The mafia boss and the curvy

Chapitre 14

Alba sent quelque chose qui lui caresse le visage, ce geste tendre descend vers son coup, puis sur sa poitrine.

Elle se crispe et essaye de bouger, elle sent que ses mains sont attachées.

Elle ouvre les yeux d'un coup sec et met quelques secondes pour s'adapter à la pièce sombre.

Elle réalise qu'elle est attachée dans une chambre.

Elle bouge dans tous les sens, se débat, mais ses liens se resserrent sur ses poignets.

- Plus tu vas tirer, plus ça va se resserrer sur toi et te faire mal. Que ça te fasse mal, ça ne me gêne pas, au contraire, j'aime voir des marques rouges colorer le corps d'une femme. Dit l'homme qui l'avait acheté à Miranda.

- Qu'est-ce que tu veux de moi gros porc ? Lui cracha Alba à la figure.

- Oh, je te conseille d'être un peu plus docile avec moi, tu n'imagines même pas toutes les tortures sexuelles que je peux te faire. Et j'y prendrais le plus grand des plaisirs. Lui dit-il en s'approchant d'elle et en lui passant la langue le long de son coup.

Elle frémit de dégoût, tourne la tête de manière à ne pas être face à lui et ferme les yeux pour ne pas le voir d'aussi près.

- Je vais bien m’amuser avec toi, ton Giordano n’aura plus que des miettes à ramasser. Lui murmure-t-il à l’oreille.

- Je t'interdis de me toucher, jamais je ne te laisserais me faire ce que tu veux ! Lui dit-elle avec tout son courage, mêlé à la peur.

- Tu n'as pas compris Alba, j’ai l’habitude de me servir, j’aime faire mal, j’aime voir les visages des femmes que j'achète, se tordre sous la douleur et la peur.
Est-ce que je suis fou ? Sans aucun doute, oui !
Pourquoi je fais ça ? Peut-être parce que moi-même, j’ai subi des tortures en tout genre pendant toute mon enfance. Que j’ai envie de voir souffrir les autres autant que moi.
On s’en fout de me psychanalyser, parce que de toute façon, je t’ai acheté, tu es mienne, jusqu'à ce que je décide de laisser les restes à ton prince charmant.
Pourquoi toi ? Parce que Giordano et sa famille ont envoyé un espion pour récupérer une des leurs. Cet espion était tellement mauvais qu’il s'est fait attraper. Une fois libéré, cet imbécile ne s’est pas douté qu’on aller le faire suivre. Quand j’ai compris qu’il venait des Mancini, je me suis dit que j’allais m’amuser un peu et j’ai vu que Giordano faisait beaucoup de recherche sur toi, ça m’a intrigué. Il ne sait jamais intéresser à aucune fille comme ça.
Nous nous connaissons depuis longtemps lui et moi, mais au fil des années, nous sommes devenus ennemis, ne pouvant plus se supporter. C’est pourquoi, c'est un vrai jeu pour moi, que de le faire enrager.
Manque de chance pour toi, mais j’avoue que je n’ai pas à me plaindre, j’aime beaucoup les femmes comme toi, ça me change des gamines.
Certes, elles sont appétissantes, mais ne tiennent pas beaucoup la route.
Alors qu’avec toi… Hummm, je sens que je vais bien m’amuser. Dit-il en faisant glisser sur elle un regard lubrique.

Un frisson d’horreur parcourut le corps d’Alba, comment pouvait-elle échapper à cette situation. Elle avait beau réfléchir, elle ne voyait pas d’issue de secours.

Il se positionne à ses pieds et remonte vers son entre-jambes, quand d'un coup, il se retrouve à faire un vol plané en arrière. Une douleur brutale dans la mâchoire et sur tout le côté gauche de son visage.

Alba, avait eu un élan de courage et lui avait donné un violent coup de pied dans le visage.
Il se relève tant bien que mal, sonné par la douleur et le côté inattendu de la situation.

- Tu vas le payer très cher petite salope, je ne vais pas te laisser t'en sortir aussi facilement. Je suis capable de torture physique, mais psychologique aussi.
Tu vas rester ici le temps que je trouve le moyen de te faire payer et de te tenir à en laisse.
Je peux te garantir que tu vas le regretter et que tu vas finir par te laisser faire.
Qui sait… Peut-être que tu finiras même par aimer. Lui dit-il en examinant son visage dans un miroir.

Elle était pétrifiée, qu'est ce qu'il allait bien pouvoir faire pour la faire plier autant ?