cette prise d'initiative le surpris car il ce tourna vers moi, les sourcils froncés d'incompréhension. Mon père lui semblait choqué mais pourquoi ?

- Est-ce que tu viens de m'appeler papa ? Oh, putain ! Ça m'avait échappé, je ferma les yeux en me sentant carrément stupide.

- Pardon, ça m'a échappé...

- C'est pas grave, tu peux m'appeler papa si tu en as envie. Mon ventre ce mit à grogner de faim comme pour faire arrêter cette conversation gênante. Bien, Bakugo et les autres aller prendre le petit déjeuner au restaurant d'à côté, T/p tu peux aller à l'université aujourd'hui mais ce week-end tu viens travailler avec moi.

- D'accord ! Merci !

Tout ce que je voulais c'était partir de se bureau et ne plus voir les petits regards des autres. Il faut que je me change, que je mange et après que j'aille à l'université enfin dès que j'aurais pris un putain de médicament pour mon crâne qui me faisait atrocement mal. Pourquoi j'ai dû boire autant ? 

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Chatlout à tous, comment ça va ? J'espère que vous passez une bonne journée. 😸😸😸

Que pensez-vous de ce chapitre ? 

A bientôt pour un prochain chapitre milles bisous 💜💜💜

Love Mafia (Katsuki x Reader) [Mini fanfiction]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant