The mafia boss and the curvy

Chapitre 7

Il l'attrape par la taille et colle à nouveau ses lèvres sur celle d'Alba. Elle se laisse faire et ouvre sa bouche pour accueillir la langue de Giordano.

Une étreinte chaude et sensuelle s'en suit. Il balade ses mains sur son corps, presse fermement la chair de sa cuisse. Il aime cette volupté qui se dévoile sous ses doigts. Leurs bouches se séparent et leurs regards se perdent l'un dans l'autre.

– Viens avec moi. Fit Giordano en entrainant Alba hors de la cuisine.

– Si tu ne veux pas ce qu'il va se passer, tu as juste à le dire, ne te sens pas obligé.

J'aime contrôler les femmes avec qui je couche, mais très certainement pas les forcés à faire quoi que ce soit avec moi. Dit-il en la guidant vers une autre pièce.

Ils entrent dans un salon très cosy, pas du tout dans le style qu'on peut voir habituellement dans les grandes maisons toscanes, ou tout est beaucoup plus chargé niveau décoration. Là, la décoration était dans des tons très naturels, avec des beaux murs en pierre apparente et des poutres brutes. Des grands canapés en cuir marron trônent au milieu de la pièce. L'endroit donné envie de se poser devant la cheminée et de se lover. Il se rapproche d'elle pour lui retirer son bandeau.

Il jauge son regard pour être certain qu'elle est d'accord avec tout ça. L'ambiance dans l'air était lourde d'attraction physique.

Elle le regarde intensément.

Elle a envie de lui, mais comment un homme aussi beau pouvait avoir envie d'une femme comme elle.

Au travers de ses dernières relations, elle avait appris que les femmes fortes sont agréables uniquement pour faire l'expérience des rondeurs au lit.Mais elle ne voulait pas être à nouveau, un objet de découverte, le temps d'une nuit.Elle voulait être aimée pour ce qu'elle ait, que ses rondeurs soient un atout et qu'elles soient appréciées, caressées, embrassées...

Elle fit un pas en arrière, se décrochant du contact de Giordano, laissant un air frais se glisser entre eux.

Il la regarde d'un air interrogateur, pourquoi cet éloignement ?

– Quelque chose ne va pas ? Lui demande-t-il un peu plus fermement que ce qu'il voulait.

– Je je... Ne veux pas, heu si je veux, mais je ne veux pas être encore dans cette situation. Dit-elle bouleversé par ses émotions contradictoires.

– Quelle situation ?

– Celle d'être encore cette femme ronde qu'on se tape juste pour l'expérience de s'envoyer en l'air avec une grosse. Je ne suis pas un mannequin, mais je ne suis pas idiote, le dernier homme que j'ai fréquenté avait été assez clair à ce sujet. Dit-elle d'une traite pour ne pas perdre le courage qui lui avait permis de se lancer. Elle n'avait jamais parlé de tout ça à qui que ce soit. Elle se sentait rougir de honte, d'avoir fait cet aveu.

– Je n'ai absolument jamais traité aucune femme de la sorte. J'aime les femmes de manière générale, oui.