Chapitre 16

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!!! ATTENTION !!! TRIGGERS WARNING !!!

Ce chapitre contient des scènes très explicites et crues réservées à un public averti et majeur. La notion de consentement n'est pas à prendre à la légère.

Violence verbale et/ou physique, acte sexuel non consenti ou à la limite d'être consenti, séquestration, torture, vengeance, exclave sexuel. Sont des éléments présents dans cette histoire.

Ici vous êtes sur une dark romance ou tout est imaginé, aucune réalité n'existe.

Dans la vraie vie, aucune violence de ce genre n'est à tolérer. Elles sont même punissables par la loi. https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F32247



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- Durant nos échanges, tu vas m'appeler Monsieur ! Lui imposa-t-il, tout en posant ses mains sur elle ? Il attrape ses chevilles et lui attache chacune d'elles avec une corde, serrées avec le même type de lien que pour ses poignets. Il recule pour l'observer et se mord la lèvre d'excitation avant de lâcher un rire glauque.

- Je vais me régaler, dis moi, Giordano et toi avez vous déjà couché ensemble ?Alba ne répondit pas, elle garde la tête et surtout les yeux loin de cet homme.


Elle ferme les yeux et ses dernières larmes s'échappent. Elle se promit intérieurement que ce qui se passera ici, avec cet homme, ne sera pas la réalité, qu'elle ne doit pas se laisser détruire pour ça, son corps peut encaisser beaucoup de choses. Elle sait qu'elle peut tenir le coup pour épargner Gino. Elle prend une profonde respiration et elle se donne tout le courage qu'elle n'a jamais puisé au plus fond d'elle.

- Si je te donne mon corps, laissera tu mon frère tranquille ? Lui dit-elle en le regardant droit dans les yeux.


- Oui, tant que tu m'obéi. Lui répondit-il simplement.

- Tu auras peut-être mon corps, mais pas mon esprit, crois moi. Réplique t-elle pour essayer de sauver le peux qu'il lui reste

- Ça me suffit amplement pour ce que j'ai prévu de faire. Et je ne cherche pas à créer une relation avec toi, je m'en fou de ce que tu peux ressentir ou autre. Mais de toute façon, je ne vais pas encore te relâcher, tu serais encore trop capable de me faire une crasse. Lui dit-il en attrapant des ciseaux qui traînaient sur le bureau.


Il monte sur le lit et commence par découper ses vêtements pour la mettre totalement nue. Livrée à lui dans son plus simple appareil, elle est extrêmement mal à l'aise de laisser un homme qu'elle ne connaît pas, regarder son corps, ce corps si imparfait et rond. Mais au vu de la bosse sous son pantalon, il avait l'air d'aimer le spectacle.

Il passe ses mains partout sur son corps, pinçant ses tétons l'un après l'autre. Il passe sa main sur sa nuque et attrape son coup, il serre un peu, mais pas assez pour lui faire mal. Il s'approche pour l'embrasser et lui mord violemment la lèvre inférieure jusqu'au sang. Elle réagit de suite par un cri et en essayant de se dégager. Mais il resserre sa prise sur son coup.

- Tu vois, j'aime ça et plus tu te rebelleras face à mes désirs, plus la prise se resserra et fera mal. Lui dit-il en s'approchant de son oreille.

Une larme qu'elle essayée de refouler le plus loin possible, coule le long de son visage, elle passe sa langue sur la morsure pour sentir le sang dans sa bouche.

- Je ne suis pas tendre, mais qui c'est peut-être que tu prendras du plaisir toi aussi. À force d'affronter la douleur, certaine, arrive à jouir de cette torture.

Il continue de parcourir son corps, avant de se reculer et de commencer à se déshabiller. L'horreur qu'il avait prédit depuis le début, aller se passer. Il allait se servir d'Alba pour toucher Giordano. À cette pensée, elle ferme les yeux et s'efforce de penser à lui aussi fort que possible, avec un peu de chance ça l'aidera à tenir le coup.

Elle sentit le lit s'enfoncer sous le poids de l'homme. Il se hisse entre ses jambes et se positionne tout près de son intimité.


Elle voudrait refermer ses jambes aussi fort que possible, mais elles étaient attachées de chaque côté du lit.- Pour commencer, je vais juste te goûter et te prendre, te faire mienne, je vais effacer les traces de ce connard de Giordano. Dit-il avec toute la haine qu'il avait pour lui.- Tu pourras peut-être me faire plier physiquement, mais tu ne pourras jamais enlever le visage de Giordano de ma tête, et au final, je garderais toujours ce qui c'est passé avec lui, plus en mémoire que tout ce que tu pourras me faire. Lui répondit elle.- Tu vas voir que ton corps va te trahir. Lui dit-il en continuant de s'approcher de son entre-jambe.


Elle sentit un souffle chaud et des doigts qui repoussent ses plis intimes. Elle pousse un râle de désagrément, elle était bien évidemment trop sèche. Mais l'homme ne se formalise pas pour ça, il a apparemment l'habitude de ne pas attendre que les femmes soient prêtes.Il commence à passer sa langue sur le clitoris d'Alba, qui réagit avec un grognement de colère.Il s'approprie cette partie de son corps et il fait en sorte qu'elle soit suffisamment prête pur l'accueillir et que ça ne soit pas désagréable pour lui.


Au bout de quelques minutes, il se redresse, le visage humide. Il se recule pour attraper un préservatif.- Plus tard, je te ferai des examens, pour l'instant, je ne prends pas de risque. Lui explique-t-il.


Il remonte sur le lit et se rapproche du visage d'Alba, qui essaye tant bien que mal d'éviter son visage qui est encore plus dégoûtant du fait de ce qu'il vient de faire.Il se positionne pour la pénétrer.

C'est une sensation atroce pour Alba, jamais elle n'a eu de rapport forcé, même ses plus mauvais, petits copains respectaient son choix quand elle n'en avait pas envie. Des larmes s'échappent sur ses joues. Elle essaie de faire passer en boucle le visage de Giordano dans sa tête et de se répéter d'être forte, que ce n'est qu'un mauvais moment.

Au bout d'un moment qui lui semble durer une éternité. L'homme arrive enfin à l'orgasme et s'étale de tout son poids sur Alba, qui était resté la tête tournée depuis le début.


Il se retire pour se relever et observer la scène.- Profite de ce moment de calme, j'ai été tendre cette fois-ci, ça ne sera pas toujours le cas. Lui dit-il en retirant le préservatif et en se faisant un brin de toilette, dans un coin de la pièce ou se trouver une sorte de salle d'eau.

Il se rhabille et contemple encore Alba qui était toujours exposée, attachée et fatiguée d'être dans cette position après tant d'heures et après cette effroyable soumission.

- Je vais défaire tes liens, mais tu ne pourras pas sortir de cette chambre, tu ne manqueras pas de nourriture et tu as ce qu'il faut dans cette pièce au niveau des commodités. Si tu essayes de sortir, des gardes sont devant ta porte et à plusieurs accès du bâtiment, ils ont pour ordre de t'abattre. Je reviendrais te voir régulièrement, je pense. Quand je suis là, je veux que tu te soumettes à moi et les prochaines fois, je veux que tu gardes les yeux ouverts et que tu me regardes.


Après avoir détaché ses liens, il lui jette des vêtements de rechange et quitte la pièce sans un autre regard pour elle.

La laissant seule avec ses peurs, son dégoût pour elle et pour lui. Une sensation que son esprit allait vriller. 

Tout se mélange dans sa tête, dans quelle situation était elle embourbée ?

Pourquoi Giordano était aussi long pour arriver ?

Elle voulait se réfugier dans ses bras, même si une partie de son esprit lui disait que c'était de sa faute si elle était là.

The mafia boss and the curvyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant