I am the Luna

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ZAIA. Oh, putain ! Le plaisir m'envahit lorsqu'il saisit mes seins et les masse sensuellement. Ma chatte se crispe sous l'effet du besoin. Oh, il a toujours été si bon avec ses mains... mais ses massages... son toucher... si bon...

Cela m'a manqué...

Je sursaute lorsqu'il pétrit mes seins, le bout de ses doigts rugueux effleurant mes mamelons durcis, et je me cambre, des secousses de plaisir m'envahissant les unes après les autres. Je sens sa queue dure se presser contre mon cul, le tissu de nos vêtements est une barrière que je ne veux pas mettre entre nous. Je veux qu'il soit en moi maintenant...

Il est tellement doué pour ça. "Débarrassons-nous de cette robe..." Il ronronne rudement à mon oreille.

Oui, s'il vous plaît. J'acquiesce, les joues rougies, et j'incline la tête vers la droite, le taquinant en lui donnant accès à mon cou. Comme prévu, il se penche, inspire profondément, mais ne m'embrasse pas.

Ses mains glissent sur ma taille et mes hanches avant qu'il ne remonte ma robe et, d'un geste habile, la retire par-dessus ma tête, la jetant sur le sol.

Je ne porte plus que ma culotte en dentelle. Pendant un instant, je me sens gênée, sentant son regard brûlant sur moi. Je serre les cuisses l'une contre l'autre, fermant les yeux, tandis que ses mains effleurent ma taille. Il me masse sensuellement, ses genoux de part et d'autre de mes cuisses...

Je veux sa bite contre moi, ou mieux encore, en moi. Oh, putain... mais il me taquine en descendant plus bas, versant de l'huile sur mes fesses. Je retiens un gémissement, ma chatte se serre tandis qu'il commence à pétrir et à masser mon cul.

Ses doigts glissent sous le tissu de ma culotte et je ne peux retenir un gémissement de plaisir lorsque son doigt se glisse entre mes fesses.

"Mm..." Je gémis. Ses mains glissent autour de mes hanches, les massant sensuellement et envoyant des soubresauts de plaisir jusqu'à mon cœur.

Ses doigts effleurent mon os public, mais au moment où je pense qu'il va descendre plus bas, il se retire.

Taquiner ! Mais s'il veut que je lui en demande plus, je ne le ferai pas. "Tu te relâches", murmure-je en croisant les bras sous ma tête et en réajustant ma position en posant ma tête sur mes bras.

Il glousse avant de glisser ses mains sous le tissu fragile et d'attraper mes hanches ; il me fait basculer sur le dos, faisant rebondir mes seins et un grésillement de plaisir m'envahit.

Mes yeux s'écarquillent, mon cœur bat la chamade et je lève les yeux vers lui. Je suis allongée là, les seins à l'air, et il est en train de me baiser les yeux, ce qu'il ne fait pas l'effort de cacher.

"Putain... ils sont si beaux... tu es belle, putain", murmure-t-il en se penchant et en caressant mes seins.

C'est le cas ? Mon corps a légèrement changé après la naissance des jumeaux, mes hanches sont restées plus larges et mes seins plus gros. Mais la façon dont il me regarde maintenant est d'une admiration et d'une faim si intenses que tous mes doutes disparaissent. L'autre soir, nous étions tellement absorbés l'un par l'autre que nous n'avons pas eu le temps d'admirer le corps de l'autre comme il se doit.

Je le regarde masser mes seins, appréciant la vue qui s'offre à moi, tandis que mon propre regard se pose sur lui. Il guérit bien, mais certaines de ses blessures ressemblent à ma blessure à l'épaule, pas aussi grave, mais peut-être encore douloureuse à l'intérieur. Est-ce qu'il va bien ? Je sais qu'il doit souffrir...

"Tu devrais arrêter... ton corps doit te faire mal", murmure-je en m'approchant de lui. Je passe ma main le long de son bras, ses yeux brillent d'un éclat argenté et je me mords la lèvre en reposant ma main près de ma tête.