I am the Luna

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ZAIA. Je fixe mon reflet dans le miroir. J'ai peut-être été un peu trop loin. Mes cheveux sont tirés en arrière en un chignon élégant, et mes yeux sont charbonneux avec un rouge à lèvres nude.

Je porte une robe marine, unie, avec un léger reflet, qui descend jusqu'au sol avec un dos nu à bretelles qui laisse apparaître mes seins et mon dos. Elle est fendue au niveau de la cuisse.

Je porte le collier que j'ai dessiné, composé de trois chaînes et du symbole du triangle, juste au-dessus de mes seins. Le collier a été livré à temps et il est conforme à mes attentes. Le symbole est parfaitement visible à l'intérieur.

C'est le seul bijou que je porterai. Une déclaration à côté du henné qui recouvre mes bras.

Le motif est partiellement floral, mais il y a au moins six symboles de sang sur les deux bras. Le long de mon dos, le symbole est dessiné au centre de mon dos et des paillettes bleues et dorées ont été ajoutées pour souligner le symbole.

Ma jambe gauche, que l'on voit par la fente, est également ornée de henné. Comme pour mon dos, il s'agit simplement du symbole.

Il ne manquera à personne et je me demande qui réagira... qui connaît les Blood Born ? Nous aurons d'autres alphas de meutes alliées et des personnages importants.

Traduit avec DeepL.com (version gratuite) Je lisse ma robe juste au moment où l'on frappe à la porte et où maman entre. "Ah Zaia, il faut que tu aies..." Elle s'interrompt, ses yeux se posent sur moi et son visage se vide de ses couleurs, tandis qu'elle s'agrippe à la poignée de la porte pour se soutenir.

"C'est une réaction que j'espérais de la part de certaines personnes présentes ce soir, maman... pas de toi". Je réponds en fronçant les sourcils.

Est-ce qu'elle le reconnaît ou sait quelque chose à ce sujet ? En grandissant, elle l'a toujours ignoré en disant que ce n'était qu'une tache de naissance, mais maintenant sa réaction dit le contraire. C'est une question que je voulais lui poser, mais je n'ai jamais trouvé le bon moment, ou alors elle m'est simplement sortie de la tête.

"Changer. Maintenant." Maman dit brusquement en entrant dans la pièce et en fermant la porte. Elle m'attrape le bras et commence à frotter le henné.

"Maman, c'est une tache de henné, c'est-à-dire qu'elle ne partira pas", dis-je doucement en l'observant. Son cœur bat la chamade et elle me regarde, les lèvres serrées.

"Qu'est-ce que c'est ? Qu'est-ce que tu sais ? Je lui demande avec insistance. Elle baisse les yeux, ses mains tremblent en regardant mon bras devenu rouge. Les frottements n'ont fait qu'enflammer la peau.

"Tout ce que je sais, c'est qu'il faut cacher ce... ce ridicule... ce ridicule, quoi que ce soit que tu essaies de prouver ! A moins que tu ne veuilles mourir !" dit-elle, la voix tremblante. Il y a tant de haine et de ressentiment dans sa voix que cela me choque.

) J'agrippe ses coudes : "Maman, dis-moi, s'il te plaît. Je suis désolée de te faire du mal, mais tout ce qui se passe est dû à cela. Quelqu'un sait que je suis née de sang. Nous devons tout savoir et s'il y a quelque chose que tu sais, alors dis-le nous."

"Nous ? Qui d'autre... Déesse ! Ton père... il sait ?" murmure-t-elle, son visage devenant encore plus cendré. Elle m'inquiète maintenant...

"Maman...

"Zaia, s'il te plaît, arrête ça. Frénétique, elle prend mes lingettes démaquillantes et commence à me frotter les bras. Le henné ne part pas...

"Maman ! On frappe à la porte. "Zaia ! Tout va bien ?" C'est la voix de papa. "Entre, papa", dis-je, bien que maman secoue vigoureusement la tête.