I am the Luna

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ZAIA. Jai essaie de couvrir son snicker surpris alors que je regarde Sebastian, voyant le scintillement de l'irritation, de l'humiliation et de la colère dans ses yeux alors qu'il me regarde.

« À quoi ça servait ? » Il grogne de manière menaçante, touchant sa mâchoire. « C'était pour dépasser vos limites, M. King. Si vous ne souhaitez pas être giflé à nouveau, rappelez-vous qu'il existe un espace personnel », réponds-je de manière glaciale.

Mes yeux clignotent en orange alors que je regarde l'homme qui me regarde maintenant avec des yeux dangereusement froids. « Vous étiez en train de me vérifier quand je suis entré. » Il grogne, menaçant. Je me mos de lui et je le regarde avec mépris.

« Vraiment ? Donc, juste parce que j'ai été surpris du fait que vous n'êtes pas aussi passionné qu'il y a plusieurs années, vous pensiez que vous pouviez simplement dire et faire ce que vous voulez ? » Je réponds avec incrédulité, en espérant qu'il a acheté mon mensonge.

Il coque un front alors qu'il claque sa main contre le mur, me met en cage entre ses bras. Mon cœur bat et je déteste la façon dont ma chatte se serre.

Focus, Zaia. « Nous savons tous les deux que c'est un mensonge. » Il répond avec arrogance. « Oh s'il vous plaît, ne prenez pas de l'avance sur vous-même. » Je tire en arrière. Je ne peux pas lui faire savoir qu'il me touche !

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Il sourit : « Alors dis-moi, qu'est-ce qui t'a dérangé, c'est que je t'ai appelé une bonne fille... c'est exact, alors es-tu une mauvaise fille, Zaia ? » Mes joues brûlent, je me souviens que Jai est juste là, nous écoutant.

« Non, mais si vous continuez à entrer dans mon espace personnel, vous finirez par devenir une fille aussi, une bonne fille ou une mauvaise fille. Ce sera votre choix. »

Il a un front, et je fronce les sourcils. « Puisque tu manqueras d'une bite quand j'aurai fini avec toi ? » Je m'explique, parlant extrêmement lentement, faisant éclater Jai dans le rire.

« Merde, quel est le plan, de lui couper la bite ou de l'arracher ? » Il dit à travers son rire. « Je pourrais laisser Sebastian choisir. Je réponds en poussant l'homme trempé loin de moi.

Il fait déjà chaud ici et je déteste la façon dont mon cœur se sent drôle à propos de sa proximité. Je deviens sérieux, attendant que Jai arrête de rire avant de regarder entre eux.

« Pourquoi es-tu ici, Sebastian ? » Je demande tranquillement. « Je veux la vérité, rien de plus, rien de moins. Arrêtez de jouer à des jeux, cela fait trois ans... laissez-moi vivre. »

Son regard plonge sur ma main et il fronce les sourcils profondément avant de hocer la scine.

« Comme je l'ai dit, je voulais vous parler », dit-il. Sans que personne ne sache que je suis ici, tout le monde croit que je suis allé dans un autre État pour une réunion d'affaires, et je veux qu'il en soit ainsi. »

« Pourquoi le secret ? » Je demande, croisant les bras et en me détournant de lui. Son regard intense devient trop fort. Mon bras lui brosse la poitrine, mais je refuse de le regarder.

« Parce que j'étais et que je suis toujours, en train d'être fait chanter. » Je ne peux m'empêcher de le regarder brusquement à ces mots, mon cœur bat un peu plus vite.

Ses yeux bleus brillants rencontrent les miens et j'ouvre la bouche, je ne suis même pas sûr de ce que je vais dire quand mon regard s'enflamme vers le lit. Tout ne peut pas être une coïncidence. La façon dont Jai a expliqué voir quelqu'un dans la chambre de Valérie, puis l'e-mail...

« Emmenons ça dans ma chambre. Donnons à Val une pause de tous les cris », dit Jai, en nous disant de le suivre.

Je la regarde allongée sur le lit et, marchant dessus, ajustez sa position, en plaçant sa main droite. J'espère qu'elle n'est pas mal à l'aise. Je lui serre doucement la main. Je te promets, Val, que je vais trouver un moyen de te réveiller. Je le ferai. Sebastian prend sa veste, se brosse les cheveux mouillés et je déteste qu'il ait l'air encore plus sexy maintenant. Je n'avais pas tort de penser cela à l'hôtel hier soir.