I am the Luna

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ZAIA. "Lu- Mme Zaia..." Je lève les yeux pour voir Daniel, l'un des assistants de Sebastian, qui se tient là. Il baisse la tête poliment vers moi.

"C'est bon de te voir, Daniel", dis-je calmement. Peu importe à quel point je me sens dévastée et bouleversée en ce moment, je ne peux pas laisser cela affecter quoi que ce soit d'autre. Je lui souris aussi chaleureusement que possible, et il me répond par un sourire radieux.

"C'est un plaisir de vous revoir, madame. "Je lui touche le bras une seconde avant de m'excuser. Il y a des flics partout, je me demande ce qui s'est passé...

Je marche dans le hall, mes deux gardes m'encadrant alors que je pénètre dans le hall principal en direction de l'aire de restauration. "Madame. Il y a eu un problème et le service de restauration a été suspendu.

Je soupire. "Je soupire. Sommes-nous libres de partir ?"

L'officier me regarde avant de hocher la tête. "Oui, venez. Je vais m'assurer qu'ils vous laissent sortir." "Merci", réponds-je, heureux de sortir de là, mais je ne sais pas comment j'affronterais papa et maman.

Leur dire que j'ai échoué. On m'apporte la voiture, je monte et je mets mes lunettes de soleil. Contenu (C) Nôv/elDra/ma.Org.

J'aurais peut-être dû me battre plus fort... mais il m'avait déstabilisée. Le trajet de retour vers la villa où nous résidons passe plus vite que je ne l'aurais souhaité.

Je prends des nouvelles de Jai et de Valérie par texto, en essayant de ne pas penser à ce qui vient de se passer. Il n'y a pas encore de changement, mais la pleine lune sera à son apogée dans deux jours. J'ai de l'espoir...

Je sors de la voiture, dépité et fatigué. Je sais que ce genre de choses arrive souvent, mais quand on a passé autant de temps sur quelque chose... c'était presque à ma portée.

Presque...

La porte s'ouvre avant même que je ne l'atteigne. "Surprise !" disent Zion et Sia, ce qui me fait sursauter. Je regarde le hall et l'affiche de félicitations qui est placardée sur le mur d'en face.

Oh, non....

Ils avaient de telles attentes...

Je regarde mes précieux bijoux et, m'accroupissant, je les prends tous les deux dans mes bras, embrassant le sommet de leur tête. Ils me rendent heureuse. "Félicitations, Zaia", dit mon père, ce qui me fait lever les yeux. Comment leur dire que je ne l'ai pas eu ?

"Nous ne devrions pas fêter l'événement une fois que les papiers seront scellés ? Les choses n'ont pas encore été finalisées..." Je dis cela, me sentant mal à l'aise de mentir.

Mais l'excitation sur les visages des enfants et la fierté sur celui du père sont trop fortes pour que je leur brise le cœur maintenant. Les enfants n'ont pas besoin de savoir, mais je le dirai à papa plus tard.

"Eh bien, ne la gardez pas. Viens Zaia, le dîner est prêt. J'ai préparé ton plat préféré. dit maman en souriant. "J'ai commandé ton plat préféré", ajoute papa en jetant un regard acerbe à maman.

Maman se moque et roule des yeux avant de s'en aller. Une semaine sous le même toit, ça doit être dur... 1 Je n'ai aucune idée de ce qu'Annette en penserait, sachant que son mari vit sous le même toit que son ex-femme. Le dîner se déroule dans le flou, je continue à sourire, à faire semblant d'être heureuse en mangeant et en buvant, en essayant de noyer mes soucis.

"Tu vas bien Zaia, tu ne bois pas beaucoup d'habitude ? Maman me demande, inquiète. "Bien sûr que non, si le vin est le bon marché que tu gardes", dit papa avec arrogance.